Car pour moi, entre le surjeu crétin d'une harlemerie ou d'une martinlawrencerie et le surjeu improbable manga-livé typiquement nippon, même combat, c'est aussi inssuportable l'un que l'autre. Alors bien sûr selon le pays où le film est produit, ça rendra pas pareil, certaines références et inspirations seront différentes bien entendus, mais dans les grandes lignes, ça vole jamais bien haut "vazy bouffon fait moi rire avec tes grimaces nunshakesques"
Ce film est dans la lignée de cette mouvance djeunz issu d'un melting-pote afro-asia qui fleuri de part et d'autre du Pacifique.
Les jeunes noirs-américains récupèrent l'imagerie asiat (cf mode des rappeurs qui tapent leur chambarra improvisés dans leur clips), et les asiatiques récupèrent l'imagerie afrocooliste dans la musique, les vêtement, etc.
Ca à l'air plutôt fun de prime abord et c'est par ailleurs un échange de bon procédés avec influences mutuelles.
Mais dès que le cinéma s'en mèle, bonjour les dégats.
