C'est avec Joseph Arkim plus connu sous le nom de ...Cuneyt Arkin et aussi gabriella Giorgelli (la premiere victime du Tueur à l'orchidée de lenzi) qui se retrouve encore les nib à l'air en train de se faire besogner toute debout par un déficient mental.
Bref.
Un tueur sadique s'emploie à tuer (avant de leur avoir enlevé le chemisier pour les mettre torse nues) de jeunes mannequins. Un des freres d'une victime se rend dans la villa ou se deroule les séances photos pour enqueter. le photographe est un handicapé moteur aux gouts un peu pervers, il y a aussi le demeuré local qui jardine, le majordome et la cuisinière nymphomane. et tout à coup...le photographe fou invente une machine à photographier les pensées! mais QUI est l'assasin?!

Filmé dans une villa (apparemment celle du réalisateur), cadré par un amateur, séquences nichons à profusions, meurtres frisant le ridicule, scénario timbre poste avec idée conne et mise en scène à chier, c'est la Police qui tatonne dans le noir. En fait, elle tatonne tellement bien qu'on ne la voit qu'à la toute fin

C'est du cinéma d'exploitation pour cinémas italien de province profonde. Il ne faut pas etre exigeant sur le professionalisme de la chose parce que le montage y est approximatif et tuant parfois le rythme. des plans incompréhensibles (ainsi le générique de début reste, après le nom du réalisateUr, sur une paire de ciseaux au milieu de feuilles mortes pendant près de trente secondes



l'idée de la machine à photographier les pensées est un sommet de n'importe quoi et sa mise en image à se rouler par terre

Les acteurs jouent tous mal, Cuneyt Arkin a un plan à oilpé (beau cul mais une coupe de cheveux Leader Price fond de caddie), les héroines bien en chair (top à celia0

j'allais oublier, j'ai bénéficié d'une copie de copie de copie dont l'original est vraiment passé à la machine à laver. excrémentiel, c'est le mot. lavasse, parfois inaudible...faut aimer le cinéma, y'a des fois

de plus, la durée est suspecte (70mn), des dialogues ont du sauter, des images aussi, notamment le generique de fin arrivant comme un cheveu sur la soupe qui se passe dans le cockpit d'un avion volant sens dessus dessous. Un peu comme moi à la fin du film
