Cala va faire plus de 6 mois que j'ai le dvd locatif en ma possession.
OUi j'ai triché, c'est le dvd espagnol.
Joli film au passage. De la Iglesia est un grand enfant amoureux du genre.
Les apparitions fatales des morts-vivants, dans leur brutalité, apparaissent inévitables, comme la main aveugle du destin. Les morts sont une fatalité, non un danger qui mettrait en jeu la survie.
un peu trop long, ca manque parfois de dynamisme et la fin est un peu loupée. Mais le film est bien fun avec de bonnes têtes, on sent l'amour quele réal à pour le western. la scène de la fête dans la saloon est à mourir de rire ...
Superfly a écrit :on sent l'amour quele réal à pour le western.
Sauf que dans les supplements, Il dit justement qu'il n'aime pas specialement le Western et qu'il s'agit d'un genre qui ne l'attire absolument pas !
Ca c'est du Superfly tout craché: le gars qui sort de jolies phrases préformattées sans aucun fondement, juste pour se la péter et avoir l'air de connaître des choses. Par oral, il aurait dit ça en posant son dos contre le dossier de sa chaise, en croisant les jambes et en balançant sa main droite dans les airs comme une sorte d'artiste autiste qui aurait perdu son pinceau. Sacré mouche
ben j'ai pas vu les suppléments ... mais c'est bizarre qu'il sorte ca quand on fait un western. C'est pas une boutade pour faire marré je sais pas qui ? J'aime pas le western mais je fais un film sur un vieux cascadeur qui se croit encore à cette époque, qui donne la passion à son petit fils et qui lutte quand on veut détruire son rêve. C'est bizarre quand même. EN même temps moi je m'en fous
Superfly a écrit :un peu trop long, ca manque parfois de dynamisme et la fin est un peu loupée. Mais le film est bien fun avec de bonnes têtes, on sent l'amour quele réal à pour le western. la scène de la fête dans la saloon est à mourir de rire ...
Pas le meilleur de La Iglesia je l'accorde mais un film d'amoureux du cinéma populaire c'est clair.
C'est pas les Dalton qui fera mieux...
Les apparitions fatales des morts-vivants, dans leur brutalité, apparaissent inévitables, comme la main aveugle du destin. Les morts sont une fatalité, non un danger qui mettrait en jeu la survie.