Cronos - Guillermo Del Toro (1993)

[Whale Rider]

c'est excellent.

[niko13]

Han mais quel rabat joie. Tu t'entraines à être parigot ou quoi ?

Prends ca dans ta gueule le montpellierain !!!!

Tres bon film ce Cronos, peu de moyens, mais une realisation, une interpretation et un scenario qui transcendent le tout.
Une variation tres intelligente sur le theme du vampirisme, j'aime vraiment beaucoup.

[rusty james]

Vu sur canal y'a un p'tit bout de temps... sympa mais avec quelques longueurs... on sent bien le premier film fauché si je me souviens bien avec une image assez sale (en fait çà doit être un peu voulu tout de même puisqu'on retrouve un peu çà dans L'échine du diable, bien que je l'ai vu dans un p'tit cinéma de quartier et que la copie n'était peu être pas des plus resplendissante et le matériel de diffusion pas des plus récent...), mais qui finalement sert le film...

[Manolito]

Un film qui souffre de certaines limites (scénario inabouti, anque de moyens financiers qui tue un peu l'ampleur du sujet). Mais il a aussi un ton ironique intéressant (le personnage de Ron Perlman) et une manière de mettre en valeur avant tout l'histoire, les personnages et les acteurs qui fait plaisir.

Vu sur le DVD pas collector testé sur le site :

http://www.devildead.com/indexfilm.php3?FilmID=177

Il y a aussi un teste de l'édition collector :

http://www.devildead.com/indexfilm.php3?FilmID=567

[Lord Ruthven]

Un très bon film qui est davantage une variation autour du vampirisme qu'un film de vampires en tant que tel. C'est assez lent et psychologique. Moi j'ai adoré, il y a une ambiance étrange vraiment prenante.

Et puis y'a Ron Pearlman, alors hein !

[fantomas 2]

C'est un film absolument formidable et je plains sincèrement ceux qui sont restés en-dehors de ce film envoûtant, admirablement mis en scène et interprêté.
Il y a plus d'idées et d'imagination dans ce film mexicain que devant les banalités yankee qui attirent la plupart des spectateurs - hélas.
D'ailleurs, un de mes potes a eu des ennuis avec son chien, car il était allé voir ce film sans emmener le clébard, comme vous pensez.
Le chien, un peu sourd, n'a pas supporté d'être privé de Crononos.

Désolé

[fatquick]

wééé cool la séquence à la highlander devant les néons géants
et puis c'est pas juste une référence gratuite.
y'en a d'autres dans le film, des flagrantes comme ça qui m'auraient échappé ?

[haxandreyer]

Il est tout de même rare de voir un film de vampire avec un ton original. Et ce film possède une ambiance vraiment particulière, pleine de fantaisie, de tendresse, de sensibilité et de poésie.

De plus, il n'a pas la saveur d'un film américain ou européen, et cette démarcation est trés rafraîchissante.

Comme quoi, il ne sert à rien d'avoir un gros budget, avec de l'inventivité, des idées et du talent, il est aussi possible de faire un beau film. Alors que Hellboy

[Seetrouy]

Beaucoup trop court ce film...

[Jarlow]

Un film magnifique, tres reussi dans l'etude des caracteres et la parabole sur la relation mexicains/americains... Del Toro montre deja un immense sens de l'image, au contraire de mon dvd anglais qui lui fait bien la gueule: les mouvements de cameras tres amples sont l'occasion de ralentissements et de saccades tres desagreables pour l'oeil, d'ou ma question : la version disponible en France est elle correcte ? Si quelqu'un possede le dvd anglais ( disponible dans le coffret Del Toro edite par Optimum ) a t'il note des problemes au niveau de l'image ? Merci d'avance...

[Manolito]

Décidément, les annonces de bluray tombent assez drues en ce moment : Del Toro a annoncé dans une interview que Criterion allait sortir "Cronos" prochainement en HD !

http://www.blu-ray.com/news/?id=4795

[Teurk le Sicaire]

Pour une raison difficile à cerner et malgré toutes ses qualités, je demeure toujours un peu extérieur au ciné de Del Toro. Pourtant, sur le papier et à l'écran, tout devrait me plaire : l'homme est un faiseur de belles images, avec un univers riche, des thématiques intéressantes et une véritable sincérité cinématographique. Cronos en est une illustration, avec sa relecture du vampire à l'aune des tentations et des angoisses d'immortalité. Là encore, j'ai souvent décroché, doucement bercé d'ennui par un rythme poético-évanescent peuplé de figures archétypales parfois agaçantes (la petite fille muette). Mais je reconnais que régulièrement, le film me cueillait à nouveau avec une scène saisissante (le léchage du sang sur le sol, parmi d'autres), une trouvaille visuelle ingénieuse, un humour punchy (le thanatopracteur), une symbolique, une curiosité (De La Guardia qui conserve ses morceaux de lui-même en bocal), une transgression, un mec déguisé en horloge... Et la discussion post-séance animée par des amateurs du Mexicain a éclairé des motifs pertinents qui m'avait échappés (l'inversion) et fait germer une piste de compréhension sur le sens profond du film, sur lequel je butais, par sa scène finale et la dédicace du réalisateur à sa grand-mère décédée.

Une expérience en demi-teinte mais que l'on n'a pas envie de dessouder, et dont le souvenir devrait concentrer à distance les points forts du film.