Je pense que pour Draven, de vrai effets spéciaux, ce sont des effets spéciaux fait par Mélies !Jérôme a écrit :eric draven a écrit :avec de vrais effets speciaux..qu'est-ce que c'est des vrais effets spéciaux ?

Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
Je pense que pour Draven, de vrai effets spéciaux, ce sont des effets spéciaux fait par Mélies !Jérôme a écrit :eric draven a écrit :avec de vrais effets speciaux..qu'est-ce que c'est des vrais effets spéciaux ?
Mais DragonballDragonball a écrit :Je pense que pour Draven, de vrai effets spéciaux, ce sont des effets spéciaux fait par Mélies !Jérôme a écrit :eric draven a écrit :avec de vrais effets speciaux..qu'est-ce que c'est des vrais effets spéciaux ?
Je vois pas trop le problème. On les voit au début après que la vague est retourné le bateau, pourquoi il n'y serait pas jusqu'à la fin.antropophagus a écrit :Par contre niveau crédibilité le film ose vraiment n'importe quoi (le plongeon dans l'eau en feu, le canoë de secours qui attend bravement à la surface... il fallait le faire).
Heu, parce qu'un canoë en plein mer qui n'est pas attaché n'est pas censé rester sur place en attendant les rescapés.comte vonkrolock a écrit :Je vois pas trop le problème. On les voit au début après que la vague est retourné le bateau, pourquoi il n'y serait pas jusqu'à la fin.
Herbert West a écrit : mer. juin 21, 2006 5:46 pm N'y allons par quatre chemins, Poséidon version 2006, est une authentique "bousasse" signée d'un réalisateur extrêmement doué en la matière, Wolfgang Peterson, qui réussit l'exploit de faire cheap avec un budget de 150 plaques. Faut le faire !!!Contrairement à ce que certains prétendent, l'exposition est nullissime, la zique pompière indigne du JT de 20 heures sur TF1, le seul intérêt relatif tient à ce que la vaguelette CGI coule le navire, à peine, après 15 minutes seulement de métrage. C'est la seule bonne idée de ce navet intersidéral: celle, en un sens, de nous donner la fausse impression qu il est court. Or, l'expérience du temps est chose relative, on l'apprend à ses dépens avec Poséidon Il y a tellement peu de cinéma dans celui-ci que sa petite durée (1H30) nous procure le sentiment inverse...
Qualifié de clichesque les personnages et les situations auxquelles ils et elles ont affaire ( le maire new-yorkais ex pompier, la gay courageux, le serveur latino et sa copine catho qui monte à bord illégalement, la mère de famille et son mioche à la tête de souris...etc), relève de l'euphémisme tant le film se limite à recycler des vieux trucs de scénaristes fatigués. En plus, le film est réac ne serait-ce que dans le choix -arbitraire- de faire mourir ses protagonistes: à savoir ceux qui n'ont pas gravi l'échelle sociale ou qui s'y accroche ( littéralement, le serveur Latino qui s'accroche au froque du gay pendant la déjà mythique scène de l'ascenseur) ou bien encore le peu vertueux alcoolo qui se bouffe carrément un portion du plafond sur le coin de la gueule !!!
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De pareils errements, à la rigueur on pourrait les excuser, si au moins le film nous offrait un peu de tension, l'esquisse d'un frisson, je ne sais pas, quelque chose quoi. Or, c'est la berezina jusqu'au bout. Les personnages se baladent dans des coursives submergées de façon décontracté, un peu
à la manière de badauds allant faire leur course chez Carrouf, point de panique, nous sommes dans une série Z. Ces scènes sont de petits "divans" de pschynalyse: tout le monde s'épanche, raconte sa vie, dresse son bilan professionnel et surtout affectif, c'est l'occasion de balancer deux ou trois formules telles que " il n y a pas de justice dans le fait de mourir ou de vivre... ". C'est alors que l'on comprend que nous sommes en présence d'un authentique bijou à la morale sèche et bushienne. Amen.
Zéro pointé.
voilà...Haribo a écrit : ven. déc. 29, 2006 10:48 pm J'apporte un putain de bémol dans ce topic hal-lu-ci-nant vis-à-vis même de gens qui ont aimé l'original ! OK il n'y a pas Shelley Winters, ce n'est pas un argument mais bon sang, le film n'offre rien en contre-partie!
Franchement c'est un film de pantouflard abonné au blockbuster. Sans âme, sans passion, très industriel dans sa conception. Le mec ne contamine jamais la chose d'une teinte de personnalité. C'est nul.
Le mec j'ai fait "Das Boot" (credit caution) et "Perfect Storm" (exploitation caution)... ca se voit !
Quand je pense a ce que se ramasse régulièrement sur la gueule un Roland Emmerich et que je constate qu'une crotte pareil récolte de mensuétude, je ne comprends plus! Au moins Emmerich, même quand c'est mauvais, il te fait croire qu'il y croit... Petersen, lui il pête loin de son combo, ca se sent trop...
C'est absolument navrant, j'ai traversé le film sans broncher, mais sans m'amuser, sans avoir l'impression au final d'avoir assisté à un spectacle digne de ce nom. C'est bien simple, le film se déroule , aucune émotion, un vague suspense houlala j'ai le cul mouillé. Mon dieu je vais mourir. Contamination claustro néante. Dans un instant, la pub.
Quand je vois que ce film s'est tapé un bide de la mort qui tue, très franchement, je me range du côté de ceux qui comprennent, parce qu'on s'attends à un minimum de spectacle en 2006. Et là tout est contenu en 10 minutes. 80% du film est constitué d'un faux suspense absolument pas impliquant, c'est fort boyard sans le père fourras! On se fout de savoir qui va s'en sortir ou pas, limite j'ai juste eu de la peine pour Freddy Rodriguez que j'aurai bien échangé contre Josh Lucas, parce qu'au moins le premier je l'associe à une série sympa.
Et surtout la désagréable impression d'assister, sans mauvais jeu de mot, à un naufrage dont le mec aux commandes a conscience en s'en foutant complètement.
Nul.
Je ne comprends pas.
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Enfin heureusement, que je l'ai vu en dvd, je pense que ca m'aurait vraiment fait chier de l'avoir vu en salle.
D'après moi, Il s'agit de l'un des rares exemples de remake qui surpassent l'original (ça mériterait un sujet d'ailleurs...).Machet a écrit : dim. juil. 23, 2023 10:32 pm On tient là un super remake, rudement efficace, qui coche toutes les cases du bon film catastrophe tout en évitant de tomber dans les écueils du genre. Une réussite !