ruedelarnaque.
ils ont viré tout leur sav ou ils ont embauché chez free ?
Plus de 20 coups de fil en 2 jours (0.22euros la minutes) et à chaque fois la même rengaine: tous nos agents sont en ligne et blablabla. Pas toujours la même voix, pas toujours au même moment, parfois j'ai le privilège d'y croire puisque je peux rentrer mon numéro de commande.
ils me foutent en boules ces cons.
tout ça parce que j'ai fait l'erreur d'acheter chez eux un truc qui est tombé en panne et je n'ai pas pris la garantie or, donc ils ne font rien avant 2 mois pour justifier ce surcoût. c'est sympa.
ce site c'est fini pour moi. en fait l'achat de matos par internet c'est fini, le sav est toujours aussi pourri, et t'as jamais personne en face de toi pour lui secouer les puces
Merci de m'avoir lu ça m'a fait du bien, au-revoir
Ecris à frederic.klotz@rueducommerce.com et explique ton problème.
Et je t'assure que ta situation sera débloquée avec en prime un petit geste si gros désagrément.
C'est le monsieur SAV de RueDuCommerce et il sévit sur pas mal de forum
merci mon poupounet79 !!!! j'ai effectivement lu ce gars sur un forum de défense de consommateur en tant que médiateur de rueducommerce, je vais tenter l'affaire car depuis, ils m'ont encore fait chier au téléphone et refusé d'appliquer leurs propres règles de SAV...
sincèrement art core, lis les conditions de sav / retour de ce site et d'autres comme ldlc avant de faire ton choix. si tu es sur paname, achète dans un magasin où tu peux aller raler en direct, c'est juste mon p'tit conseil du jour...
encore merci pp !!!
je leur donne jusqu'à mercredi en procédure standard et après je vois avec frederic klotz, de toute façon je vous tiens au courant mais vu la grosse connerie qu'ils m'ont raconté, je ne me fais guère d'illusion.
Le commerce électronique ne serait-il pas la poule aux œufs d"or escomptée ? Les résultats annuels pour 2005, clos en mars 2006, publiés par RueDuCommerce laissent planer un doute, d"autant qu"un autre distributeur en ligne LDLC devrait annoncer des pertes annuelles, à la fin juin. Malgré un chiffre d"affaires à 226 millions d"euros, en hausse de 26,5 % par rapport à l"exercice précédent, RueDuCommerce a annoncé ce mardi 30 mai un résultat opérationnel (la différence entre les produits liés à l"activité et les charges) en baisse de 35,8 %. Celui-ci est passé de 5,3 millions d"euros en 2004 à 3,4 millions en 2005. Pire, les comptes de la société sont passés dans le rouge. Le distributeur de produits high-tech affiche une perte de 1 million d"euros en 2005 alors qu"il engrangeait, il y a un an, 7,8 millions de bénéfices. La perte est liée aux frais d"introduction en bourse de 1 million d"euros et à une provision exceptionnelle de 2,5 millions d"euros suite à un litige avec l"administration fiscale. Cette dernière lui impute, à tort selon la société, un redressement en matière de TVA sur les années 2002, 2003 et 2004. Quoi qu"il en soit, ces charges ne suffissent pas à expliquer à elles seules les résultats financiers du cybermarchand. Pour la direction de RueDuCommerce, le plongeon du résultat net s"explique par une baisse des marges, en particulier sur le second semestre de l"exercice fiscal. « La concurrence a été plus forte sur cette période. Certains acteurs ont contracté les prix pour faire du chiffre d"affaires coûte que coûte quitte à rogner sur les marges. Leur stratégie de l"époque s"explique au vu de leur rachat, commente Gauthier Picquart, PDG de RueDuCommerce [faisant allusion à Pixmania par exemple, NDLR]. Et d"avancer une explication complémentaire. L"année 2005 a été sans grandes innovations technologiques. Les appareils photo numériques et les baladeurs MP3 sont arrivés à maturité. Qui dit plus d"innovations dit plus de capacité à vendre des produits à forte marge. Cela n"a pas été le cas et ne le sera pas l"année prochaine. » Le chiffre d"affaires privilégié Pour 2006, le site de commerce électronique entend privilégier son chiffre d"affaires au détriment des bénéfices. « Maintenir la marge se fait au détriment de la croissance. Nous avons pris l"option d"accroître nos parts de marché sur un secteur encore en forte progression [celui de la high-tech, NDLR], poursuit le PDG. L"e-commerce passe par des phases d"investissement, puis de rentabilité. Cela ne remet pas en cause le modèle économique du commerce électronique. Nous restons entre 10 à 15 % moins chers que les distributeurs traditionnels. » Dans ce contexte, le cybermarchand investit pour poursuivre sa diversification, en particulier en mettant l"accent sur les services. Il vient d"annoncer le lancement d"un abonnement à une assistance informatique téléphonique, proposée lors de l"achat d"un ordinateur. La gamme produits n"est pas en reste, avec la vente de forfaits et de téléphones mobiles débutée au mois d"avril. Des investissements sont également consentis pour l"internationalisation du cybercommerçant, avec comme prochaine étape le lancement d"un site en Espagne d"ici à une quinzaine de jours."