
Roadhouse (1989) Rowdy Herrington
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Pour une approche euh..."differente" de Road House, nous avons mis en ligne une étude philosophique de 6 pages sur nanarland intitulée Stoïcisme et pensée platonicienne dans Road house.
c'est ici : http://www.nanarland.com/philo/philo-roadhouse1.htm
c'est ici : http://www.nanarland.com/philo/philo-roadhouse1.htm
Je suppose qu’en faisant ce que vous avez fait, vous n’avez fait que précipiter la chose même qui vous a poussé à le faire...
Eaux Sauvages
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Re:
J'adore quand l'un des méchant fait un saut à la perche-salto en utilisant une queue de billard. Inutile à souhait mais très drôle.
Je n'avais pas revu le film depuis 15 ans je pense, mais je me souvenais parfaitement de ce passage et de cette réplique :
- T'es viré mon vieux !
- Mais c'est mon heure de pause (en train de copuler dans un recoin).
- T'iras la poser ailleurs.
Sinon j'ai beaucoup de sympathie pour cette série B musclée. De bonnes bagarres de cowboy, de la bière, des minettes bien roulées, des salopards... et Swayze, au self-control charismatique.
Je n'avais pas revu le film depuis 15 ans je pense, mais je me souvenais parfaitement de ce passage et de cette réplique :
- T'es viré mon vieux !
- Mais c'est mon heure de pause (en train de copuler dans un recoin).
- T'iras la poser ailleurs.
Sinon j'ai beaucoup de sympathie pour cette série B musclée. De bonnes bagarres de cowboy, de la bière, des minettes bien roulées, des salopards... et Swayze, au self-control charismatique.
Il y a un p'tit détail qui me chiffonne
Re: Roadhouse (1989) Rowdy Herrington
Un scénario de western très classique, replacé dans le contexte des boites des nuit, sur fond d'ambiance contemporaine hyper-plouc pour ce film d'action très standard. Tout est fait pour plaire au redneck de base : bagarres a gogo, un peu de fesse, un peu de sang, beaucoup de rock/blues, et même une démonstration de Monster Truck ! Malgré un début assez cool et marrant, j'ai trouvé que le film se casse complètement la figure dans son dernier tiers ("Road House" durant presque deux heures, ce qui est trop long pour ce qu'il est !) en partant dans une histoire de vengeance quasi-ramboesque, et se concluant sur une note bien facho. Non vraiment, malgré de bonnes bases et des personnages de videurs a priori sympa (Sam Elliot !), je n'ai pas adhéré. On sauve une agréable photo scope de Dean Cundey et surtout les prestations du Jeff Healey Band. Pour le reste, bof...
Vu sur le dvd édition spéciale US de 2006 montrée ci-dessus, avec une très agréable copie 2.35 16/9, un transfert propre, sans aucune trace de bidouillage numérique flagrant, bien naturelle et définie. Bande son anglaise dolby stéréo d'origine très sympa et stf.
Vu sur le dvd édition spéciale US de 2006 montrée ci-dessus, avec une très agréable copie 2.35 16/9, un transfert propre, sans aucune trace de bidouillage numérique flagrant, bien naturelle et définie. Bande son anglaise dolby stéréo d'origine très sympa et stf.
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Re: Roadhouse (1989) Rowdy Herrington
Ah, visiblement on se détend les jours de congés ! 

Re: Roadhouse (1989) Rowdy Herrington
ça arrive le 1er juin... et ça claque ! L'été va être chaud !



Il y a un p'tit détail qui me chiffonne
Re: Roadhouse (1989) Rowdy Herrington
Revu sur le bluray sorti cet été.
La première heure est vraiment chouette, Swayze campe un personnage intéressant : videur philosophe, à qui on ne la fait pas. Jouissif ! Il y a une réplique absolument géniale qui résume le personnage : aux Urgences, alors qu'il se fait recoudre (sans anesthésie), quand on lui demande pourquoi un type diplômés en philosophie se retrouve videur dans un bar pourri, Swayze répond malicieusement "parce que j'ai eu de la chance". Patrick Swayze reprendra cet aspect charismatique, mêlant homme d'action et philosophie deux ans plus tard avec Point Break.
Bon bref, vous connaissez le film par coeur, mais c'est dans sa seconde partie où le bât blesse, le film déraille malheureusement vers... L'arme fatale (en gros), alors qu'il ne s'agit ni du même univers, ni du même personnage. Mais Joël Silver oblige, il a dû se dire que si Mel Gibson en fou-fou se battant dans la boue avait marché, il suffisait de reproduire la formule. Et donc, alors que le héros est un self-control-man qui cherche toujours à rester cool, celui-ci devient d'un coup un gars fou prêt à tuer et à hurler à qui veut l'entendre... Comme le soulignait Manolito plus haut, cet aspect revanchard ne va pas du tout, on a le sentiment d'avoir zappé et d'être sur un autre film. Dommage donc car la première heure est vraiment cool, au concept intéressant (se pencher avec intérêt sur le "métier" de videur).
Le bluray est splendide, le travail de restauration est surprenant et n'a pas été fait à la légère. Je craignais une vf étouffée et il n'en est rien étonnamment. Et ne serait-ce que pour cette première heure, je ne regrette pas cet achat.
La première heure est vraiment chouette, Swayze campe un personnage intéressant : videur philosophe, à qui on ne la fait pas. Jouissif ! Il y a une réplique absolument géniale qui résume le personnage : aux Urgences, alors qu'il se fait recoudre (sans anesthésie), quand on lui demande pourquoi un type diplômés en philosophie se retrouve videur dans un bar pourri, Swayze répond malicieusement "parce que j'ai eu de la chance". Patrick Swayze reprendra cet aspect charismatique, mêlant homme d'action et philosophie deux ans plus tard avec Point Break.
Bon bref, vous connaissez le film par coeur, mais c'est dans sa seconde partie où le bât blesse, le film déraille malheureusement vers... L'arme fatale (en gros), alors qu'il ne s'agit ni du même univers, ni du même personnage. Mais Joël Silver oblige, il a dû se dire que si Mel Gibson en fou-fou se battant dans la boue avait marché, il suffisait de reproduire la formule. Et donc, alors que le héros est un self-control-man qui cherche toujours à rester cool, celui-ci devient d'un coup un gars fou prêt à tuer et à hurler à qui veut l'entendre... Comme le soulignait Manolito plus haut, cet aspect revanchard ne va pas du tout, on a le sentiment d'avoir zappé et d'être sur un autre film. Dommage donc car la première heure est vraiment cool, au concept intéressant (se pencher avec intérêt sur le "métier" de videur).
Le bluray est splendide, le travail de restauration est surprenant et n'a pas été fait à la légère. Je craignais une vf étouffée et il n'en est rien étonnamment. Et ne serait-ce que pour cette première heure, je ne regrette pas cet achat.
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Re: Roadhouse (1989) Rowdy Herrington
J'aime bien ce film dans la tendance 80's. C'est too much, mais ça marche. Les beaufs qui se bastonnent en éclatant leurs bières sur le plexiglas qui les séparent du groupe musical, la serveuse un peu jolie un peu moche qui drague Patrick Swayse, celui-ci qui sort des pneus de son coffre parce qu'il savait qu'on allait crever les siens, ou quand il fait appel à son pote badass pour l'aider... Oui c'est con, mais c'est les années 80, et on a le droit d'être nostalgique même sur des années cons 
