Adapatation d'un jeu vidéo que je ne connais pas.
Un groupe de jeunes suivent la trace de la soeur disparue un an plus tôt. L'histoire va se répéter à plus d'un titre.
Et on s'ennuie ferme. On pense un peu à un jour sans fin (classique pour le principe).
Vite vu vite oublié comme beaucoup de mes expériences au cinéma.
J'avais bien aimé "Dans le noir". Shazam et Annabelle 2 sont passés par là depuis pour ce réalisateur. Je déconseille.
Until Dawn - David F. Sandberg (2025)
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Re: Until Dawn - David F. Sandberg (2025)
En effet, le film techniquement est décent (nombreux effets gore généreux) mais serait peut-être mieux passé sur la forme d'un court ou moyen métrage, la répétitivité et la minceur du récit devenant vite lassantes..
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Re: Until Dawn - David F. Sandberg (2025)
je ne joue pas aux jeux videos dont je ne savais pas de quoi cela parlait. En lisant les commentaires sur Letterboxd, beaucoup émettaient un avis négatif (et chialaient-crachaient sur le film) suite au fait que les auteurs ont choisi une histoire originale plutôt que de calquer le jeu.
Sandberg sait mettre en scene les moments horrifiques. certaines scenes sont franchement réussies (entre autres, le mutant rougeoyant qui arrive graduellement vers l'heroine a renforts de stroboscope noir-rouge). La qualité technique de l'ensemble est franchement superbe! Les éclairages subtils, privilégiant l'espace ténébreux de l'image en réussissant a ne mettre de la lumière que sur des visages ou hauts de corps a different points du cadre, lors de la premiere attaque, c'est du haut du pavé. Le reste est a l'avenante si bien que cette petite production laisse a penser que cela a coute beaucoup, beaucoup plus.
Evidemment la notion de cycle fait penser a Groundhog day, ce que les auteurs évacuent assez rapidement en citant le film et en pointant par le personnage de Michael Cimino, qu'il s'agit de tout autre chose.
Aussi, Il y a plusieurs idées qui me plaisent dans la progression scenaristique : l'idée qu'apres chaque mort, le corps se désagrège et une transformation prend place (via la signature sur le registre et le corps en lui meme). la volonté de se voir mourir et de sauver le groupe plutôt que de se sauver soi meme (a l'inverse des slashers habituels), que les survivances se font dans une scénographie tout a fait différente - a l'inverse Happy Death Death , entre autres -. Mais il s'agit surtout de ce twist existentiel qui le rend a part. Il s'agit d'un film d'horreur produit par une Major a destination du jeune public et c'était un pari.
meme si le développement des personnages n'est pas le pivot du film, l'ensemble possède une alchimie en temps que groupe, avec des dynamiques crédibles entre chacun.
Mais surtout, c'est que cela est filme avec sérieux. Ca veut faire un film d'horreur a l'ancienne (effets gore compris), et ca veut foutre la trouille. Pas de second degré, des touches d'humour à minima voire inexistantes. Pour une immersion en salle, c'est un exercice rare.
Evidemment le film va souffrir de comparaison de mélange de monstres et de maison comme Cabin in the Woods (que j'aime beaucoup, mais qui se situe a un autre niveau narratif et de finalité), parmi ses quelques faiblesses.
Mais pour moi, Sandberg et les acteurs remplissent leur contrat : faire un film d'horreur qui menage tempo de repos set accelerations horrifiques, sens de la menace, prendre du fun et le `partager au. spectateur. Mission réussie en ce qui me concerne.
Sandberg sait mettre en scene les moments horrifiques. certaines scenes sont franchement réussies (entre autres, le mutant rougeoyant qui arrive graduellement vers l'heroine a renforts de stroboscope noir-rouge). La qualité technique de l'ensemble est franchement superbe! Les éclairages subtils, privilégiant l'espace ténébreux de l'image en réussissant a ne mettre de la lumière que sur des visages ou hauts de corps a different points du cadre, lors de la premiere attaque, c'est du haut du pavé. Le reste est a l'avenante si bien que cette petite production laisse a penser que cela a coute beaucoup, beaucoup plus.
Evidemment la notion de cycle fait penser a Groundhog day, ce que les auteurs évacuent assez rapidement en citant le film et en pointant par le personnage de Michael Cimino, qu'il s'agit de tout autre chose.
Aussi, Il y a plusieurs idées qui me plaisent dans la progression scenaristique : l'idée qu'apres chaque mort, le corps se désagrège et une transformation prend place (via la signature sur le registre et le corps en lui meme). la volonté de se voir mourir et de sauver le groupe plutôt que de se sauver soi meme (a l'inverse des slashers habituels), que les survivances se font dans une scénographie tout a fait différente - a l'inverse Happy Death Death , entre autres -. Mais il s'agit surtout de ce twist existentiel qui le rend a part. Il s'agit d'un film d'horreur produit par une Major a destination du jeune public et c'était un pari.
meme si le développement des personnages n'est pas le pivot du film, l'ensemble possède une alchimie en temps que groupe, avec des dynamiques crédibles entre chacun.
Mais surtout, c'est que cela est filme avec sérieux. Ca veut faire un film d'horreur a l'ancienne (effets gore compris), et ca veut foutre la trouille. Pas de second degré, des touches d'humour à minima voire inexistantes. Pour une immersion en salle, c'est un exercice rare.
Evidemment le film va souffrir de comparaison de mélange de monstres et de maison comme Cabin in the Woods (que j'aime beaucoup, mais qui se situe a un autre niveau narratif et de finalité), parmi ses quelques faiblesses.
Mais pour moi, Sandberg et les acteurs remplissent leur contrat : faire un film d'horreur qui menage tempo de repos set accelerations horrifiques, sens de la menace, prendre du fun et le `partager au. spectateur. Mission réussie en ce qui me concerne.
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?