Tout dépend du point de vueProdigy a écrit : C'est quand même là que s'est fait le gros de la prod intéressante, non ? (pas taper)

de 89 à 96 le label était orienté dancefloor et idm. La première orientation comportait des prods bleep, house, breakbeat, techno. La seconde des prods qui déviaient directement de la première tout en étant de plus en plus complexes et abstraites ("intelligent music").
La recherche d'abstraction et de complexification a donné naissance à l'idm qui est, pour moi, une voix sans issue. Ce qui explique maintenant l'ouverture du label vers des musiques plus faciles d'accès (sous label et prods hip hop experimental par exemple). De plus le fonctionnement du label est maintenant identique à celui d'une major (et non ils ne démarchent plus les record shops avec les disques dans le coffre

cronos a écrit :D'un autre côté il se marre de beaucoup de chosesProdigy a écrit : Cf. son 26 remixes for cash
Ou quand il joue hardcore/gabber/speedcore/drill and bass devant un public venu écouter de l'electronica
