Equalizer 2 - Antoine Fuqua (2018)

[Superwonderscope]

"on ne connait pas l'histoire" pour cette suite (la première qsue fait Washington) que personne n'attend, hormis les banquiers qui financent?

Sorte le 15/08/2018 en France, en même temps que Meg, ce qui devrait donner un coup de fouet aux entrées avec cette sortie un jour férié.

[fiend41]

s'ils ne s'étaient pas aussi penché sur le raisonnement, ça aurait pu passer plus simplement. c'est un peu moins bricolo que le premier, mais c'est assez dispensable au final, pas de chorégraphies dingues. un peu trop de morale bien pensante.et c'est dans la psychologie que je trouve ça limite. dans son passé il a fait des sales boulots pour l'agence, bref pour le pays, là il se retrouve face à des gars qu'il a bien connus.. et qui bossent comme avant en méthodes, d'autant qu'il était leur chef !... alors le voir se comporter comme un bon samaritain ça passe moyen, qu'attend t'il pour se venger de ceux qui gouvernent alors, puisqu'il a fait leur sales besognes ?

[MadXav]

Un cran en dessous du premier qui n'était déjà pas ce que Fuqua avait fait de mieux. Ca reste sympathoche mais très vite oublié.
Le truc qui est un peu difficile avec cette série, c'est son côté moralisateur assez pesant. On avait la jeune prostituée en le premier et c'était assez sobre. Là, avec le jeune noir, c'est très lourd. Après pour le reste, ça commence comme un pseudo vigilante, et ça fini comme un film de vengeance. C'est assez convenu, avec de rares idées sympa et une coolitude de Washington moins efficace que d'habitude...

[Teurk le Sicaire]

On prend pas vraiment le même et on recommence à peu près. En effet, le personnage de Denzel est ici bien plus souriant, communicatif et chevelu, en taximan samaritain qui kiffe venir en aide à son prochain du moment qu'il faut taper sur des gens. Il est même sacrément multifonction : enquêteur freelance, éducateur de quartier, animateur off screen de Perdus de vue, etc. Mais ce 2ème opus est vraiment trop dilué, avec peu de scènes de bagarre marquantes et des méchants lambdas (dont un jeune Pedro Pascal tellement blanc qu'il est peu reconnaissable). L'assaut final pourrait être sympa mais c'est si con (du sniper en pleine tempête ?) que ça désamorce toute tension. Bof bof.