fiend41 a écrit :
y'a des trucs qui clochent si c'est en huit-clos.. notamment relevé avant, d'où sort la viande ? .
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et pourquoi le meilleur chromol est au fond ?, et où est caché le téléphone de fin de wagon ?? et puis le coup du demi-cercle de rotation qui dure des plombes le temps des escarmouches là c'est trop gros quand même
on pouvait lire que le film avait été tourné sur des plateformes à verrins pour simuler le mouvement du train.. cependant y'a pas énormèment de scènes filmées qui "bougent" le train.. par contre la lisibilité de certains combats laisse à désirer au début (caméra au shaker)..
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Si si, le téléphone est caché dans le logo de la compagnie, et on le voit bien près de john Hurt. Pour la viande, c'est moins clair... on peut imaginer un wagon ferme (élipse scénaristique ?)... Pour le poisson, on voit bien le wagon acquarium.
j'ai cherché pourtant, mince ça va me faire sourire au 2eme visionnage. je croyais à celui près de la scène vraiment abjecte du "trou d'aération" donc j'imaginais mal le gars se trainer là à chaque fois...
justement au niveau températures à ce moment là,
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ça parle de température extérieure.. et puis on constate après que le "groupe des 7" n'ont pas réussi à survivre plus de 50mètres.. et même si l'ingénieur constate sur l'avion que ça semble se réchauffer. 2 gamins qui ne gèlent pas instantanèment, l'ours, c'est presque nous faire croire que le train n'était plus la solution, et qu'il faisait -15 -20° désormais !
après je suppose qu'il y a une explication aux nombreux wagons vides , certes les enfants sont à l'école et d'autres s'occupent mais y'a aussi
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les nombreux fêtards qui sont dans l'after du nouvel an, puisque pour une bonne partie esseulés de la nuit, je suppose..
Vraiment sympa et prenant, rien à dire c'est de la bonne SF. J'aurais bien aimé voir un peu plus de wagons cependant, le train a l'air de faire au moins 2 km de long. Quant à la fin :
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Elle est pas mauvaise mais un peu déprimante non ? On nous parle de lutte des classes mais au final quasiment tout le monde y passe. J'aurais presque trouvé plus logique une fin façon l'Age de Cristal, ou tout le monde quitte le train immobilisé et se serre les coudes pour survivre à l'extérieur. Et hop abolition des classes sociales (dumoins pour un temps). La conclusion Adam & Eve version eskimos c'est mignon mais pas réaliste deux secondes.
Le personnage que joue John Hurt m'a direct rappelé celui qu'il jouait dans Midnight Express, celui d'un prisonnier de longue durée, un peu le cerveau du groupe.
L'initiale W, pour Wilford, n'est-elle pas une petite référence au N du capitaine Nemo ?
Elle est pas mauvaise mais un peu déprimante non ? On nous parle de lutte des classes mais au final quasiment tout le monde y passe. J'aurais presque trouvé plus logique une fin façon l'Age de Cristal, ou tout le monde quitte le train immobilisé et se serre les coudes pour survivre à l'extérieur. Et hop abolition des classes sociales (dumoins pour un temps). La conclusion Adam & Eve version eskimos c'est mignon mais pas réaliste deux secondes.
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tu oublies qu'ils seraient alors tous morts de froid, car il n'y avait que quelques vêtement réellement adaptés pour dehors (de mémoire)
Découvert sur le tard, sur le - très bon - DVD Wild Side, et je rejoins sans réserve le camps des enthousiastes ! Une science-fiction pessimiste, originale, à la mise en image ultra-soignée, typique du cinéma coréen, un film vraiment unique dans la production actuelle, moins corsetée que les tentatives hollywoodiennes actuelles de donner dans la dystopie. Une vraie réussite, deux heures époustouflantes, parfaitement jouée et maîtrisée. Bravo !
J'ai revu le film, et si j'avais beaucoup aimé à sa sortie je suis dorénavant beaucoup moins enthousiaste (ce que je n'aurais pas pensé).
En une dizaine d'années, il souffre en effet de CGI trop visibles (ce que certains lui reprochaient déjà à l'époque, mais j'étais passé outre), d'action mal filmée (avec la caméra qui bouge dans tous les sens), ou de certains de ses persos (Tilda Swinton qui cabotine...).
Et cette fin...
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qui sacrifie tout le monde pour ne laisser que de nouveaux jeunes Adam et Eve.
Reste la réflexion intéressante sur le libre arbitre, qui ici n'est qu'un leurre car tout est planifié.
Il y a des productions qui prennent de la valeur avec le temps, et d'autres pour lesquelles c'est le contraire, c'est comme ça ; après c'est une question de regard.
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