aurait dit le Terminator
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ayé enfin retrouvé la trace, adjugée 7900$
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Terminator 2 de James Cameron (1991)
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
Re: Terminator 2 de James Cameron (1991)
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Lord Taki
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Re: Terminator 2 de James Cameron (1991)
Reprise le mercredi 29 mai dans le cadre du "Clap du lingo" à Nice.
Le propre du desttin n'est-il pas d'affirmer que tout est déjà joué.
Re: Terminator 2 de James Cameron (1991)
mythique pour l'époque, émission Babylone sur la 5, spéciale Terminator2 & james cameron
Re: Terminator 2 de James Cameron (1991)
Numa Roda-Gil se tortille dans tous les sens avec un air halluciné. Les effets de la dope ? Ou essayait-il de singer Antoine De Caunes ou Jacky ?
Chicago Bulls, THX… Pas de doute, on est bien au début des années 90 !
Chicago Bulls, THX… Pas de doute, on est bien au début des années 90 !
Il y a un p'tit détail qui me chiffonne
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antropophagus
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Re: Terminator 2 de James Cameron (1991)
Les plus :
- Un sens de la narration génial. On connaît le talent de Cameron pour la mise en scène, mais je crois être encore plus impressionné par sa capacité à raconter des histoires.
- Une action d’une lisibilité exemplaire, en avance sur son temps, sans parler du thème lui-même de l’IA qui prend le contrôle. Rien à envier aux blockbusters récents, bien au contraire. Comme Die Hard, c’est une véritable leçon de cinéma.
- Une continuité parfaite avec l’original : certes, Schwarzy a pris un peu d'âge mais les clins d’œil et reprises du premier film sont jubilatoires et parfaitement intégrés.
- Un mètre étalon des effets numériques : on peut parler de révolution technique. Même si certains plans ont un peu vieilli (si, si), ça reste du grand art.
- J’adore le personnage de Miles Dyson, le seul, à vrai dire, qui me touche vraiment. Son destin me donne encore des frissons à chaque visionnage.
Les moins :
- Comme beaucoup, j’ai vénéré le film à sa sortie. Mais avec le temps, j’ai eu du mal à accepter que le T-800 devienne un héros. La démarche d’ouvrir le film à un plus large public est logique, mais la radicalité du premier opus me manquera toujours.
- Pas fan non plus des scènes d’humour entre le Terminator et John Connor, ni à la mièvrerie de certaines séquences. Mais bon...
Impossible de nier l’innovation incroyable et la maestria de Cameron. Terminator 2 reste un chef-d’œuvre d’action et de mise en scène, un jalon technique et narratif hors norme. Mais je garde une tendresse particulière pour le désespoir et la noirceur absolue du premier film. Si T2 est indéniablement une tuerie toujours aussi efficace aujourd’hui, T1 demeure, pour moi, inégalable.
- Un sens de la narration génial. On connaît le talent de Cameron pour la mise en scène, mais je crois être encore plus impressionné par sa capacité à raconter des histoires.
- Une action d’une lisibilité exemplaire, en avance sur son temps, sans parler du thème lui-même de l’IA qui prend le contrôle. Rien à envier aux blockbusters récents, bien au contraire. Comme Die Hard, c’est une véritable leçon de cinéma.
- Une continuité parfaite avec l’original : certes, Schwarzy a pris un peu d'âge mais les clins d’œil et reprises du premier film sont jubilatoires et parfaitement intégrés.
- Un mètre étalon des effets numériques : on peut parler de révolution technique. Même si certains plans ont un peu vieilli (si, si), ça reste du grand art.
- J’adore le personnage de Miles Dyson, le seul, à vrai dire, qui me touche vraiment. Son destin me donne encore des frissons à chaque visionnage.
Les moins :
- Comme beaucoup, j’ai vénéré le film à sa sortie. Mais avec le temps, j’ai eu du mal à accepter que le T-800 devienne un héros. La démarche d’ouvrir le film à un plus large public est logique, mais la radicalité du premier opus me manquera toujours.
- Pas fan non plus des scènes d’humour entre le Terminator et John Connor, ni à la mièvrerie de certaines séquences. Mais bon...
Impossible de nier l’innovation incroyable et la maestria de Cameron. Terminator 2 reste un chef-d’œuvre d’action et de mise en scène, un jalon technique et narratif hors norme. Mais je garde une tendresse particulière pour le désespoir et la noirceur absolue du premier film. Si T2 est indéniablement une tuerie toujours aussi efficace aujourd’hui, T1 demeure, pour moi, inégalable.
Man-eater