Splice - Vincenzo Natali (2009)

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bluesoul
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Re: Splice - Vincenzo Natali (2009)

Message par bluesoul »

Re-tente 8 ans plus tard (toujours sur Prime (Japon) ) et...

...cette fois, trouve franchement nul. :x

J'ai perdu pied apres avoir souffert pendant, quoi, une demi-heure pour finir par m'endormir.

A me relire (mon commentaire de 2017), je ne change rien, voire revois le tout a la baisse:
- le couple ne passe pas
- la dynamique entre les persos est lourde comme une tonne de briques
- Brody, quoi, piete! :evil:
- nos prix Nobels ne respectent aucun protocol scientifique ou mesures de securite (p.e.x
Spoiler : :
elle qui met la main dans le container, lui qui eventre la poche, en ressort un couteau ou scapel degoulinant d'une puree deguelbif et comme il n'a pas de troisieme main, met le couteau / scalpel encore degoulinant entre les dents :x BERK!
- un labo a plusieurs centaines de millions, voire une poignee de milliards de dollars ou des scientifiques font tout et n'importe quoi sans que personne ne remarque quoi que ce soit...

Nan mais, l'hallu complete. :shock: :shock: :shock:

Bon, je sais, c'est du bis et il faut bien qu'il y ait une ou une serie d'amicroche pour qu'on ait un film, mais franchement je commence en avoir marre de tous ces scientifiques multi-Nobelises / militaires multi-medailles aux QI qui se limitent a 2 chiffres.

Le probleme n'est meme pas de la caracterisation, mais de la paresse a l'ecrit du scenar. Si on se donne le temps / si le planning permet au scenariste de prendre le temps de peaufiner on peut trouver des astuces pour que le recit part en vrille et qu'on a un film horrifique ou de serie B, mais ca, c'est clair que c'est juste de la paresse intellectuelle. Un peu le meme constant qu'avec Life d'Espinosa que j'ai re-tape recemment.

Des trucs qui auraient passe dans les annees 50s/50s/70s, ca marche plus de nos jours ou alors qu'on limite ca aux cormaneries du cables ou de Sy-Fy parce qu'au cine on frole l'indigence.

Une perte de temps assez irritante au demeurant, je n'essayerai pas une troisieme fois.
En direct du Japon. Bonsoir. A vous, Cognac-Jay.
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