http://www.elsegundonombre.com/
Second Name is the story of a woman who fights against her destiny, of a daughter who unearths the terrible past of her father, of a victim who will not resign herself to her role and decides to change things.
Kikavu El Segundo Nombre (2002)
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Superfly
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Kikavu El Segundo Nombre (2002)
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ScreamQueen
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Ouaip, c'est pas mal du tout.
Premier film de Paco Plaza, 2nde adaptation par les Espagnols - la première étant La Secte sans nom de Balaguero - d'un roman de Ramsey Campbell (inédit chez nous, à la différence de La Secte... paru en "Terreur" Pocket).
Le réal a depuis récidivé dans le genre avec une histoire mêlant fait divers historique et loup-garou : Romasanta - dont on n'a pas dit le plus grand bien ici même, ce me semble.
Concernant Les Enfants d'Abraham, sorti chez nous au ciné en août 2003, une jeune femme s'en va éclaircir les mystères de son passé, à la suite du suicide inexpliqué de son père, le jour même de son anniversaire.
Comme dans le film de Balaguero, on y découvre une secte - un thème cher à Campbell -, celle des Abrahamites, qui interprète différemment l'action de l'ange face au sacrifice humain que s'apprête à faire le patriarche (à la demande de Dieu
).
Un film d'atmosphère, je dirais, aussi noir que le film de Balaguero, et au final tout aussi dur.
En bref, viva Espana !
Premier film de Paco Plaza, 2nde adaptation par les Espagnols - la première étant La Secte sans nom de Balaguero - d'un roman de Ramsey Campbell (inédit chez nous, à la différence de La Secte... paru en "Terreur" Pocket).
Le réal a depuis récidivé dans le genre avec une histoire mêlant fait divers historique et loup-garou : Romasanta - dont on n'a pas dit le plus grand bien ici même, ce me semble.
Concernant Les Enfants d'Abraham, sorti chez nous au ciné en août 2003, une jeune femme s'en va éclaircir les mystères de son passé, à la suite du suicide inexpliqué de son père, le jour même de son anniversaire.
Comme dans le film de Balaguero, on y découvre une secte - un thème cher à Campbell -, celle des Abrahamites, qui interprète différemment l'action de l'ange face au sacrifice humain que s'apprête à faire le patriarche (à la demande de Dieu
).Un film d'atmosphère, je dirais, aussi noir que le film de Balaguero, et au final tout aussi dur.
En bref, viva Espana !
L'une des expériences cinéma les plus éprouvantes de l'année 2003: mal joué (actrice minable), scénar bateau et banal (les espagnols ne se sont toujours pas remis du succès de la superbe Secte sans nom), mise en scène plate, un vrai ratage ce truc! PAs étonnant qu'il soit complètement passé inaperçu.
J'ai vu LA SECTE SANS NOM et franchement, c'est une quand meme une grosse deception (tape à l'oeil pour rien, etc...). Pourtant, j'aime bien LES ENFANTS D'ABRAHAM qui a l'honnetete de jouer sur son ambiance et non pas sur des effets faciles et parfois incongrus dans l'histoire ! DARKNESS souffre d'ailleurs des memes problemes, c'est bien foutu et tout mais en fait, le film te fait sursauter avec des effets faciles qui sont parfois totalement gratuit. LES ENFANTS D'ABRAHAM joue definitivement dans un autre registre.Zecreep a écrit :L'une des expériences cinéma les plus éprouvantes de l'année 2003: mal joué (actrice minable), scénar bateau et banal (les espagnols ne se sont toujours pas remis du succès de la superbe Secte sans nom), mise en scène plate, un vrai ratage ce truc! PAs étonnant qu'il soit complètement passé inaperçu.
Oui, mais la Secte sans nom, c'est d'abord une ambiance avec un paroxysme de pessimisme nihiliste (la fin, sublime!). On ne sait jamais où le film veut nous mener. Et puis, le sujet des sectes, peu cinégénique à la base, y est traité de manière passionnante. Quant aux effets, ils fonctionnent bien, le film fout la frousse.
Darkness parcontre sent le réchauffé. Le cinéaste à court d'idées nous ennuie avec un scénar facile destiné à l'international. Reste une fin substantielle.
Les enfants d'Abraham parcontre a pour moi tout du téléfilm soigné qui n'existe que grâce au succès de ses pairs (Les autres, Tesis, LA secte sans nom...). Un refus d'instaurer la peur, des maladresses par dizaine, un récit confus... JE me suis emmerdé alors que j'étais parti pour l'adorer.
Darkness parcontre sent le réchauffé. Le cinéaste à court d'idées nous ennuie avec un scénar facile destiné à l'international. Reste une fin substantielle.
Les enfants d'Abraham parcontre a pour moi tout du téléfilm soigné qui n'existe que grâce au succès de ses pairs (Les autres, Tesis, LA secte sans nom...). Un refus d'instaurer la peur, des maladresses par dizaine, un récit confus... JE me suis emmerdé alors que j'étais parti pour l'adorer.
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niko13
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Fidele a ma devise "toujours premier a decouvrir les films" 
...
Vu hier donc, et je n'en sors pas totalement conquis tout de meme.
Meme si une certaines ambiance parvient finalement a s'installer (au bout de 40 minutes de film tout de meme), la lenteur et surtout la relative linearite du scenario (implacable certes, mais ultra previsible) en font, a mes yeux, un telefilm de luxe.
Je trouve la realisation pas tres folichonne mais c'est vrai qu'on evite les effets a la Balaguero, que j'aime beaucoup au demeurant.
Le film est donc depouille, pour mieux se concentrer sur son "intrigue" et sur l'ambiance. Mais, si en plus de ca les acteurs n'arrivent pas a se mettre au diapason (je trouve leur accent anglais extremement prononce, a la limite du cabotinage meme)...
Donc, malgre une tres bonne histoire (je devrais lire du Ramsey Campbell tiens), quelques tres bonnes scenes (l'explication du pretre, la revelation video et la scene finale, cruelle), je ne vais pas crier au genie.
Et puisqu'on faisait des comparaisons, on peut reprocher a Balaguero de se la jouer et de (presque) saturer ses films d'effets, mais lui par contre il n'a aucun probleme a instaurer une ambiance flippante (oui, meme pour Darkness, que je defendrai becs et ongles !!:D).
...Vu hier donc, et je n'en sors pas totalement conquis tout de meme.
Meme si une certaines ambiance parvient finalement a s'installer (au bout de 40 minutes de film tout de meme), la lenteur et surtout la relative linearite du scenario (implacable certes, mais ultra previsible) en font, a mes yeux, un telefilm de luxe.
Je trouve la realisation pas tres folichonne mais c'est vrai qu'on evite les effets a la Balaguero, que j'aime beaucoup au demeurant.
Le film est donc depouille, pour mieux se concentrer sur son "intrigue" et sur l'ambiance. Mais, si en plus de ca les acteurs n'arrivent pas a se mettre au diapason (je trouve leur accent anglais extremement prononce, a la limite du cabotinage meme)...
Donc, malgre une tres bonne histoire (je devrais lire du Ramsey Campbell tiens), quelques tres bonnes scenes (l'explication du pretre, la revelation video et la scene finale, cruelle), je ne vais pas crier au genie.
Et puisqu'on faisait des comparaisons, on peut reprocher a Balaguero de se la jouer et de (presque) saturer ses films d'effets, mais lui par contre il n'a aucun probleme a instaurer une ambiance flippante (oui, meme pour Darkness, que je defendrai becs et ongles !!:D).
What the fuck did I do ?
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fantomas 2
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