Supernova - "Thomas Lee" (2000)
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Un bon p'tit film de merde très chiant,fauché et à peine marrant.
Pas atroce,mais quand même suffisamment nul pour etre dispensable.
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"Si on devait tirer sur tout ce qui bouge,on vieillirait bien seuls"
"En France je suis considéré comme un gros nul, En Allemagne comme un raté, En Angleterre aussi et aux Etats-Unis pareil"
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En même temsp découvrir un film sur une chaine de merde comme M6, avec coupure pub, format parfois recadré et eventuellement censure des plans les plus gore, c'est pas le meilleur moyen de découvrir un film, surtout quand celui ci est très travaillé visuellement comem c'est le cas pour Super nova.Gronf a écrit :"Supernova"... supernavet![]()
C'était facile. Pas un film atroce mais vu sur M6 l'année dernière et complètement oublié, même plus une seule image en tête, c'est dire son insignifiance.
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Vu la réputation qu'il traîne, je n'allais quand même pas perdre du fric dans une location ou pire dans un achat dvd. M6, c'est une bonne chaîne pour les mauvais films qu'on aimerait quand même bien voir (par curiosité honteuse, paresse passagère, etc.) sans que ça nous coûte quoi que ce soit.Dragonball a écrit :En même temsp découvrir un film sur une chaine de merde comme M6, avec coupure pub, format parfois recadré et eventuellement censure des plans les plus gore, c'est pas le meilleur moyen de découvrir un film, surtout quand celui ci est très travaillé visuellement comem c'est le cas pour Super nova.Gronf a écrit :"Supernova"... supernavet![]()
C'était facile. Pas un film atroce mais vu sur M6 l'année dernière et complètement oublié, même plus une seule image en tête, c'est dire son insignifiance.
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Re: "Supernova" (2000) de "Thomas Lee"
Je lui ai redonné sa chance via le DVD Z1 de chez MGM (datant de 2000).
Déjà, le dvd très bien la route; On y retruve quand même pas ma de petite poussières noires - surtout dans les scènes aux clairages très lumineux-, mais la définition est vraiment belle. les couleurs de peau naturelles, un très belle lumière...non, vraiment, une belle surprise. Et comme ce fut mentionné, un 5.1 très impressionnant! La bande son (musique et effets) joue sur touts les canaux et ce, de manière efficace et surtout logique eu égard à l'action du film (les vaisseaux spatiaux qui partent des canaux arrières vers l'avant/gauche)... ça mériterait un beau BD, pour le coup.
Pour le film... c'est clair que ça fait fatras. Plusieurs sujets s'entrechoquent mais selbent avoir eu les ailes coupées dans leur élan. Entre l'énergie sexuelle décuplée (Robin Tunney passe quand même les 3/4 du film les seins à l'air!), le héros en quête de rédemption suite à une drogue dure, les sauts inter-dimensionnels, une source d'énergie pure à 9 dimensions, la réjuvénation... sur 95 minutes, ça fait court. On sent les réécritures, les changements de rythme et de style, les brutaux changements de braquets (la fin à ce titre est criante. C'est comme s'il manquait dix minutes!).
On peut voir aussi des différences notoires entre les plans présents dans le F.A (présent sur la galette) et le film-même. C'est une pratique générale, mais là, des plans de créature sont manquants, et le cadavre de Robert Forster y est carrément différent! Mais bon... ça se laisse voir sans déplaisir. Le casting est en effet improbable, mais ça fait partie du côté ovniesque du film. Si bien que le côté cheap de certaines scènes d'exposition passent plutot bien au regard des intentions presque trop grandes pour le métrage. En tous cas, je ne me suis guère ennuyé, rythmé par les quelques effets gore ça et là, quelques belles scènes de vols spatiaux, d'effets mécaniques sur la planète Titan 37, décors parfois majestueux et une très belle fin qui indique que bon, la Supernova en question n'est pas forcément celle qu'on croit être. Beau lien inter-racial (rare à l'époque), sur l'avenir de l'humanité dans le plan final...
et une histoire de William Malone à la base!
Déjà, le dvd très bien la route; On y retruve quand même pas ma de petite poussières noires - surtout dans les scènes aux clairages très lumineux-, mais la définition est vraiment belle. les couleurs de peau naturelles, un très belle lumière...non, vraiment, une belle surprise. Et comme ce fut mentionné, un 5.1 très impressionnant! La bande son (musique et effets) joue sur touts les canaux et ce, de manière efficace et surtout logique eu égard à l'action du film (les vaisseaux spatiaux qui partent des canaux arrières vers l'avant/gauche)... ça mériterait un beau BD, pour le coup.
Pour le film... c'est clair que ça fait fatras. Plusieurs sujets s'entrechoquent mais selbent avoir eu les ailes coupées dans leur élan. Entre l'énergie sexuelle décuplée (Robin Tunney passe quand même les 3/4 du film les seins à l'air!), le héros en quête de rédemption suite à une drogue dure, les sauts inter-dimensionnels, une source d'énergie pure à 9 dimensions, la réjuvénation... sur 95 minutes, ça fait court. On sent les réécritures, les changements de rythme et de style, les brutaux changements de braquets (la fin à ce titre est criante. C'est comme s'il manquait dix minutes!).
On peut voir aussi des différences notoires entre les plans présents dans le F.A (présent sur la galette) et le film-même. C'est une pratique générale, mais là, des plans de créature sont manquants, et le cadavre de Robert Forster y est carrément différent! Mais bon... ça se laisse voir sans déplaisir. Le casting est en effet improbable, mais ça fait partie du côté ovniesque du film. Si bien que le côté cheap de certaines scènes d'exposition passent plutot bien au regard des intentions presque trop grandes pour le métrage. En tous cas, je ne me suis guère ennuyé, rythmé par les quelques effets gore ça et là, quelques belles scènes de vols spatiaux, d'effets mécaniques sur la planète Titan 37, décors parfois majestueux et une très belle fin qui indique que bon, la Supernova en question n'est pas forcément celle qu'on croit être. Beau lien inter-racial (rare à l'époque), sur l'avenir de l'humanité dans le plan final...
et une histoire de William Malone à la base!
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
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Re: Supernova - "Thomas Lee" (2000)
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?