De l'érotisme light papier glacé italien avec deux icônes des années 80, pas très acteurs mais beau matériau glamour pour un cinéaste au bord de la sénilité.
Sophie Duez garde un très mauvais souvenir de Lattuada, qui se masturbait quasiment sur le plateau ce qui la déconcentrait.
Le film est un joli papier cadeau sans cadeau, inconsistant, vide, un navet abyssal que la plastique de ses jeunes et beaux interprètes incline tout de même à la contemplation.
