Rocky 5 - John G. Avildsen (1990)
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John-Trent
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Cyber Jason
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Ba désolé mais si on veut chercher la petite bête d'après ce que tu dis il a pas 15 ans non plusRomain a écrit :Sage Stallone est né le 5 mai 1976 et Rocky V est sorti en 90...
Tu vois que t'es bourré!!!
Sinon perso je l'aime bien ce ROCKY 5. Stallone y est formidable, le film est humain, c'est une belle réussite.
Derriere chaque E.T se cache un PREDATOR!
http://scary-movies.forumactif.com/
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Je revient de voir le film cette nuit en dvd, et voilà, il y a plus de 10 ans j'avais été extrement déçu, mais là cette nuit, je vient de prendre une claque, ce film frolerais presque le chef d'oeuvre. Ce film est tout simplement super bien écrit, bon on passera sur le fils qui vieillit beaucoup en quelque temps, mais bon dans les autres Rocky il faisait surtout de la figuration, donc c'est pas vraiment important, puis putain, on retrouve vraiment le Rocky du n°1, blagues pas drole volontaire, réplique drolissime et bien écrite.
Il y a aussi une critique pas très fine du monde de la boxe, mais bien ammené, la relation père fils peut être vu comme naive, mais elle est avant tout sincère et touchante, et Stallone y joue vraiment magnifiquement bien.
Pour achever de convaincre les sceptique, je vais énumerer quelques belles scènes :
- La première au début quand il tremble des mains devant Adrienne et qu'il débite un dialogue très touchant
- Celle du flash back avec Mickey, vraiment marquante
- Celle quand il récupère ses affaires au grenier
- La scène quand Stallone cours à coté de la voiture de Tommy Gunn lui expliquant que pour lui il est comme un fils, et ensuite la scène avec Adrienne
- Et la scène du combat de Gunn contre Kane, et que Stallone frappe comme un malade sur son sac pendant le combat, et la deception qui se lit sur son visage quand il voit que Gunn ne le remercie même pas lui.
- le premier coup qu'il met Tommy Gunn au tapis et qu'il lui explique qu'il l'aimait comme un membre de sa famille
Enfin le film a ses défauts, mais franchement, il ne mérite pas d'être conspué comme il l'est si souvent. Puis pour ceux qui trouve pas la ruine crédible, il faut qu'ils sachent que c'est arrivé à plein de gens célèbre ça (regardez Schulitzer (je déconne là
) )
Enfin pour moi un vrai bon film, qui mérite d'être réevaluer.
Il y a aussi une critique pas très fine du monde de la boxe, mais bien ammené, la relation père fils peut être vu comme naive, mais elle est avant tout sincère et touchante, et Stallone y joue vraiment magnifiquement bien.
Pour achever de convaincre les sceptique, je vais énumerer quelques belles scènes :
- La première au début quand il tremble des mains devant Adrienne et qu'il débite un dialogue très touchant
- Celle du flash back avec Mickey, vraiment marquante
- Celle quand il récupère ses affaires au grenier
- La scène quand Stallone cours à coté de la voiture de Tommy Gunn lui expliquant que pour lui il est comme un fils, et ensuite la scène avec Adrienne
- Et la scène du combat de Gunn contre Kane, et que Stallone frappe comme un malade sur son sac pendant le combat, et la deception qui se lit sur son visage quand il voit que Gunn ne le remercie même pas lui.
- le premier coup qu'il met Tommy Gunn au tapis et qu'il lui explique qu'il l'aimait comme un membre de sa famille
Enfin le film a ses défauts, mais franchement, il ne mérite pas d'être conspué comme il l'est si souvent. Puis pour ceux qui trouve pas la ruine crédible, il faut qu'ils sachent que c'est arrivé à plein de gens célèbre ça (regardez Schulitzer (je déconne là
) ) Enfin pour moi un vrai bon film, qui mérite d'être réevaluer.
"C’est du pop-corn ! Pourquoi du pop-corn ??"
"Parce que ce sont des clowns, voilà pourquoi !"
http://www.youtube.com/channel/UCifcA_2m4MaPJuhZFi4YH1w
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Oui, c'est arrivé à Patrick Topaloff.Homan a écrit :Enfin le film a ses défauts, mais franchement, il ne mérite pas d'être conspué comme il l'est si souvent. Puis pour ceux qui trouve pas la ruine crédible, il faut qu'ils sachent que c'est arrivé à plein de gens célèbre ça (regardez Schulitzer (je déconne là
Sinon, pour Rocky 5, j'ai de la sympathie pour ce film mais il est loin de m'émouvoir comme le 1er, le 2 aussi et même le 3.
La vraie purge, c'est quand même le 4 où on est en plein n'importe quoi. Le 6 m'a beaucoup plus aussi.
Le 5, il lui manque un poil de sincérité, sincérité véritablement retrouvée avec le 6.
Dans le 5, le retour à la galère me semble trop forcé pour être honnête, le fils de Stallone affiche parfois un look assez risible avec sa boucle d'oreille qui pend, le Tommy Gunn est joué par un très mauvais acteur et en musique de fond un pseudo rap fm bien ringard; Mais la touche le plus naze, ce sont ces pseudo flashs-back avec Mickey joué par un Burgess Meredith qui cache mal son vieil âge malgré les artifices utilisés alors qu'on est censé se trouver dans les 70s devant une doublure de Stallone censé imiter le Rocky d'avant (sans body-building avancé). A cela s'ajoute une histoire de pendentif complètement artificielle et ne reposant sur rien dans les films précédents.
Pour moi, la catastrophe est évitée de justesse par un début touchant avec Rocky découvrant ses mains tremblantes, le vide fait par les huissiers et une histoire sauvée du néant par la trahison de Tommy Gunn et l'intrigue autour.
Quant au combat de fin dans la rue, c'est sympa mais pas exceptionnel.
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Lord Taki
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Re: Rocky 5 - John G. Avildsen (1990)
Le Rocky le plus faible.
Les défauts sont pointés déjà dans le thread.
Cependant il reste un je ne sais quoi, certainement le personnage de Rocky est trop attachant pour que je n'aime pas un poil le film quand même.
Les défauts sont pointés déjà dans le thread.
Cependant il reste un je ne sais quoi, certainement le personnage de Rocky est trop attachant pour que je n'aime pas un poil le film quand même.
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antropophagus
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Re: Rocky 5 - John G. Avildsen (1990)
Les plus :
- C'est un Rocky ! Malgré les défauts, impossible de ne pas ressentir un peu de nostalgie et le film se regarde globalement sans déplaisir.
- Quelques beaux échanges, comme le flashback émouvant avec Mickey/Burgess Meredith, ou, une fois encore, un dialogue puissant entre Rocky et Adrian/Talia Shire dans la rue.
- Les extraits de Rocky IV au début donnent juste envie de le revoir direct !
Les moins :
- C’est quand même très caricatural : la chute financière tombe comme un cheveu sur la soupe, simple prétexte pour tenter de ramener trop vite le personnage du premier film ; la dualité père-fils entre Tommy Gunn et le fils de Rocky est traitée sans aucune finesse. Mention spéciale au "méchant" bookmaker George Washington Duke (Richard Gant), en roue libre du début à la fin.
- Le jeu de Stallone frôle l’auto-parodie, mimant le Rocky un peu simplet des débuts (façon de parler, de bouger, etc.). Autant l’évolution du personnage au fil des quatre premiers opus pouvait être crédible du fait des années qui passent, autant ce retour en arrière sonne faux.
- Le combat final est très décevant. Je comprends l’intention, mais c’est mal foutu, et honnêtement, personne n’a envie de voir un Rocky qui se termine en baston de rue au milieu des poubelles.
Le moins bon de la saga. Même si on prend plaisir à retrouver les personnages (Paulie – Burt Young, toujours au top !) ce cinquième opus joue beaucoup trop la carte de la nostalgie : retour du Rocky original, John G. Avildsen à la réalisation, le générique de fin avec les images de premier film... c'est bon, on a compris ! Au-delà du fait qu’on n’y croit pas une seconde, je ne pense pas que c’était la bonne façon de conclure la fin de carrière d’un grand combattant. Heureusement, Stallone saura rattraper le coup par la suite...
- C'est un Rocky ! Malgré les défauts, impossible de ne pas ressentir un peu de nostalgie et le film se regarde globalement sans déplaisir.
- Quelques beaux échanges, comme le flashback émouvant avec Mickey/Burgess Meredith, ou, une fois encore, un dialogue puissant entre Rocky et Adrian/Talia Shire dans la rue.
- Les extraits de Rocky IV au début donnent juste envie de le revoir direct !
Les moins :
- C’est quand même très caricatural : la chute financière tombe comme un cheveu sur la soupe, simple prétexte pour tenter de ramener trop vite le personnage du premier film ; la dualité père-fils entre Tommy Gunn et le fils de Rocky est traitée sans aucune finesse. Mention spéciale au "méchant" bookmaker George Washington Duke (Richard Gant), en roue libre du début à la fin.
- Le jeu de Stallone frôle l’auto-parodie, mimant le Rocky un peu simplet des débuts (façon de parler, de bouger, etc.). Autant l’évolution du personnage au fil des quatre premiers opus pouvait être crédible du fait des années qui passent, autant ce retour en arrière sonne faux.
- Le combat final est très décevant. Je comprends l’intention, mais c’est mal foutu, et honnêtement, personne n’a envie de voir un Rocky qui se termine en baston de rue au milieu des poubelles.
Le moins bon de la saga. Même si on prend plaisir à retrouver les personnages (Paulie – Burt Young, toujours au top !) ce cinquième opus joue beaucoup trop la carte de la nostalgie : retour du Rocky original, John G. Avildsen à la réalisation, le générique de fin avec les images de premier film... c'est bon, on a compris ! Au-delà du fait qu’on n’y croit pas une seconde, je ne pense pas que c’était la bonne façon de conclure la fin de carrière d’un grand combattant. Heureusement, Stallone saura rattraper le coup par la suite...
Man-eater