Top à ... Barry Levinson
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
Top à ... Barry Levinson
David S. Ward et Michael Winner n’ayant pas inspiré grand monde, je tente maintenant ma chance avec Barry Levinson, réalisateur à succès des années 80 qui a traversé les années 90 non sans difficulté, avec au moins 2 belles casseroles au pied, Toys et Sphere, et dont le dernier film sorti en salles chez nous remonte tout de même à 2001.
Diner (1982) : 5/10. Vague souvenir d’une agréable chronique post-adolescente, première pierre de l’oeuvre semi-autobiographique baltimorienne de Levinson. Belle distribution, un p'tit cachet.
The Natural (1984) : 5/10. D’un côté une trame plutôt banale, à la dimension symbolique qui demeure jusqu’au bout relativement obscure, de l’autre une interprétation impeccable et une forme particulièrement chiadée (la photo de Deschanel, la reconstitution d’époque). Plaisant mais pas totalement satisfaisant au final.
Young Sherlock Holmes (1985) : 4/10. Film d’aventure teinté de fantastique qui, dans mon souvenir, ne décollait jamais vraiment. En tout cas ça ne m’avait pas bien marqué à l’époque et je ne suis guère pressé de le revoir.
Tin Men (1987) : 7/10. Située de nouveau dans le Baltimore des années 60, une comédie acide, plutôt originale, à l’interprétation particulièrement savoureuse. L’une des quelques franches réussites de Levinson.
Good morning, Vietnam (1987) : 6/10. Pas revu depuis son passage à Canal. A l’époque j’avais marché à fond et notamment bien apprécié sa conclusion nuancée, qui tranchait avec les habituels happy ends d’alors. Il me semble que c’est le film qui révéla au grand public l’horripilant Robin Williams.
Rain Man (1988) : 6/10. Là encore, même si j’ai toujours un peu de mal à me laisser convaincre par les numéros d’acteurs simulant la déficience mentale (cf. dans le même genre ceux de Di Caprio sur Gilbert Grape ou Penn dans I am Sam) j’en garde un bon souvenir, celui d’un film sobre dans la forme et pas trop démonstratif. Un peu long peut-être.
Avalon (1990) : 5/10. Troisième chapitre de sa quadrilogie baltimorienne. C’est soigné, bien interprété, on sent qu’il s’agit d’un projet personnel, tenant à cœur à son auteur, mais il manque quelque chose pour que ça décolle vraiment. Un bel album d’images, dans lequel je ne me suis pas senti très impliqué.
Bugsy (1991) : 8/10. Projet nettement plus balisé pour Levinson que cette biographie du gangster Bugsy Siegel, qui lui permet pourtant de signer sa plus belle réussite à ce jour. Une œuvre passionnante, bénéficiant d’un script remarquable de James Toback – à vrai dire le film porte presque plus sa griffe que celle de Levinson – avec un couple Beatty / Benning qui fonctionne au poil et un excellent score de Morricone.
Toys (1992) : 3/10. Ambitieux, original et entièrement loupé. Un univers fantaisiste qui ne fonctionne pas, plombé par une exposition de l’intrigue particulièrement laborieuse et une prestation de Robin Williams particulièrement irritante. Je lui file 3 seulement pour ses fabuleux décors et le score énergique de Zimmer / Trevor Horn.
Jimmy Hollywood (1993) : 6/10. Intéressante comédie satirique sur les affres d’un comédien raté s’improvisant justicier urbain. Se traine un peu sur la fin, mais le film fonctionne et n’a pas peur de mélanger comédie et drame urbain pour un résultat globalement satisfaisant.
Disclosure (1994) : 6/10. J’étais parti pour le détester celui-ci. Et puis finalement j’ai trouvé ça pas mal du tout, bien mené et un peu plus inventif que tous les thrillers pseudo-érotiques à sensations qu’on s’est farci tout au long des années 90 suite au succès de Basic Instinct.
Sleepers (1996) : 5/10. Me rappelle pas de grand-chose, si ce n’est – vaguement - d’un sous Goodfellas manquant totalement de personnalité.
Wag the dog (1997) : 7/10. Nettement plus intéressant, celui-ci. Une comédie satirique sacrément culottée, qui s’assume jusqu’au bout. Un tel script aurait cependant mérité une réalisation un peu plus personnelle, créative que celle de Levinson pour vraiment faire de l’ensemble un grand film.
Sphere (1998) : Faut que je le revois … je me suis endormi au bout d’une demi-heure et seulement réveillé au générique de fin.
Liberty Heights (1999) : 6/10. Dernier opus semi-autobiographique de Levinson, plus réussi qu’Avalon. Sans grosse surprise, pas aussi piquant que Tin Men mais très agréable.
An Everlasting piece (2000) : Pas vu.
Bandits (2001) : 1/10. Mélange de polar et de satire social, un peu à la Jimmy Hollywood, mais qui cette fois ne fonctionne pas du tout. Ce n’est pas drôle, ça part dans tous les sens, les acteurs sont en roue libre, c’est une catastrophe.
Envy (2004) : 5/10. Peut-être pas la comédie satirique la plus drôle de la décennie, mais ça tient la route dans l’ensemble. Rythme OK, interprétation tout à fait convenable (Walken est même bien marrant), avec quelques idées amusantes par ci par là. Une sale réputation injustifiée à mon sens.
Man of the year (2006) : Pas vu.
What just happened (2008) : Encore une comédie satirique, cette fois sur Hollywood, écrite par le producteur Art Linson. Problème : ceux qui s’intéressent au sujet n’apprendront rien de neuf dessus, ceux qui ne s’y intéressent pas risquent de trouver l’intérêt du film très limité. Reste que ça ne manque pas de mordant par moment et que De Niro, remarquablement bien entouré, trouve là l’un de ses rôles les plus consistants depuis un bout de temps.
Diner (1982) : 5/10. Vague souvenir d’une agréable chronique post-adolescente, première pierre de l’oeuvre semi-autobiographique baltimorienne de Levinson. Belle distribution, un p'tit cachet.
The Natural (1984) : 5/10. D’un côté une trame plutôt banale, à la dimension symbolique qui demeure jusqu’au bout relativement obscure, de l’autre une interprétation impeccable et une forme particulièrement chiadée (la photo de Deschanel, la reconstitution d’époque). Plaisant mais pas totalement satisfaisant au final.
Young Sherlock Holmes (1985) : 4/10. Film d’aventure teinté de fantastique qui, dans mon souvenir, ne décollait jamais vraiment. En tout cas ça ne m’avait pas bien marqué à l’époque et je ne suis guère pressé de le revoir.
Tin Men (1987) : 7/10. Située de nouveau dans le Baltimore des années 60, une comédie acide, plutôt originale, à l’interprétation particulièrement savoureuse. L’une des quelques franches réussites de Levinson.
Good morning, Vietnam (1987) : 6/10. Pas revu depuis son passage à Canal. A l’époque j’avais marché à fond et notamment bien apprécié sa conclusion nuancée, qui tranchait avec les habituels happy ends d’alors. Il me semble que c’est le film qui révéla au grand public l’horripilant Robin Williams.
Rain Man (1988) : 6/10. Là encore, même si j’ai toujours un peu de mal à me laisser convaincre par les numéros d’acteurs simulant la déficience mentale (cf. dans le même genre ceux de Di Caprio sur Gilbert Grape ou Penn dans I am Sam) j’en garde un bon souvenir, celui d’un film sobre dans la forme et pas trop démonstratif. Un peu long peut-être.
Avalon (1990) : 5/10. Troisième chapitre de sa quadrilogie baltimorienne. C’est soigné, bien interprété, on sent qu’il s’agit d’un projet personnel, tenant à cœur à son auteur, mais il manque quelque chose pour que ça décolle vraiment. Un bel album d’images, dans lequel je ne me suis pas senti très impliqué.
Bugsy (1991) : 8/10. Projet nettement plus balisé pour Levinson que cette biographie du gangster Bugsy Siegel, qui lui permet pourtant de signer sa plus belle réussite à ce jour. Une œuvre passionnante, bénéficiant d’un script remarquable de James Toback – à vrai dire le film porte presque plus sa griffe que celle de Levinson – avec un couple Beatty / Benning qui fonctionne au poil et un excellent score de Morricone.
Toys (1992) : 3/10. Ambitieux, original et entièrement loupé. Un univers fantaisiste qui ne fonctionne pas, plombé par une exposition de l’intrigue particulièrement laborieuse et une prestation de Robin Williams particulièrement irritante. Je lui file 3 seulement pour ses fabuleux décors et le score énergique de Zimmer / Trevor Horn.
Jimmy Hollywood (1993) : 6/10. Intéressante comédie satirique sur les affres d’un comédien raté s’improvisant justicier urbain. Se traine un peu sur la fin, mais le film fonctionne et n’a pas peur de mélanger comédie et drame urbain pour un résultat globalement satisfaisant.
Disclosure (1994) : 6/10. J’étais parti pour le détester celui-ci. Et puis finalement j’ai trouvé ça pas mal du tout, bien mené et un peu plus inventif que tous les thrillers pseudo-érotiques à sensations qu’on s’est farci tout au long des années 90 suite au succès de Basic Instinct.
Sleepers (1996) : 5/10. Me rappelle pas de grand-chose, si ce n’est – vaguement - d’un sous Goodfellas manquant totalement de personnalité.
Wag the dog (1997) : 7/10. Nettement plus intéressant, celui-ci. Une comédie satirique sacrément culottée, qui s’assume jusqu’au bout. Un tel script aurait cependant mérité une réalisation un peu plus personnelle, créative que celle de Levinson pour vraiment faire de l’ensemble un grand film.
Sphere (1998) : Faut que je le revois … je me suis endormi au bout d’une demi-heure et seulement réveillé au générique de fin.
Liberty Heights (1999) : 6/10. Dernier opus semi-autobiographique de Levinson, plus réussi qu’Avalon. Sans grosse surprise, pas aussi piquant que Tin Men mais très agréable.
An Everlasting piece (2000) : Pas vu.
Bandits (2001) : 1/10. Mélange de polar et de satire social, un peu à la Jimmy Hollywood, mais qui cette fois ne fonctionne pas du tout. Ce n’est pas drôle, ça part dans tous les sens, les acteurs sont en roue libre, c’est une catastrophe.
Envy (2004) : 5/10. Peut-être pas la comédie satirique la plus drôle de la décennie, mais ça tient la route dans l’ensemble. Rythme OK, interprétation tout à fait convenable (Walken est même bien marrant), avec quelques idées amusantes par ci par là. Une sale réputation injustifiée à mon sens.
Man of the year (2006) : Pas vu.
What just happened (2008) : Encore une comédie satirique, cette fois sur Hollywood, écrite par le producteur Art Linson. Problème : ceux qui s’intéressent au sujet n’apprendront rien de neuf dessus, ceux qui ne s’y intéressent pas risquent de trouver l’intérêt du film très limité. Reste que ça ne manque pas de mordant par moment et que De Niro, remarquablement bien entouré, trouve là l’un de ses rôles les plus consistants depuis un bout de temps.
Re: Top à ... Barry Levinson
Autant pour Winner ce fut un plaisir que de participer, autant ici c'est impossible ... C'est
un gros naze ce Barry Levinson !
Sleepers, Good morning vietnam, Rain man ... Que des films que j'ai détesté (c'est rare de détester un film, quand même) et dont la vision et l'après-vision m'ont été douloureuses.
Du cinéma pour neuneu.
Va savoir pourquoi, je l'associe à Robin Williams, autre imposteur hollywoodien à qui j'enverrais bien les agents du fisc américain pour renflouer les caisses de l'économie américaine
un gros naze ce Barry Levinson !
Sleepers, Good morning vietnam, Rain man ... Que des films que j'ai détesté (c'est rare de détester un film, quand même) et dont la vision et l'après-vision m'ont été douloureuses.
Du cinéma pour neuneu.
Va savoir pourquoi, je l'associe à Robin Williams, autre imposteur hollywoodien à qui j'enverrais bien les agents du fisc américain pour renflouer les caisses de l'économie américaine

Ceci est un P.38, le flingue le moins puissant du monde. Si je te touche avec, c'est même pas dit que je te fasse un troisième téton.


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Re: Top à ... Barry Levinson
Diner (1982) :XX agréable souvenir d'un film des années 80 qui tranche d'avec les conneries de John Hugues et autres betises du même accabit. Beaucoup mieux écrit, en tous cas, et plus naturel.
The Natural (1984) : XX là aussi, belle touche de nostalgie, caméra impeccable, Redford beau comme un dieu.
Young Sherlock Holmes (1985) : XX...bah... j'aime bien malgré tous les défauts
Tin Men (1987) : XXX . très très bien. Film incompris en France, lancé n'importe comment, je m'en souviens encore. Humour sarcastique et Barbara. Barbara, quoi.
Good morning, Vietnam (1987) : X... pfff, là je commence à avoir du mal. Ce n'est pas tant Robin Williams -je m'inscris en faux sur ce que dit drummonde: c'est un excellent acteur lorsque dirigé- mais l'ensemble qui m'a laissé un peu de marbre.
Rain Man (1988) : O. Là, c'est juste pas possible. J'étais sorti furieux de la projection.
Avalon (1990) : X. Tout comme manuma. j'avais surtout l'impression d'une redite. C'est très soigné, indéniablement, mais je me sentais très loin de tout ça.
Bugsy (1991) : ..euh...plus aucun souvenir si ce n'est de m'etre ennuyé. a revoir, donc.
Toys (1992) : X. je suis assez partagé. j'avais adoré au cinéma. a la revoyure sur le LD, j'étais déjà plus mitigé. Mais il y a un côté âme d'enfant bordélique qui a du charme. Et je vote pour Joan Cusack.
Jimmy Hollywood (1993) : pas vu
Disclosure (1994) : O pas déshonorant mais sans grand intéret. Levinson fait du fonctionnel.
Sleepers (1996) : X . Inconséquent mais joliment effectué, assez loin de tout sensiationnalisme que le sujet pouvait laisser craindre.
Wag the dog (1997) : pas vu
Sphere (1998) : RHOLALALALA
Ca c'est du dur, ça c'est du lourd, ça c'est RHOLALALALA; Incroyable bouillie filmique d'une spectaculaire connerie. Très drôle de voir tout le monde constipé, du scénario jusqu'aux acteurs. Seule Sharon Stone est sublime avec se nouvelle coiffure et surnage dans cet ocean de crasse. Et c'est en plus très chiant.
Liberty Heights (1999) : X làaussi, comme Avalon. je ne nie pas un beau visuel, un ton nostalgique parfois prenant mais pas très impliquant.
An Everlasting piece (2000) : X Marrant mais très anecdotique. Un sujet inattendu pour Levinson, mais on ne saisit pas très bien la finalité du truc. Sorti en dvd chez nous sous le titre "pile poil"
Bandits (2001) : .vu au cinéma mais strictement aucun souvenir
Envy (2004) : pas vu
Man of the year (2006) : Pas vu.
t
What just happened (2008) : Et pas vu non plus!
Une impression d'un auteur qui depuis qu'il a été "avalé" par le système hollywoodien, a perdu le charme qui faisait l'interet de ses premières oeuvres. Et qui a mal géré le virage du XXIe siècle...
The Natural (1984) : XX là aussi, belle touche de nostalgie, caméra impeccable, Redford beau comme un dieu.
Young Sherlock Holmes (1985) : XX...bah... j'aime bien malgré tous les défauts
Tin Men (1987) : XXX . très très bien. Film incompris en France, lancé n'importe comment, je m'en souviens encore. Humour sarcastique et Barbara. Barbara, quoi.
Good morning, Vietnam (1987) : X... pfff, là je commence à avoir du mal. Ce n'est pas tant Robin Williams -je m'inscris en faux sur ce que dit drummonde: c'est un excellent acteur lorsque dirigé- mais l'ensemble qui m'a laissé un peu de marbre.
Rain Man (1988) : O. Là, c'est juste pas possible. J'étais sorti furieux de la projection.
Avalon (1990) : X. Tout comme manuma. j'avais surtout l'impression d'une redite. C'est très soigné, indéniablement, mais je me sentais très loin de tout ça.
Bugsy (1991) : ..euh...plus aucun souvenir si ce n'est de m'etre ennuyé. a revoir, donc.
Toys (1992) : X. je suis assez partagé. j'avais adoré au cinéma. a la revoyure sur le LD, j'étais déjà plus mitigé. Mais il y a un côté âme d'enfant bordélique qui a du charme. Et je vote pour Joan Cusack.
Jimmy Hollywood (1993) : pas vu
Disclosure (1994) : O pas déshonorant mais sans grand intéret. Levinson fait du fonctionnel.
Sleepers (1996) : X . Inconséquent mais joliment effectué, assez loin de tout sensiationnalisme que le sujet pouvait laisser craindre.
Wag the dog (1997) : pas vu
Sphere (1998) : RHOLALALALA

Liberty Heights (1999) : X làaussi, comme Avalon. je ne nie pas un beau visuel, un ton nostalgique parfois prenant mais pas très impliquant.
An Everlasting piece (2000) : X Marrant mais très anecdotique. Un sujet inattendu pour Levinson, mais on ne saisit pas très bien la finalité du truc. Sorti en dvd chez nous sous le titre "pile poil"
Bandits (2001) : .vu au cinéma mais strictement aucun souvenir

Envy (2004) : pas vu
Man of the year (2006) : Pas vu.
t
What just happened (2008) : Et pas vu non plus!
Une impression d'un auteur qui depuis qu'il a été "avalé" par le système hollywoodien, a perdu le charme qui faisait l'interet de ses premières oeuvres. Et qui a mal géré le virage du XXIe siècle...
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
Re: Top à ... Barry Levinson
Le secret de la pyramide : adoré à 12 ans, je suis plus réservé aujourd'hui. Même si c'est indéniablement du divertissement 80s de qualité et intelligent. 7/10
Good morning, Vietnam (1987) : Enorme succès public dont je crois me souvenir qu'il ne m'avait pas trop plu, malgré un ton presque intimiste, presque apaisé, assez surprenant pour un film sur le Vietnam de cette époque. 5/10
Rain Man (1988) : Là aussi, des souvenirs très lointains d'un énorme succès populaire, qui ne recule pas devant les facilités, mais pour lequel j'avais quand même "marché". 6/10
Toys (1992) : Laid et totalement raté, mou, inerte, un échec patent qu'on sent pourtant animé par la meilleure volonté du monde. 3/10
Sphere (1998) : Un ratage absolument consternant, un naufrage à la hauteur (ou plutôt la profondeur) de son épouvantable réputation. Le cinéma de major à son plus bas ! 2/10
Good morning, Vietnam (1987) : Enorme succès public dont je crois me souvenir qu'il ne m'avait pas trop plu, malgré un ton presque intimiste, presque apaisé, assez surprenant pour un film sur le Vietnam de cette époque. 5/10
Rain Man (1988) : Là aussi, des souvenirs très lointains d'un énorme succès populaire, qui ne recule pas devant les facilités, mais pour lequel j'avais quand même "marché". 6/10
Toys (1992) : Laid et totalement raté, mou, inerte, un échec patent qu'on sent pourtant animé par la meilleure volonté du monde. 3/10
Sphere (1998) : Un ratage absolument consternant, un naufrage à la hauteur (ou plutôt la profondeur) de son épouvantable réputation. Le cinéma de major à son plus bas ! 2/10
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- Localisation : Higher, toujours ailleurs
Re: Top à ... Barry Levinson
En voyant le nom, je pensais que j'en aurais vu pas mal. Et en fait, non, pas du tout !
Donc :
"Le secret de la pyramide" : Beaucoup aimé gamin, pas revu depuis une eternité, je l'ai pris en dvd ya peu pr retenter !
"Des hommes d'influence" : J'avais bien aimé aussi, me semble que j'avais trouvé ça plutot intelligent et bien joué, même si pas non plus LE film trash et denonciateur qu'on pouvait nous vendre sur le sujet.
Pr le reste, j'ai donc rien vu, et hormis "Bugsy" qui m'intrigue, je peux très bien continuer à vivre sans !

Donc :
"Le secret de la pyramide" : Beaucoup aimé gamin, pas revu depuis une eternité, je l'ai pris en dvd ya peu pr retenter !
"Des hommes d'influence" : J'avais bien aimé aussi, me semble que j'avais trouvé ça plutot intelligent et bien joué, même si pas non plus LE film trash et denonciateur qu'on pouvait nous vendre sur le sujet.
Pr le reste, j'ai donc rien vu, et hormis "Bugsy" qui m'intrigue, je peux très bien continuer à vivre sans !

"J'ai essayé de me suicider en sautant du haut de mon égo. J'ai pas encore atteri... "
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Re: Top à ... Barry Levinson
Diner (1982) :Vu a la tele dans les 80s, plus aucun souvenir. Par contre, me rappelle tous les John Houghs
Essaierais bien de me le refaire.
The Natural (1984) : Souvenir d'une excellente impression dans les 80s, mais a part l'affiche, pas une scene qui m'est reste en memoire. Le pire, je l'ai grave y a un bout de temps, mais pas encore revu. Si je savais ou est le disque...
Young Sherlock Holmes (1985) : Adore au cine a l'epoque. Re-re-revu a la tele. Achete le dvd. Bref, j'adore!
Good morning, Vietnam (1987) : Excellent souvenirs au cine et en video. Mais a l'arrivee, plus sur du message a en retenir...? Heu, la guerre c'est nul? Robin Williams, c'est cool?
Rain Man (1988) : Adore au cine, malgre Tom Cruise...Bien viellit, surtout grace a Hoffman.
Toys (1992) : Decouvert en video. On ne peut que considerer comme "original". Aimerais le revoir pour savoir comment ca a vieillit.
Sphere (1998) : Daube sans fond.
Bandits (2001) : Vu lors d'un vol transcontinental. Aucun souvenir
L'impression que depuis une 15 d'annees, Levinson rame dur et que sa meilleur decennie c'etait les 80s...

The Natural (1984) : Souvenir d'une excellente impression dans les 80s, mais a part l'affiche, pas une scene qui m'est reste en memoire. Le pire, je l'ai grave y a un bout de temps, mais pas encore revu. Si je savais ou est le disque...

Young Sherlock Holmes (1985) : Adore au cine a l'epoque. Re-re-revu a la tele. Achete le dvd. Bref, j'adore!
Good morning, Vietnam (1987) : Excellent souvenirs au cine et en video. Mais a l'arrivee, plus sur du message a en retenir...? Heu, la guerre c'est nul? Robin Williams, c'est cool?

Rain Man (1988) : Adore au cine, malgre Tom Cruise...Bien viellit, surtout grace a Hoffman.

Toys (1992) : Decouvert en video. On ne peut que considerer comme "original". Aimerais le revoir pour savoir comment ca a vieillit.

Sphere (1998) : Daube sans fond.

Bandits (2001) : Vu lors d'un vol transcontinental. Aucun souvenir

L'impression que depuis une 15 d'annees, Levinson rame dur et que sa meilleur decennie c'etait les 80s...
En direct du Japon. Bonsoir. A vous, Cognac-Jay.
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- Localisation : Haute Normandie et parfois Ile de France!
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Re: Top à ... Barry Levinson
Son nouvel opus avec Al Pacino et Greta Gerwig sort demain en salles:
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Re: Top à ... Barry Levinson
Pour voir le dernier film de Barry Levinson au cinéma il va falloir faire vite...7213 entrées-France hier sur 314 écrans:
https://www.allocine.fr/article/fichear ... 35022.html
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