Supernova - "Thomas Lee" (2000)
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Supernova - "Thomas Lee" (2000)
Suite à la réception d'un SOS, un vaisseau spatial et son équipage se rendent vers une petite lune minière. Ils recueillent un seul survivant et découvrent, à bord de la navette où ils l'ont trouvé, une étrange substance d'outre espace...
Dans la foulée de l'Episode I de Star Wars, des projets de Space Opera ont surgi à Hollywood, la plupart s'avérant de sérieux naufrages : Battlefiled Earth, Lost in Space... et ce Supernova à la production compliquée, commencé par Walter Hill et terminé, semble-t-il, par Coppola et Jack Sholder. Ce fut un bide aux USA, et en France, il fut à peine distribué (sur Paris, il n'est sorti qu'aux 5 Caumartin...).
Effectivement, il y a de quoi tomber des nues. Auncune ampleur, casting improbable (James Spader, Robert Foster, Lou Diamond Phillips...), dialogue prétentieux, personnages-clichés, etc. Autant de détails qui donnent à ce film, pourtant couteux, la dimension rikiki d'un direct to video en scope. On sauve quelques belles images de vol spatial, mais c'est bien tout...
Vu sur le DVD français, testé par Arioch :
http://www.devildead.com/indexfilm.php3?FilmID=107
Dans la foulée de l'Episode I de Star Wars, des projets de Space Opera ont surgi à Hollywood, la plupart s'avérant de sérieux naufrages : Battlefiled Earth, Lost in Space... et ce Supernova à la production compliquée, commencé par Walter Hill et terminé, semble-t-il, par Coppola et Jack Sholder. Ce fut un bide aux USA, et en France, il fut à peine distribué (sur Paris, il n'est sorti qu'aux 5 Caumartin...).
Effectivement, il y a de quoi tomber des nues. Auncune ampleur, casting improbable (James Spader, Robert Foster, Lou Diamond Phillips...), dialogue prétentieux, personnages-clichés, etc. Autant de détails qui donnent à ce film, pourtant couteux, la dimension rikiki d'un direct to video en scope. On sauve quelques belles images de vol spatial, mais c'est bien tout...
Vu sur le DVD français, testé par Arioch :
http://www.devildead.com/indexfilm.php3?FilmID=107
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Je devais être complètement bourré mais la première fois que j'ai vu ce truc j'ai trouvé çà regardable, mauvais quoi mais j'ai regardé jusqu'au bout
enfin surtout gràce au 5.1 qui était assez détonnant.
L'histoire est incroyablement pourri et sans queue ni tête mais c'est autrement plus fun qu'un Lost in space avec son côté tête à claque / grand public.
Sacré Walter...

L'histoire est incroyablement pourri et sans queue ni tête mais c'est autrement plus fun qu'un Lost in space avec son côté tête à claque / grand public.
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Un petit film sympathique. je l'ai découvert en ayant en tête sa réputation désastreuse et comme souvent dans ces cas là, je n'est pas été déçu vu que je ne m'attendais pas à grand chose.
Comme l'a dit Rusty James, ce film est bien supérieur à Lost in space, qui lui par contre, est vraiment nul à tout les points de vue !
Ce qui est marrant d'ailleurs, c'est qu'on trouve sur le DVd de lost in space des scènes coupé aux SFX non finalisé qui sont bien plus sympa que le film en lui même !
Comme l'a dit Rusty James, ce film est bien supérieur à Lost in space, qui lui par contre, est vraiment nul à tout les points de vue !
Ce qui est marrant d'ailleurs, c'est qu'on trouve sur le DVd de lost in space des scènes coupé aux SFX non finalisé qui sont bien plus sympa que le film en lui même !

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Ce que je retiens du film, c'est que normalement, on devrait sentir l'angoisse monter du fait que les héros ont un temps limité pour se sortir d'affaires... Et pourtant, cette notion du temps qui court et qui manque est complètement oubliée pendant la totalité du métrage. Cela ne ressort qu'à la fin. Si bien qu'on se dit : "ah oui, tiens, c'est vrai qu'ils devaient se dépêcher"...
Mini SPOILER
Et puis Robert Forster qui est sacrifié au bout de dix minutes de manière minable...
Mini SPOILER
Et puis Robert Forster qui est sacrifié au bout de dix minutes de manière minable...
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Oui, j'ai oublié d'en parler, mais c'est une des choses qui m'a le plus ennuyé dans le film. Déjà qu'il ne fait pas très riche au départ, mais là, on a l'impression qu'ils n'ont même pas eu les moyens de se payer un pied de caméra !tomfincher a écrit :Et moi j'ai oublié de dire que le cadreur devait être alcoolique.
En fait, Hill aurait quitter le tournage car MGM refusait de lui fournir l'argent nécessaire à la finalisation de nombreux SFX (à cette époque, la boite d'effets spéciaux Digital Domain aurait dû être acheté par MGM, et ils auraient fait les SFX à prix coutant ; mais finalement MGM renonça à cet achat et Digital Domain leur factura donc les SFX à prix normal, c'est à dire plus cher). Ce qui explique l'existence de SFX et de scènes truquées non terminées et non incluses dans le métrage...
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