Helen Webb (Keira Knightley) est la femme du Ministre de la Défense. Elle est aussi une espionne au service d'une organisation privée revendant les secrets qu'elle révèle au plus offrant. Lorsque son amant est mystérieusement tué, elle se trouve embarquée dans une histoire qui la dépasse et veut se venger. Intervient alors Sam (Ben Whishaw), tireur d'élite, pour la protéger.
Dernière vision avant la fin de mon abonnement Netflix. 6 épisodes de 55mn. Mix ambitieux d'intrigue internationale, de mafia londonienne, assassinat politique, CIA, MI6, Chine en colère, vie privée vs vie professionnelle. Le tout emballé avec un humour à froid, des gunfights un peu trop américains, batailles corps à corps violents, mix james Bond , histoires d'amour contrariées et suffisamment de retournements de situation pour maintenir l'intérêt - et ouvrir grand la porte pour une deuxième saison (qui va avoir lieu).
Pourtant, ce sentiment que cela ne livre pas le produit attendu. Filmé parfois comme un drame anglais télévisuel, ça fait baisser le régime de cette croisade d'espionnage aux multiples mystères. Les clichés abondent, ce que les auteurs tentent de masquer avec l'action.
Certes, il y a beaucoup de grain à moudre pour les 5/6 histoires qui se mélangent et suffisamment d'cation pour faire avaler le tout. Un montage habile entre présent, passé proche et passé lointain pour là aussi maintenir un suspense jusqu'à l'épisode final. C'est assez brutal par instant mais malgré tout, c'est surtout le personnage retors de Mrs Reed (Susan Lancashire, impériale) qui domine cette section des "Black Doves" qui en ressort - et offre suffisamment de duplicité pour la haïr et l'admirer de même manière;
Pas mal, mais aurait pu être mieux.
Black Doves - Joe Barton (2024)
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Black Doves - Joe Barton (2024)
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
Re: Black Doves - Joe Barton (2024)
une intrigue qui veut tenir la gorge haute, et pour une explication tellement bidon
, on se demande à quoi sert d'être ministre de la défense pour avoir aussi peu de renseignements et d'agents efficaces...
le spleen de noël.... des histoires romantiques gnangnan/solitudes dans une série d'espionnage? pfff , ah ok là aussi rien à voir, mais y'a de l'humour pince sans rire, mais je crois que mon plus gros rire ce sont les avis de journaleux (carte de presse sortie d'un kinder surprise?) qui l'assimilent à "The americans"
y'a pas 1% du niveau psychologique, y'a des personnages vaguement intéressants, j'ai trouvé cool les tueuses à gages, et keira quand elle pête les plombs façon wolverine je vais vous éventrer...
ou alors on cherche l'humour ou les ressemblances qu'on peut
, on a jamiroquai le toyboy, une boss qui ressemble à la grandmère de ruby rose ou la copine d'un vieux pourri issu du film snatch, un abruti de fils à papa sorti du premier john wick
vive leur monde, y'a pas de budgets faut serrer partout, mais le renseignement a la côte lui, ça semble bien payer.. ou pas , car tout le monde continue son job
(à part celui qui pouvait décrocher le jackpot..mouais la carotte, il n'aurait pas assez vécu...)
ça me fait encore plus détester ce Londres, (j'aurais adoré y tripper vers 1995 par contre) je plains celles/ceux qui y vivent/croient vivre tjrs entre 4 murs, en plus dans un noël mielleux, quelle perte de temps, 6h ! et ils auraient pu élaguer facile à moitié moins !! et tout l'affairisme sans morale typiquement anglais..., je vais faire comme eux, tenter de tourner la page ...

le spleen de noël.... des histoires romantiques gnangnan/solitudes dans une série d'espionnage? pfff , ah ok là aussi rien à voir, mais y'a de l'humour pince sans rire, mais je crois que mon plus gros rire ce sont les avis de journaleux (carte de presse sortie d'un kinder surprise?) qui l'assimilent à "The americans"



ou alors on cherche l'humour ou les ressemblances qu'on peut

vive leur monde, y'a pas de budgets faut serrer partout, mais le renseignement a la côte lui, ça semble bien payer.. ou pas , car tout le monde continue son job

ça me fait encore plus détester ce Londres, (j'aurais adoré y tripper vers 1995 par contre) je plains celles/ceux qui y vivent/croient vivre tjrs entre 4 murs, en plus dans un noël mielleux, quelle perte de temps, 6h ! et ils auraient pu élaguer facile à moitié moins !! et tout l'affairisme sans morale typiquement anglais..., je vais faire comme eux, tenter de tourner la page ...