Coffrets WildSide Keoma/El Chuncho & Django/4 de l'Apocalypse

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Jérôme
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Message par Jérôme »

critique de l'édition anglaise de Keoma, avec aussi Texas Addio

http://www.zetaminor.com/dvd/dvdreviews/keoma_texas.htm
Nico la grenouille
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Message par Nico la grenouille »

Jérôme a écrit :critique de l'édition anglaise de Keoma, avec aussi Texas Addio

http://www.zetaminor.com/dvd/dvdreviews/keoma_texas.htm
Le anchor bay z1 de Texas Addio est le seul western spagh' de leur catalogue (avec Companeros) qui peut etre regardé en VO STA dans sa totalité (et pas juste les scenes coupées du montage americain)aussi il me semble plus judicieux de pecho le double feature de Wild Side + le zone 1 de Texas que le dvd anglais & le zone 1 d'El Chuncho... Sans compter que les bonux du WS ont l'air bien plus alléchant ! [/dvdnerd-off]
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Gronf
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Message par Gronf »

J'ai matté Django ce Week-end. Je ne l'avais jamais vu. Quel film!
Au début, j'ai eu peur d'assister à une variante de "Pour une poignée de dollars" mais le film prend une tournure différente assez rapidement.
C'est très noir, pessimiste, violent, sans concession, un des meilleurs westerns qui m'ait été donné de voir.
Mais de Corbucci, j'ai une légère préférence pour "Le grand silence", mieux réalisé à mon avis et encore plus noir. Ah ces plans sur les décors enneigés!
Haribo
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Message par Haribo »

Enfin vu ces fameux 4 DE L'APOCALYPSE et j'ai... A-DO-RE
Un western totalement anti-conformiste, qui s'appesante sur l'état de bestialité des héros avec de grands moments de lyrisme dans une violence qui sent le souffre. On oublie quasiment en cours de route qu'on regarde un western, tant la prégnance du style Fulci et sa propension à une forme d'érotisme macabre au sens le plus large s'exprime au grand jour au travers des cadres, du montage, de la musique, de ses figures antagonistes à l'état charnel exacerbé.
Quelques pointes de racisme ordinaire à dénoncer ([spoiler] Banania forcêment nécrophage[/spoiler]), une interprétation de bonne tenue, un rythme sauvegardé malgré un script à structure initiatique balisé, un western déshumanisé qui s'autorise tout de même un moment de poésie desespéré qui restera.
Remarquable exemple d'immersion dans un genre par un auteur qui a su rester lui-même !
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