Sauf que lui il peut se permettre étant donné que, contrairemnet à un zouave de service que je connais bien, il a vu le film, lui.Fatalis rex a écrit :Quel con ce Zecreep, d'avoir un avis personnel
The Incredibles / Les Indestructibles - Brad Bird (2004)
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Fatalis rex
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Tout à fait, j'ai vraiment hâte de le découvrir (contraitement à toi) et si c'est une sombre merde, je n'hésiterais pas à le déscendre en flèche. 
Mais seulement après, et pas avant comme tu le fais si bien sur Mad.
Quant à Zecreep, je savais que je pouvais compter sur lui pour se faire.
Et généralement, quand il déteste cordialement un film, c'est bon signe.
Mais seulement après, et pas avant comme tu le fais si bien sur Mad.
Quant à Zecreep, je savais que je pouvais compter sur lui pour se faire.
Et généralement, quand il déteste cordialement un film, c'est bon signe.
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White Snake
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Vu cet après-midi, totalement jouissif !!!
L'ambiance retro pop reste ce qui m'a le plus impressioné (j'avais les yeux explosés à chaque décors), le rythme et montage sont excellents (enfin un vrai film d'action.... en image de synthese), les persos sont très attachants, l'humour subtil... grandiose quoi.
Ps: Par contre le court métrage diffusé en préambule est une bonne grosse bouse.
L'ambiance retro pop reste ce qui m'a le plus impressioné (j'avais les yeux explosés à chaque décors), le rythme et montage sont excellents (enfin un vrai film d'action.... en image de synthese), les persos sont très attachants, l'humour subtil... grandiose quoi.
Ps: Par contre le court métrage diffusé en préambule est une bonne grosse bouse.
Zecreep styllleee !
Comme pour chaque film en 3d que j'ai vu, je n'ai pas vraiment apprecié ce dernier pixar. Pourtant, la mise en scène est alerte, ltraversée de quelques (très) bonnes idéese montage diablement rythmé, . Mais bon, le film, malgrès toute ses qualités, m'a laissé totalement froid. L'impression de ne jamais m'impliquer, de voir une oeuvre un poil froid, le syndrome 3d. D'ailleurs, le design trop anguleux, ne fait qu'augmenter ma réticence (et ce, malgrès la maitrise technique ambiante, nottement au niveau des décors).
Sinon le film est plutot intéressant, les scènes d'action réellement spectaculaire. Reste que ca aurait pu dévellopper un peu plus cet aspect super-héros déchus (sans demander aux scénaristes de faire du watchmen, cette partie du scénario m'a paru bien plus interessante que tout ce qui se passe su l'ile). Pas un ratage, juste un film bien fait qui me laisse totalement indifferent.
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Comme pour chaque film en 3d que j'ai vu, je n'ai pas vraiment apprecié ce dernier pixar. Pourtant, la mise en scène est alerte, ltraversée de quelques (très) bonnes idéese montage diablement rythmé, . Mais bon, le film, malgrès toute ses qualités, m'a laissé totalement froid. L'impression de ne jamais m'impliquer, de voir une oeuvre un poil froid, le syndrome 3d. D'ailleurs, le design trop anguleux, ne fait qu'augmenter ma réticence (et ce, malgrès la maitrise technique ambiante, nottement au niveau des décors).
Sinon le film est plutot intéressant, les scènes d'action réellement spectaculaire. Reste que ca aurait pu dévellopper un peu plus cet aspect super-héros déchus (sans demander aux scénaristes de faire du watchmen, cette partie du scénario m'a paru bien plus interessante que tout ce qui se passe su l'ile). Pas un ratage, juste un film bien fait qui me laisse totalement indifferent.
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Film très touchant qui nous rappelle que rien n'est plus fort que le pouvoir d'une cellule familiale saine et unie. Comprendre ses enfants, avoir foi en eux, être fidèle à son épouse et s'intégrer tous ensemble dans la société, c'est un formidable message d'espoir désormais à la portée de tous les clients de mac donald's, comme en témoignent les non moins formidables spots publicitaires qui se succèdent pendant 35 minutes avant l'ouverture du film et qui expliquent qu'Ugc n'a pas jugé utile de prendre en hotage ses spectateurs en diffusant le court métrage de rigueur.
Un film élastique, à l'instar de son héroïne elasticgirl, qui a définitivement le cul entre deux chaises. entre ce qui y est dénoncé - absurdité d'un système qui privilégie les actionnaires, absurdité d'une société procédurière - ou défendu - l'entraide, la dévotion et la cellule familiale- et la machine à fric qui est derrière le film, devant le film, à côté du film et dans le film. Un SUPER rouleau compresseur qui nous offre deux heures de SUPER divertissement hyper-référentiel-quifaitsourireencoin-lesconnaisseurs-quiontdelasousculture- , ludique, impressionnant pour sa capacité à râtisser large de papy qui a vu sean connery en james bond au cinéma au tout dernier qui a 3 ans, contre des mois de pollution visuelle et auditive.
Allez 125/167, pouvait mieux faire au niveau de la personnalité intrinsèque, le référentiel ça va trente secondes.
Un film élastique, à l'instar de son héroïne elasticgirl, qui a définitivement le cul entre deux chaises. entre ce qui y est dénoncé - absurdité d'un système qui privilégie les actionnaires, absurdité d'une société procédurière - ou défendu - l'entraide, la dévotion et la cellule familiale- et la machine à fric qui est derrière le film, devant le film, à côté du film et dans le film. Un SUPER rouleau compresseur qui nous offre deux heures de SUPER divertissement hyper-référentiel-quifaitsourireencoin-lesconnaisseurs-quiontdelasousculture- , ludique, impressionnant pour sa capacité à râtisser large de papy qui a vu sean connery en james bond au cinéma au tout dernier qui a 3 ans, contre des mois de pollution visuelle et auditive.
Allez 125/167, pouvait mieux faire au niveau de la personnalité intrinsèque, le référentiel ça va trente secondes.
Story of Ricky est le film le plus émouvant du XXième siècle.
Ca aussi ca m'a lourdé. J'ai cru que ça allait me mettre de mauvais poil pour les cinq heures à venir mais la qualité du film m'a débarbouillé. Comme d'autres, je redoutai une vision très "7 à la maison" de la famille. Même si le film ne manque pas de faire l'apologie de la famille soudée et unie contre l'adversité, ca ne dépasse pas les limites du bon sentiment. Plus optimiste, je retiendrai que le film est une bonne satyre de l'univers familial, qui relève "tout ces p'tits trucs" caractéristiques (les gosses en bagnoles qui demandent au père quand est ce qu'on arrive, les parents qui s'engueulent pour la route, les disputes à table...) et qui ne manquent pas de faire rire (facile, dirons certains, mais efficace).kit a écrit :Film très touchant qui nous rappelle que rien n'est plus fort que le pouvoir d'une cellule familiale saine et unie. Comprendre ses enfants, avoir foi en eux, être fidèle à son épouse et s'intégrer tous ensemble dans la société, c'est un formidable message d'espoir désormais à la portée de tous les clients de mac donald's, comme en témoignent les non moins formidables spots publicitaires qui se succèdent pendant 35 minutes avant l'ouverture du film et qui expliquent qu'Ugc n'a pas jugé utile de prendre en hotage ses spectateurs en diffusant le court métrage de rigueur.
Enfin, Disney, par l'intermédiaire des studios Pixar, décolle de cet esprit culcul dans lequel il s'était enfermé jusque dans les 90's. Dans The Incredibles, on approche les thèmes du divorce, de la bureaucratie, de la mort, des médias... On peut voir un gamin de 9ans balancer des torgnoles sans ménagement, une mère dire à ses enfants "on est pas dans un dessin animé, s'ils vous trouvent, ils peuvent vous tuer"... Un esprit neuf, lavé de toute mievrerie et caractéristique des studios Pixar.
Le scénario du film, les différents lieux abordé (mer, terre, île, agglomération, jungle) permettent un déploiement spéctaculaire de couleurs et de formes, chose qui avait été moins évidente avec Monstre et Cie.
Le plus abouti des Pixar, tant scénaristiquement que techniquement.... Mon préféré ! 6/6
Et je trouve que la VF n''est absolument pas dérangeante. Au contraire, je pense que je la préférerai surement à la VO. Lorie nous livre (pour une fois) une performance vocale impressionnante (j'sais pas pourquoi, sa voix colle bien à ce personnage d'ado introverti qui cache sa gueule derrière ses cheveux ) PPDA est à sa place, en présentateur du JT, on l'entend deux minutes.... Même Amanda Lear est à sa place ! Sa voix colle parfaitement au personnage. Seul Bruno Salomone ne m'a pas convaincu...
) PPDA est à sa place, en présentateur du JT, on l'entend deux minutes.... Même Amanda Lear est à sa place ! Sa voix colle parfaitement au personnage. Seul Bruno Salomone ne m'a pas convaincu...Du très très bon, il n'y a pas à dire 
Le mix parfait entre le meilleur de Bond et du film de super héro. Et puis ça change des petits animaux. Le court est vraiment sympa aussi
Malgré tout, peut être une réserve sur certains designs de personnages (notamment le bad guy), mais c'est vraiment pour râler sur quelquechose
Vivement le prochain Brad Bird
Le mix parfait entre le meilleur de Bond et du film de super héro. Et puis ça change des petits animaux. Le court est vraiment sympa aussi
Malgré tout, peut être une réserve sur certains designs de personnages (notamment le bad guy), mais c'est vraiment pour râler sur quelquechose
Vivement le prochain Brad Bird
Vu ce weekend: Génial (comme d'hab chez Pixar et Brad Bird). Design excellent, scènes d'action de ouf, et puis j'adore la morale du film: "si tout le monde devient exceptionnel, plus personne ne l'est" : dans vot' face les Starac et compagnie!
Carrément, ça m'a beaucoup fait pensé à L'homme au pistolet d'or, qui est peut-être mon Bond préféré.Daoloth a écrit :le meilleur de Bond
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marvin
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Bon, ben, c'est bon, y a plus besoin d'attendre les "4 fantastiques" (on me dit dans l'oreillette, que, de toute façon, tout le monde s'en fout de ce film) : ils viennent d'arriver et en fait , ils s'appellent: "the Incredibles"!
Je vais pas revenir sur les qualités du film décrites par chacun plus haut, excepté que j'ai pris un panard d'enfer devant ce festival d'invention et d'humour.
Egalement, quand Tim burton devient papa et qu'il s'intéresse à la famille (et à ce que peut représenter d'être père), ça donne une guimauve comme Big Fish; quand Brad Bird fait de même, il mène sa réflexion au sein d'un film d'action et d'aventure bondissant , sans tomber dans une morale plombante.
Et puis, il ya cette scène du dîner familial qui tourne à l'affrontement ("on avait dit pas de champ de force": un régal)
Je vais pas revenir sur les qualités du film décrites par chacun plus haut, excepté que j'ai pris un panard d'enfer devant ce festival d'invention et d'humour.
Egalement, quand Tim burton devient papa et qu'il s'intéresse à la famille (et à ce que peut représenter d'être père), ça donne une guimauve comme Big Fish; quand Brad Bird fait de même, il mène sa réflexion au sein d'un film d'action et d'aventure bondissant , sans tomber dans une morale plombante.
Et puis, il ya cette scène du dîner familial qui tourne à l'affrontement ("on avait dit pas de champ de force": un régal)
"Je dis aux jeunes : la fête, c'est la vie. La vie, c'est ton visage !" (Hommage à un disparu: Jean Pierre Raffarin)