Happy Birthday to Me / Happy birthday - Jack Lee Thompson (1981)

[comte vonkrolock]

Enfin découvert se Slasher, dont l'affiche à longtemps fait fantasmé mon fanatisme pour le genre

Et ont peut dire que l'attente est récompenser, car le film de Jack Lee Thompson n'a rien perdu de son charme premier près de 40 ans après sa fonctionne toujours. Comme quoi des vieux vétérans de l'ancien Hollywood et auteur de perle comme Les Nerfs à Vifs, peuvent encore surprendre.

Certes il y a dans se métrage tous les poncifs traditionnel du slasher, ont pourrait même le prendre pour un hommage au Giallo avec son tueur ganté de cuir qu'ont ne voit quasiment jamais intégralement. Le premier meurtre est ridicule, et pourtant avec cette pauvre victime incapable de prendre la fuite la séquence est fort réussit.
Les fondus du genre verrons certainement arriver le truc avec un Glenn Ford, mais encore une fois le charme opère, peut-être est ce du à Melissa "La petite Maison dans la Prairie" Sue Anderson qui voulait se sortir de son gentil rôle de grande sœur dans la série de MIchael Landon. Reste que les 1H50, durée assez inhabituelle pour se type de film passe bien.

Vu sur le BR éditer par Rimini, rien à dire concernant les 3 pistes sonores (2 en VO et 1 Française), coté image si après un logo columbia et un générique un peut envie de divers points blanc et ligne verticale, sa s'améliore rapidement avec le premier meurtre.
Par la suite j'ai trouvé que la copie bien qu'excellente dans sa définition, virais comme je le pensais presque au rose bonbon, le magenta prendre le dessus sur l'intégralité du film. D'ailleurs sur les captures du test Devil à partir de la 3ème photos s'est assez flagrant.

[japi]

Un slasher agréable malgré sa durée un peu longue (1H50), comme déjà souligné.
Certes, quelques scènes de transition ne sont pas très intéressantes, en revanche d'autres sont vraiment réussies, comme celle du pont, et le final marquant.
Jack Lee Thompson, pas un habitué de ce genre de films, convint grâce une réalisation solide.
Plus globalement, on sent une application générale : c'est un film soigné.
Les interprètes, à commencer par Melissa Sue Anderson, ont aussi fait du bon travail et sont crédibles dans leurs rôles.
L'intrigue est classique et le film n'est pas original, mais il est tout à fait distrayant.
On passe un bon moment, surtout pour les amateurs de slashers, je pense.

Vu sur le blu ray Rimini.
La VO est satisfaisante, même si le 5.1 n'apporte pas grand chose.
L'image inquiète un peu au début, s'améliore ensuite, même s'il subsiste pas mal de points blancs.

Le supplément principal est un documentaire sur le slasher.
Je ne l'ai pas encore vu.

Une édition satisfaisante, mais pas tout à fait excellente.

[antropophagus]

Je continue de combler mes lacunes ou de rafraîchir ma mémoire. À vrai dire, le poster très crétin m’avait fait l’effet d’un repoussoir, et j’étais passé à côté, alors que le film a bien plus à offrir que le pastiche attendu… Bien au contraire, Happy Birthday to Me est un slasher étonnant, surtout quand on le compare à ses contemporains sortis à la même période (My Bloody Valentine, The Prowler, The Burning, etc.). Contrairement aux autres films, il ne se contente pas de suivre les codes établis par Vendredi 13 et Halloween, et se distingue par une intrigue plus mystérieuse qu’à l’accoutumée. On est parfois à la lisière entre le slasher et le giallo, avec ces mains gantées de cuir et une enquête se déroulant en parallèle des événements. On n'évite pas les clichés, comme la confrontation finale bien orchestrée et le twist complètement tiré par les cheveux, mais le tout se tient bien, et le final parvient malgré tout à faire son petit effet. L’atmosphère est prenante, et je me suis surpris à rester en haleine tout du long, malgré une durée un peu excessive (presque 2h). Une bonne découverte pour ma part.

[Superwonderscope]

Nouvelle vision sur le Blu Ray Rimini. Je n'aurais pas du, et j'hésite avec le Mill Creek que j'a compare dans le foulée. C'est comme si celui de Rimini avait été tire d'une copie 35mm avec ses poussières blanches et autres sauts d'image. Chez Mill Creek, tout cela est absent.

Pour le film, il est evident quel de confier l'ensemble a Jack Lee Thompson offre une ambition que les 99 % des slashers sortis a cette époque. Scenario compris, tant les réécritures - parfois maladroites - ont tente d'épaissir le sujet pour le porter vers autre chose de plus complexe. Et un budget évidemment plus élevé, grace au tax shelter canadien où le film a pu voir le jour, se trouvant lui aussi tout au debut de la vague de post Halloween slashers. C'0etait l'époque ou chaque major se battait pour avoir sa part de gateau du genre, ici la Columbia qui a acheté le film (non produit en son sein). C'est d'ailleurs le dernier film a être sorti avec le logo Columbia 70's. Chose qu'elle ne refera plus.

je reste sur mes sentiments présents, a savoir un film median, trop complique pour son propre bien. Glenn ford était ivre sur le plateau de tournage (il en a meme défoncé cela tete du premier assistant réalisateur), ca se voit ici avec son regard bouffi et ses approximations de jeu. Mais le reste de la troupe d'acteurs se débrouille plutôt bien, Thompson étant un remarquable directeur d'acteurs. C'est d'ailleurs le seul a avoir su diriger Bronson et en obtenir autre chose que son regard et debit de bovin.
A la camera, aussi, il est a l'asexualité a la fois avec les scenes d'action (cascades de voiture, motos...) que dans les scenes de frousse a élaborer. La scene du parking est quand meme bien fichue, de l'étranglement jusqu'a sa conclusion. C'est fichtrement bien élaboré. Classique, mais efficace.

reste des effets spéciaux assez ahurissants, toujours. La scene de decoupage de la calotte crânienne reste impressionnante et me. si certains effets ont été excises par la censure, on reste d'une belle tenue, notamment sur le triple twist final a la Scooby.doo. la dernière image reste la aussi atypique sur la notion de final girl.

Peut être un chouia trop long, mais quand on voit les trucs sortis en parallèle, un net cran a dessus.

180 759 spectateurs francais a sa sortie, sur 7 ans d'exploitation. La aussi, dernière exploitation au Brady en 1987, avec ses 246 tickets vendus.