Bonjour tout le monde
Je voulais savoir ce que signifiait le "Z" dans l'appellation série Z, d'ou ça vient ainsi que pour série B et quelles sont les autres appellations.
Merci d'avance
Ded
Définitions et étymologie : série Z et autres
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
-
- Messages : 265
- Enregistré le : mer. mai 19, 2004 2:17 pm
- Localisation : Villemomble
- Contact :
Définitions et étymologie : série Z et autres
Ded,
What are you waiting for, Christmas?
You wanna dance?
What are you waiting for, Christmas?
You wanna dance?
-
- Messages : 1564
- Enregistré le : ven. août 20, 2004 7:37 pm
- Localisation : le coffre d'une bagnole au fond d'un etang pres d'un motel glauque
les films de serie B a l'origine etait les films a petit budget produit par les studios pour fournir leur quota aux salles en complement de programmes.
je supose que le terme B etait juste un moyen de le distinguer des "grands films" de prestige qui était la raison premiere de la sceance.
Etant donné qu'ils étaient par obligation, tourné a moindre frais, dans des decors recyclé, et tourné en peu de temps sur des formules eprouvées; c'etait un terme moins pejoratif que "2ém categorie" ou "seconde classe"!
...de fil en aiguille, la serie Z est venue pour indiquer -de façon ironique cette fois- le nadir absolu en matiere de production, alors que le terme "b" n'a jamais été qu'un indication economique sur le modele de production, le Z signale une absence total de talents et de moyens!
je supose que le terme B etait juste un moyen de le distinguer des "grands films" de prestige qui était la raison premiere de la sceance.
Etant donné qu'ils étaient par obligation, tourné a moindre frais, dans des decors recyclé, et tourné en peu de temps sur des formules eprouvées; c'etait un terme moins pejoratif que "2ém categorie" ou "seconde classe"!
...de fil en aiguille, la serie Z est venue pour indiquer -de façon ironique cette fois- le nadir absolu en matiere de production, alors que le terme "b" n'a jamais été qu'un indication economique sur le modele de production, le Z signale une absence total de talents et de moyens!
-
- Messages : 4703
- Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 9:57 am
- Localisation : Paris
Pour compléter l’exacte explication de milton arbogast, si on part du principe des séries B, déclinaison d'un certain cinéma, on pourrait continuer cette dernière autant de fois que le cinoche ce mets à dévier.
Comme le Z est a l'extrême limite du A il n'y a donc carrément rien après, c'est donc le cinoche de tout les excès, arrivé à ce point, plus rien n'a d'importance

Comme le Z est a l'extrême limite du A il n'y a donc carrément rien après, c'est donc le cinoche de tout les excès, arrivé à ce point, plus rien n'a d'importance


"Comme disait mon ami Richard Nixon, mieux vaut une petite tâche sur la conscience qu'une grosse sur l'honneur. Allez en vous remerciant bonsoir."
-
- Messages : 121
- Enregistré le : sam. mai 01, 2004 7:23 pm
- Localisation : At The Edges of Twilight
Voilà ce que dit Wikipedia sur le sujet :
Avec la crise économique de 1929, le nombre de spectateurs diminue dans les salles, les majors (grandes compagnies de production) d'Hollywood décident de créer un double billet. Pour le prix d'une entrée, les spectateurs peuvent voir deux films : un grand (la série A) et un petit. C'est le début des films de série B, dont les principaux objectifs sont d'être peu chers à produire, rapides à faire, pas trop longs (entre 50 et 70 min) et lucratifs.
(...)
À partir de 1980, la vidéo devint accessible au grand public. C'est la naissance des films amateurs, aussi appelés films de série Z, car réalisés avec encore moins de moyens que les films de série B.
(...)
Il est à noter que les dénominations « série B » et « série Z », bien que dénotant un manque de moyen, ne sont pas nécessairement péjoratives et sont parfois revendiquées comme une contre-culture, par des cinéastes refusant de rentrer dans le moule de majors. Parmi les réalisateurs célèbres de séries Z, on peut citer par exemple Ed Wood, Roger Corman (qui lança Francis Ford Coppola, Martin Scorsese, Joe Dante et Jack Nicholson) et Peter Jackson (bien avant Le Seigneur des Anneaux).
http://fr.wikipedia.org/wiki/Cin%C3%A9ma
Avec la crise économique de 1929, le nombre de spectateurs diminue dans les salles, les majors (grandes compagnies de production) d'Hollywood décident de créer un double billet. Pour le prix d'une entrée, les spectateurs peuvent voir deux films : un grand (la série A) et un petit. C'est le début des films de série B, dont les principaux objectifs sont d'être peu chers à produire, rapides à faire, pas trop longs (entre 50 et 70 min) et lucratifs.
(...)
À partir de 1980, la vidéo devint accessible au grand public. C'est la naissance des films amateurs, aussi appelés films de série Z, car réalisés avec encore moins de moyens que les films de série B.
(...)
Il est à noter que les dénominations « série B » et « série Z », bien que dénotant un manque de moyen, ne sont pas nécessairement péjoratives et sont parfois revendiquées comme une contre-culture, par des cinéastes refusant de rentrer dans le moule de majors. Parmi les réalisateurs célèbres de séries Z, on peut citer par exemple Ed Wood, Roger Corman (qui lança Francis Ford Coppola, Martin Scorsese, Joe Dante et Jack Nicholson) et Peter Jackson (bien avant Le Seigneur des Anneaux).
http://fr.wikipedia.org/wiki/Cin%C3%A9ma
Eloï, Eloï, lama sabachthani ?