L'expérience Interdite - Flatliners - Joel Schumacher - 1990
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
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Prêter autant d'intention au film d'un scénariste qui à quand même écrit pour Mc Gyver ou le pondu le scénar' de Dangeureuse Alliance c'est vraiment tiré par les poils de couilles. La surinterprétation est vraiment formidable.
"What, are you dense? Are you retarded or something? Who the hell do you think I am? I'm the goddamn BATMAN!"
C'est un point de vue.Superwonderscope a écrit :Ce film m'a donné des cauchemars mais pas pour les mêmes raisons que vous tous : pour cause d'incroyable stupidité du scénario profondément réactionnaire -et d'un judeo-chrétien basique de mes couilles- en phase avec son époque post reagannienne, au visuel agressif qui ne voit pas plus loin que l'ampoule rouge de son éclairage primaire et de personnages schématiques. Très manipulateur et très primaire dans son approche du sujet : attention, spectateur.............LA! SEQUENCE EMOTION! SSOIT EMOTIONNE, STP et pis attention spectateur................LA! SEQUENCE FRAYEUR! Aie peur ou sursaute, STP. Etc,etc.
En ce qui me concerne, je trouve que le film n'édicte rien de définitif sur la question de la mort sous le prisme de l'interprétation religieuse, si ce n'est qu'effectivement on peut y dénoter un plaidoyer sur la redemption très caractéristique mais je crois que c'est une erreur de se focaliser et d'appuyer à ce point dessus.
Flash rationnels ? Réaction chimique des visions ? Travail de tiraillage de la conscience ? Le film se termine en laissant un épais voile de mystère sur tout cela et sur ces questions -j'aime beaucoup la fin et le morceau "voices" de JNH-
Puis finalement je dirai même que, cette expérience qui leur sert de thérapie par rapport à des questions personnelles, même s'ils en sortent sans réponse, leur procure un certain appaisement après le travail de conscientisation de leur refoule.
Ca permets d'apprécier les moments de peur et d'émotion dissiminés dans ce film, qui me semble quand même très loin d'un cours de catéchisme à l'arrivée.
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rocket a écrit :t'as enfin pu exterioriser cette haine qui est en toi depuis la mort de dalida
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BOn, je sors avec toi Rocket


Je pourrais vous tuer mille fois jusqu'aux limites de l'éternité si l'éternité possédait des limites.
MES FILMS: http://sd-1.archive-host.com/membres/up ... lms_56.rtf
MES FILMS: http://sd-1.archive-host.com/membres/up ... lms_56.rtf
Bon, je fais remonter ce trhead de 2004... Nous rajeunit pas, ça!...
Je viens de revoir ce petit bijou, avec toujours autant de plaisir, et ça m'a mis les miquettes (c'est une expression d'un bon pote à moi) tout autant!!
Un truc: Dans la scene où Nelson se fait attaquer par Billy Mahoney (brrr, rien que ce nom...), et que Dave (Kevin Bacon, pas le chanteur) vient le sauver, Billy disparait bien sur, mais on entend une voix avec de la reverbe (celle de Billy?) qui dit... bin quoi, justement? On croit entendre "... Nelson..."
J'ai écouté ce son au moins vingt-cinq fois sans arriver à comprendre. A noter que ce son est identique en vf ou vo. Mais il est en anglais. RIen dans les sous titres, français ou anglais.
Le son est à 1:22:49 sur le zone 2...
Quelqu'un se dévoue pour déchiffrer?...
Je viens de revoir ce petit bijou, avec toujours autant de plaisir, et ça m'a mis les miquettes (c'est une expression d'un bon pote à moi) tout autant!!
Un truc: Dans la scene où Nelson se fait attaquer par Billy Mahoney (brrr, rien que ce nom...), et que Dave (Kevin Bacon, pas le chanteur) vient le sauver, Billy disparait bien sur, mais on entend une voix avec de la reverbe (celle de Billy?) qui dit... bin quoi, justement? On croit entendre "... Nelson..."
J'ai écouté ce son au moins vingt-cinq fois sans arriver à comprendre. A noter que ce son est identique en vf ou vo. Mais il est en anglais. RIen dans les sous titres, français ou anglais.
Le son est à 1:22:49 sur le zone 2...
Quelqu'un se dévoue pour déchiffrer?...
Je suis monteur... Souriez!

Liberez le Tibet!

Liberez le Tibet!
Re: L'experience Interdite -Flatliners- Schumacher,90
Découvert avec 20 ans de retard. J'ai été assez impressionné par un vrai travail assez ambitieux sur la mise en scène, l'emploi dus scope, le travail sur les décors irréels et foisonnant, sur des jeux de lumières oniriques et ambigües, où le réel et le rêve ne se délimitent plus clairement.
Après, le sujet de départ est original et intéressant. Mais pas toujours très bien mené.
J'y ai surtout vu un assemblage de quatre contes moralisateurs, un peu gnangnan, un mélange d'histoires de fantômes et de contes du genre "La quatrième dimension" pas toujours bien aboutis.
Difficile de ne pas rigoler avec l'histoire de William Baldwin et sa collection de cassettes, bien tarte ! Le passage avec Julia Roberts est assez cousu de fil blanc. Ceux des deux autres tiennent mieux la route. Même si à l'arrivée "L'expérience interdite" ne tient pas vraiment ses promesses.
L'histoire se prêtait à un film du style "Brainstorm" ou "Au-delà du réel". On se retrouve avec des contes fantastiques un peu spielbergiens, pas vraiment dans le bon sens du terme hélas. Mais je le redis, j'avoue avoir été assez étonné par le travail sur la mise en scène, les scènes de cauchemar, de terreur, assez fouillée et recherchée, changeant du tout venant. Une curiosité qui garde un certain intérêt, malgré ses faiblesses...
Vu sur le bluray français Sony. J'avoue avoir été très convaincu par ce disque. La copie image est d'une propreté parfaite, pas un seul point blanc, pas la moindre trace de rayure ou la moindre imperfection ! Le transfert HD est très bon, avec un excellent rendu cinéma, une définition très aiguisée, même dans les, plans assez fréquents où Jan De Bont utilise délibérément des moyens pour diffuser la lumières et obtenir des images assez douces (beaucoup de fumée !). La variété des couleurs et des ambiances, les détails des vastes décors, le naturel du grain, tout y est ! On peut certes pinailler sur quelques plans à la fixité un peu incertaine (d'origine ?), j'ai repéré deux ou trois plans à la compression très légèrement visible (dégradé ou détail d'un arrière plan), mais c'est franchement de la broutille sur 1H50 de métrage. Il y a aussi trois plans où il y avait de très légers halos, mais il me semble que ce soit surtout dus au fait qu'il y ait un fort éclairage par l'arrière et non à du "edge enhancement" vidéo. Bande son non compressée PCM 5.1 de bonne tenue, avec une bonne dynamique, des timbres variés, des placements et des séparations des sources sonores très claires. Bref, j'ai été très agréablement surpris par ce bluray, pour du fond de catalogue ayant 20 ans au compteur, sorti sans tambour ni trompette (zéro bonus !), la qualité m'a paru tout à fait remarquable !
Je ne comprends donc pas très bien certaines critiques négatives qu'il a récolté à sa sortie, en particulier bluray.com qui ne lui met que 2.5/5 en image. C'était en 2007, le temps de leurs premières critiques, où il mettait la même note au premier bluray de "Predator" parce qu'il avait trop de grain, mais encensait celui de "Face/off" plastifié au DNR...
Après, le sujet de départ est original et intéressant. Mais pas toujours très bien mené.
J'y ai surtout vu un assemblage de quatre contes moralisateurs, un peu gnangnan, un mélange d'histoires de fantômes et de contes du genre "La quatrième dimension" pas toujours bien aboutis.
Difficile de ne pas rigoler avec l'histoire de William Baldwin et sa collection de cassettes, bien tarte ! Le passage avec Julia Roberts est assez cousu de fil blanc. Ceux des deux autres tiennent mieux la route. Même si à l'arrivée "L'expérience interdite" ne tient pas vraiment ses promesses.
L'histoire se prêtait à un film du style "Brainstorm" ou "Au-delà du réel". On se retrouve avec des contes fantastiques un peu spielbergiens, pas vraiment dans le bon sens du terme hélas. Mais je le redis, j'avoue avoir été assez étonné par le travail sur la mise en scène, les scènes de cauchemar, de terreur, assez fouillée et recherchée, changeant du tout venant. Une curiosité qui garde un certain intérêt, malgré ses faiblesses...
Vu sur le bluray français Sony. J'avoue avoir été très convaincu par ce disque. La copie image est d'une propreté parfaite, pas un seul point blanc, pas la moindre trace de rayure ou la moindre imperfection ! Le transfert HD est très bon, avec un excellent rendu cinéma, une définition très aiguisée, même dans les, plans assez fréquents où Jan De Bont utilise délibérément des moyens pour diffuser la lumières et obtenir des images assez douces (beaucoup de fumée !). La variété des couleurs et des ambiances, les détails des vastes décors, le naturel du grain, tout y est ! On peut certes pinailler sur quelques plans à la fixité un peu incertaine (d'origine ?), j'ai repéré deux ou trois plans à la compression très légèrement visible (dégradé ou détail d'un arrière plan), mais c'est franchement de la broutille sur 1H50 de métrage. Il y a aussi trois plans où il y avait de très légers halos, mais il me semble que ce soit surtout dus au fait qu'il y ait un fort éclairage par l'arrière et non à du "edge enhancement" vidéo. Bande son non compressée PCM 5.1 de bonne tenue, avec une bonne dynamique, des timbres variés, des placements et des séparations des sources sonores très claires. Bref, j'ai été très agréablement surpris par ce bluray, pour du fond de catalogue ayant 20 ans au compteur, sorti sans tambour ni trompette (zéro bonus !), la qualité m'a paru tout à fait remarquable !
Je ne comprends donc pas très bien certaines critiques négatives qu'il a récolté à sa sortie, en particulier bluray.com qui ne lui met que 2.5/5 en image. C'était en 2007, le temps de leurs premières critiques, où il mettait la même note au premier bluray de "Predator" parce qu'il avait trop de grain, mais encensait celui de "Face/off" plastifié au DNR...
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L'Experience Interdite (1990) de Joel Schumacher
Est ce que sa méritais un threat ? Bein je dirais que non... Mais (comme le roi...
) le remake en a un faillais bien au final ouvrir un sujet sur ce concours de mort cérébrale.
Alors est se que se film est vraiment Fantastique du moins a classer dans ce genre là, oui et non difficile de ne pas spoiler donc, je vais dire oui pour se qui arrive rapidement au petit Kieffer Sutherland .
Un film que j'ai revu cette semaine dans d'assez bonne condition puisque le BR éditer par Sony sans sort pas mal trop mal pour un disque sorti il y a 10 ans au début du blu ray. La photo étant très 90' avec ces nombreux filtre dont Schumacher na cesser de nous les imposés films après films. Et puis cette trouvaille qu'il réutilisera sur les Batman le fameux mur bourré de graffiti phosphorescence, s'est vrai que Fincher aussi sur The Game mais s'était en 1997.
Bref pour la photo s'est plutôt très daté, et sa n'est certainement pas ça le meilleurs du cinéma années 90 qui pourra nous faire remonter de bon souvenir
pareil pour les décors, des hôpitaux qui ressemble à des cathédrales sixtines pour jeunes étudiants
faillais osé, certes sa a de la gueule, mais qu'est se que sa viens faire là dans un supposé pré-Urgence, bien avant donc la série du même nom...
Le film est bourré jusqu’à l'os de stéréotype entre le gars allumé (Kieffer), le surdoué cramé (Bacon), la jeune sur la réserve (Roberts), ont peut pas dire qu'ont est là une équipe typique de se qu'ont trouverais dans un hôpital standard
Reste que malgré tous ces défauts je me suis laisser encore une fois séduire, il y a quand même pas mal de longueur ; là ou on aurait largement pu faire sauter une bonne demi-heure, d'ailleurs le personnage de William Baldwin est presque de trop. Donc dommage si ce métrage se laisse revoir, j'ai quand même trouvé le temps long jusqu'a se final bien convenu
Le visuel du BR sur amazon.fr est pas le bon, il correspond plus a se visuel là


Alors est se que se film est vraiment Fantastique du moins a classer dans ce genre là, oui et non difficile de ne pas spoiler donc, je vais dire oui pour se qui arrive rapidement au petit Kieffer Sutherland .
Un film que j'ai revu cette semaine dans d'assez bonne condition puisque le BR éditer par Sony sans sort pas mal trop mal pour un disque sorti il y a 10 ans au début du blu ray. La photo étant très 90' avec ces nombreux filtre dont Schumacher na cesser de nous les imposés films après films. Et puis cette trouvaille qu'il réutilisera sur les Batman le fameux mur bourré de graffiti phosphorescence, s'est vrai que Fincher aussi sur The Game mais s'était en 1997.
Bref pour la photo s'est plutôt très daté, et sa n'est certainement pas ça le meilleurs du cinéma années 90 qui pourra nous faire remonter de bon souvenir



Le film est bourré jusqu’à l'os de stéréotype entre le gars allumé (Kieffer), le surdoué cramé (Bacon), la jeune sur la réserve (Roberts), ont peut pas dire qu'ont est là une équipe typique de se qu'ont trouverais dans un hôpital standard

Reste que malgré tous ces défauts je me suis laisser encore une fois séduire, il y a quand même pas mal de longueur ; là ou on aurait largement pu faire sauter une bonne demi-heure, d'ailleurs le personnage de William Baldwin est presque de trop. Donc dommage si ce métrage se laisse revoir, j'ai quand même trouvé le temps long jusqu'a se final bien convenu

Le visuel du BR sur amazon.fr est pas le bon, il correspond plus a se visuel là

Toi t'est un flic..? Non j'uis un con.
Snake Plisken Escape from NY

Snake Plisken Escape from NY
Re: L'experience Interdite - Flatliners - Schumacher - 1990
C’est pas mal du tout cette Expérience interdite. Un peu décontenançant aussi. L’université de médecine dans un décorum religieux étonne. J’ai peut-être pas été suffisamment attentif, mais je ne crois pas que cela soit expliqué dans le film. Toute la direction artistique étonne en fait, le film baigne dans une superbe lumière fantastique (signée Jan de Bont) enfumée comme dans un cimetière de cinéma d’horreur. À la fois, je trouve ça beau - cela appuie l’ambiance entre deux mondes, mais il me manque un contre-point réaliste, avec la vie courante. Le film est trop sous cloche : on est avec eux, dans leur délire scientifique, mais le monde extérieur existe à peine. Autre point : je trouve que le fait de mourir (avec un espoir de revivre) n’est pas suffisamment dramatique. On commence à craindre pour eux quand le compteur est repoussé autour des 5mn. Avant cela, ils ont l’air trop tranquille pour qu’on ne s’inquiète.
Concernant les traumas à résoudre, celui des sex tapes est un peu ridicule je trouve. Mais c’était le début d’un phénomène avec la démocratisation des caméscopes. Phénomène qui connaîtra son apogée avec la « très distinguée » Pamela Anderson. Je note cependant que cet aspect du scénario a dû plaire à Schumacher puisqu’il reviendra à cette thématique (d’une certaine manière) avec 8mm.
Un film qui tient surtout par son esthétique ostentatoire.
Concernant les traumas à résoudre, celui des sex tapes est un peu ridicule je trouve. Mais c’était le début d’un phénomène avec la démocratisation des caméscopes. Phénomène qui connaîtra son apogée avec la « très distinguée » Pamela Anderson. Je note cependant que cet aspect du scénario a dû plaire à Schumacher puisqu’il reviendra à cette thématique (d’une certaine manière) avec 8mm.
Un film qui tient surtout par son esthétique ostentatoire.
Il y a un p'tit détail qui me chiffonne
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- Messages : 1872
- Enregistré le : lun. mai 03, 2004 2:16 pm
- Localisation : Into the twisted life of a necrophiliac
Re: L'expérience Interdite - Flatliners - Joel Schumacher - 1990
Les plus :
- Mise en scène efficace. Il y a du mouvement, du rythme, de l’énergie. Les séquences de mort et de résurrection sont bien shootées, tendues du slip et spectaculaires. Schumacher sait comment maintenir l’attention.
- Esthétique fin 80s assumée. Néons, fumée, jeux de lumière, effets sonores bien agressifs : c’est stylisé à l’extrême, on est à fond dans la période MTV.
- Toujours apprécié cette atmosphère étrange, presque onirique. Certaines scènes évoquent même L’Échelle de Jacob (la ruelle).
- Très bon casting, solide et sexy. Julia Roberts, Kevin Bacon, Kiefer Sutherland... à l'époque c'était la grande classe.
- La musique de James Newton Howard apporte une profondeur mystique et dramatique.
Les moins :
- Le style l'emporte sur la crédibilité. Une fac de médecine dans un musée gothique, l'expérience dans une église (apparemment bien ventilée !), Cherchez pas, c'est juste cool...
- Les personnages sont assez cons et antipathiques mais l’histoire les rattrape et les rend peu à peu plus humains.
J’ai toujours eu du mal à comprendre pourquoi ce film était autant mal aimé, alors qu'on se branlait sur Tony Scott (que j'aime beaucoup, hein !). Certes c'est tape-à-l'oei, bourrin et un peu moralisateur, mais ça fonctionne et ça suffit pour passer un très bon moment.
- Mise en scène efficace. Il y a du mouvement, du rythme, de l’énergie. Les séquences de mort et de résurrection sont bien shootées, tendues du slip et spectaculaires. Schumacher sait comment maintenir l’attention.
- Esthétique fin 80s assumée. Néons, fumée, jeux de lumière, effets sonores bien agressifs : c’est stylisé à l’extrême, on est à fond dans la période MTV.
- Toujours apprécié cette atmosphère étrange, presque onirique. Certaines scènes évoquent même L’Échelle de Jacob (la ruelle).
- Très bon casting, solide et sexy. Julia Roberts, Kevin Bacon, Kiefer Sutherland... à l'époque c'était la grande classe.
- La musique de James Newton Howard apporte une profondeur mystique et dramatique.
Les moins :
- Le style l'emporte sur la crédibilité. Une fac de médecine dans un musée gothique, l'expérience dans une église (apparemment bien ventilée !), Cherchez pas, c'est juste cool...
- Les personnages sont assez cons et antipathiques mais l’histoire les rattrape et les rend peu à peu plus humains.
J’ai toujours eu du mal à comprendre pourquoi ce film était autant mal aimé, alors qu'on se branlait sur Tony Scott (que j'aime beaucoup, hein !). Certes c'est tape-à-l'oei, bourrin et un peu moralisateur, mais ça fonctionne et ça suffit pour passer un très bon moment.
Man-eater