http://www.dvddrive-in.com/reviews/t-z/ ... esea76.htm
http://www.mondo-digital.com/witchwhocame.html
Witch Who Came From the Sea - Matt Cimber (1976)
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Superfly
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Witch Who Came From the Sea - Matt Cimber (1976)
A disturbed woman is haunted by memories of childhood abuse, which culminates in a murder spree.
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moi.
j'ai pas pu attendre la sortie du dvd (que j'ai quand même commandé)
alors j'ai trouvé un rip et je suis d'accord avec ce qui en est dit sur Drive-in.
D'après le titre et l'affiche, je m'attendais à quelquechose style Hammer,
puis après avoir vu le trailer, c'est plutot radicalement pas ça...
C'est plus un drame, comme Toys are not for Children, avec une ambiance
balnéaire et étrange comme dans Night Tide. C'est rempli de désillusion,
de tristesse, on découvre la folie de Molly et on préscent que le final sera
droit dans le mur dés les premières minutes. Ce n'est pas un film
d'exploitation du tout, même si il y a du sexe, du sang et des cris.
C'est peut être un bon petit film oublié et déterré.
Vivement le 21.
j'ai pas pu attendre la sortie du dvd (que j'ai quand même commandé)
alors j'ai trouvé un rip et je suis d'accord avec ce qui en est dit sur Drive-in.
D'après le titre et l'affiche, je m'attendais à quelquechose style Hammer,
puis après avoir vu le trailer, c'est plutot radicalement pas ça...
C'est plus un drame, comme Toys are not for Children, avec une ambiance
balnéaire et étrange comme dans Night Tide. C'est rempli de désillusion,
de tristesse, on découvre la folie de Molly et on préscent que le final sera
droit dans le mur dés les premières minutes. Ce n'est pas un film
d'exploitation du tout, même si il y a du sexe, du sang et des cris.
C'est peut être un bon petit film oublié et déterré.
Vivement le 21.
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Superwonderscope
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euh... c'est en effet assez déroutant!
Le Z1 de chez Subversive offre un transfert 2.35:1 avec 16/9. VO 2.0 + commentaire de Matt Cimber & Millie Perkins.
Le titre est très trompeur (l'affiche aussi). On assiste à la déroute de la jeune Molly (Millie Perkins), obsédée par les persoannges people qu'elel vot à la TV, s'occupant avec amour des deux garçons de sa soeur travaillant d'arrache pied.
On apprend petit à petit qu'elle fut violentée par son père à l'age de 12 ans et, dans des crises de délire, drague certains personnalités de la TV, fait l'amour avec et finit par les torturer et les castrer au rasoir.
Le film risqua un classement X en 1976 du fait de ses scènes suggérant l'inceste ainsi que sa violence.
L'ambiance est assurément deliquescente, entre folie douce et amertume. ce qui est curieux, c'est l'empathie que le metteur en scène fait ressentir au spectateur par rapport au personnage de Molly. ce malgré les meurtres et la folie, on ne peut s'empecher de ressentir de la compassion. C'est plutot trouble, egalement quant au comportement du père. il y a une scène d'amour entre lui et sa fille de douze ans. On sent qu'elle a envie de faire plaisir à son père mais dans son regard et ses cris, il est clair qu'elle commence à comprendre que quelque chose ne va pas.
La relation entre Molly et sa soeur est également faite de trouble et de violence, tant le rejet de la soeur est violent (le père est un alcoolique brutal dégénéré) alors que Molly continue à l'idéaliser et à le défendre aux yeux de ses neveux. D'ailleurs, la dernière partie est assez bizarre, tant la porximité entre Molly et ses neveux relève d'un quasi-inceste.
Entre folie sexuelle, maladie, violence compulsive, désenchantement, le film décrit les ravages d'un viol et de la pédophilie chez une jeune femme que tout porte, hélas, au déséquilibre. Ceci avec suffisamment d'ambiguité et de recul pour ne pas tomber ni dans l'exploitatif, ni dans le voyeurisme gratuit. Et sans céder à un moralisme de bon aloi. C'est peut etre de là d'où vient un certain malaise?
les scènes de violence sont hors champ, mais deux meurtres sont particulièrment pénibles à supporter du fait des cris étouffés des victimes, très réalistes, dont on vient à imaginer sans peine les tortures infligées!
L'explication du titre vient au fur et à mesure, prenant fait et corps d'une parabole sur les sirènes dont on aurait coupé la queue pour lui placer des jambes.
Le dvd se complète de quelques bandes annonces, mais surtout d'un featurette de 36 mn, avec interviews du réalisateur (Butterfly, Hundra, c'etait lui!), d el'actrice principale et du directeur photo, qui n'est autre que l'immense Dean Cundey.
Une incontestable découverte!
Le Z1 de chez Subversive offre un transfert 2.35:1 avec 16/9. VO 2.0 + commentaire de Matt Cimber & Millie Perkins.
Le titre est très trompeur (l'affiche aussi). On assiste à la déroute de la jeune Molly (Millie Perkins), obsédée par les persoannges people qu'elel vot à la TV, s'occupant avec amour des deux garçons de sa soeur travaillant d'arrache pied.
On apprend petit à petit qu'elle fut violentée par son père à l'age de 12 ans et, dans des crises de délire, drague certains personnalités de la TV, fait l'amour avec et finit par les torturer et les castrer au rasoir.
Le film risqua un classement X en 1976 du fait de ses scènes suggérant l'inceste ainsi que sa violence.
L'ambiance est assurément deliquescente, entre folie douce et amertume. ce qui est curieux, c'est l'empathie que le metteur en scène fait ressentir au spectateur par rapport au personnage de Molly. ce malgré les meurtres et la folie, on ne peut s'empecher de ressentir de la compassion. C'est plutot trouble, egalement quant au comportement du père. il y a une scène d'amour entre lui et sa fille de douze ans. On sent qu'elle a envie de faire plaisir à son père mais dans son regard et ses cris, il est clair qu'elle commence à comprendre que quelque chose ne va pas.
La relation entre Molly et sa soeur est également faite de trouble et de violence, tant le rejet de la soeur est violent (le père est un alcoolique brutal dégénéré) alors que Molly continue à l'idéaliser et à le défendre aux yeux de ses neveux. D'ailleurs, la dernière partie est assez bizarre, tant la porximité entre Molly et ses neveux relève d'un quasi-inceste.
Entre folie sexuelle, maladie, violence compulsive, désenchantement, le film décrit les ravages d'un viol et de la pédophilie chez une jeune femme que tout porte, hélas, au déséquilibre. Ceci avec suffisamment d'ambiguité et de recul pour ne pas tomber ni dans l'exploitatif, ni dans le voyeurisme gratuit. Et sans céder à un moralisme de bon aloi. C'est peut etre de là d'où vient un certain malaise?
les scènes de violence sont hors champ, mais deux meurtres sont particulièrment pénibles à supporter du fait des cris étouffés des victimes, très réalistes, dont on vient à imaginer sans peine les tortures infligées!
L'explication du titre vient au fur et à mesure, prenant fait et corps d'une parabole sur les sirènes dont on aurait coupé la queue pour lui placer des jambes.
Le dvd se complète de quelques bandes annonces, mais surtout d'un featurette de 36 mn, avec interviews du réalisateur (Butterfly, Hundra, c'etait lui!), d el'actrice principale et du directeur photo, qui n'est autre que l'immense Dean Cundey.
Une incontestable découverte!
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
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Superwonderscope
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Re: Witch Who Came From the Sea - Matt Cimber (1976)
Ca sort en Blu ray pour 2016:
http://www.devildead.com/indexnews.php3?NewsID=9844
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Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
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Dragonball
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Re: Witch Who Came From the Sea - Matt Cimber (1976)
Un film proposant à la base une histoire de psycho killer assez classique mais traité de façon assez spéciale, très naturaliste ! (Le film m'a rappelé "Season of the witch de George Romero ou encore "The Wicker man !)
C'est moche, gris, lent et bizarre, mais toute ces caractéristiques sont en quelques sorte visiblement voulue par la réalisateur et donnent donc au final ce cachet si particulier au film, assurément à découvrir !
Evidemment, inutile d'attendre ici un BR proposant une image HD classique. Je dirais plutôt qu'on se trouve en face d'une image digne d'un DVD assez correcte, mais je pense que celà reflète tout à fait l'esprit du film !
C'est moche, gris, lent et bizarre, mais toute ces caractéristiques sont en quelques sorte visiblement voulue par la réalisateur et donnent donc au final ce cachet si particulier au film, assurément à découvrir !
Evidemment, inutile d'attendre ici un BR proposant une image HD classique. Je dirais plutôt qu'on se trouve en face d'une image digne d'un DVD assez correcte, mais je pense que celà reflète tout à fait l'esprit du film !