Bien aimé pour ma part. je rejoins Defest dans son approche, à savoir que le film est modeste (de part son budget et son ambition) et c'est en cela que se situe sa force (et ses faiblesses aux vues des attentes de beaucoup).
Les pointes d'humour sont cependant bien moindres que certains n'ont laissé entendre. je les ai pour ma part trouvées bienvenues car disparates et ne prenant pas le dessus. Un bon + pour la patronne de restaurant , ancienne hippie accro au LSD qui croit avoir un retour d'acide en avalant le vomi noiratre de Cal

.
On a àfaire à une série B destinée au marché du cable (Sci Fi Channel de prime abord) et du marché video/dvd/. La voir qui débarque sur des écarns cinémas tient du miracle. Alors, pourquoi faire la fine bouche? Personnellemnt, c'est ce que j'attend le plus, découvrir ce type d'oeuvre (pour lesquelles à la base chaucn se réunit sur ce site) mais dans les conditions otpimales du grand écran (et de la VO si possible, mais chacun ne peut pas tout, j'en conviens!).
Côté acteurs, j'ai l'impression que tout le monde s'estbien amusé. denise Crosby (qui après pet Sematary a l'air de bien aimer les cimétières

) est parfaite dans l'apprentie-thanatopracteuse. la séquence du diner où elle force chacun à manger la poisseuse noiratre est excellente. La petite est plutot convaincante et le fils joue bien la distance. Pas de volonté de casting de jeunes beaux sur mesure. Il y a un gay de service (comme auparavant il y a avit un noir de service, d'ailleurs), ce qui est surprenant pour une production de ce calibre.
Les SFX sont de tenue correcte, qu'il 'agissent des maquillages ou l'espèce de champignon rampant zombiesque

. par contre, en effet, les fin est une vraie catastrophe

La créature finale est totalement ratée, une véritable explosion de pixels moches. C'est vraiment dommage

Et cet espèce de rock hard lourd métalleux qui vomit ses hurlements incomprhéensibles et riffs de guitare dans les hauts parleurs, ça me saoule VRAIMENT

, toujours cette espèce d enote obligatoire pour tout film destiné au public 12-20 (on retrouve les mêms symptomes dans Freddy vs Jason, ça m'avait déjà agacé). ca ne sert à rien, si ce n'est un accord avec Relapse records pour mettre en avant les groupes maisons.
Au niveau scénario, on retrouve quelques influences ça et là des précédentes oeuvres de Hooper. L'homme défiguré qui hante le sous-sol rappelle la créature de Funhouse (à la fois dans le côté monstrueux rejeté et maltraité mais aussi dans son côté Victime des hommes), les couloirs/labyrinthe de la maison rappelle ceux de ToolBox Murders... la communauté un peu redneck sur les bords (les shériff est en ce sens bien croqué), c'est là aussi le fon de commerce de Hooper. Même dans ses opus les plus faibles (comme Crocodile), on y trouve toujours un bon américian moyen tendance redneck poisseux. C'est là aussi où il excelle, sans cynisme et sans ironie.
Pour le reste du scénario, si on a à faire à quelque chose de relativement classique dans la progression dramatique, c'est le refus de svaeurs habituelles qui semble mis en avant. La cellule familiale explose (comme à l'habitude chez Hooper) mais surtout, personne n'est épargné!
Au finish, j'ai passé un agréable moment. J'ai eu ce qe j'ai voulu, à savoir une série B sur grand écran. Une caméra qui bouge bien (les séquences sous le caveau sont bien vues), une interprétation et un scé nario pas dupes de ce qu'ils font... et cela fait passer les défauts inhérents à ce type de production.
En tous cas, une oeuvre certes en retrait de son ToolBox Murders (qui, je suis d'accord, se pretait beaucoup plus largement à une sorte salles) mais honorable.
SWS dit : XX
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?