
eXistenZ - David Cronenberg (1999)
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Re: eXistenZ - David Cronenberg (1999)
101 film ne met pas de sous-titres même anglais il me semble... 

"Que sert-il à un homme de gagner le monde s'il perd son âme?"
Marc 8:36
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Re: eXistenZ - David Cronenberg (1999)
comme il s'agit de leur nouveau label ("Black Label") avec édition limitée / IL Y EN AURA!
Cela vient d'être confirmé et il y en aura sur l'ensemble de leurs éditions désormais.
Cela vient d'être confirmé et il y en aura sur l'ensemble de leurs éditions désormais.
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
Re: eXistenZ - David Cronenberg (1999)
Ca c'est une bonne nouvelle !Superwonderscope a écrit : ven. avr. 20, 2018 12:37 pm comme il s'agit de leur nouveau label ("Black Label") avec édition limitée / IL Y EN AURA!
Cela vient d'être confirmé et il y en aura sur l'ensemble de leurs éditions désormais.
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Re: eXistenZ - David Cronenberg (1999)
Revu sur le Blu-Ray 101Films (image assez moyenne, ça sent le vieux master boosté). Dernier film de Cronenberg à explorer le "Cronenberg-verse", peuplé de personnages aux noms impossibles (Dan Keloid, Brian O'Blivion, Allegra Geller...) et qui poursuivent leurs obsessions dans des décors froids et déshumanisés, et surtout avec ces fameuses déviances organiques. Ici Cronenberg fait du Cronenberg, nous donnant une espèce de film somme. Il est d’ailleurs intéressant de constater à quel point il s'agit d'un remake déguisé de Videodrome. A commencer par une exécution qui renvoie directement à la fin de Videodrome (« Death to the demoness Allegra Geller»), la même scène sera reprise plusieurs fois non sans ironie. On y retrouve les mêmes retournements de situations ou plutôt retournements de vestes. Avec la même confusion du réel : on ne saît plus ce qui relève de la réalité ou du virtuel (ou de l’hallucination pour Videodrome). Et surtout on y retrouve le même jeu visant à détourner des objets du quotidien pour les rendre organiques (à moins que ce ne soit l’inverse), avec la même sexualisation qui en découle. Le seul défaut que je lui ai trouvé est qu’il commente un peu trop ce qui se passe à l’écran là où ses précédents films laissaient plus de mystère. Mais il faut bien énoncer les règles du jeu. Un film qui n'a surement pas été compris à sa juste valeur à l'époque, il a pourtant été une influence majeure pour des films à venir traitant de réalités imbriquées (maTriX, inZeptioN...
).
