Un scope toujours maitre dans le cadre d'une histoire plutôt simple de preneur de son pour série B ou Z plutôt, arrive sans trop de dialogue toujours par l'image à nous montrer un vrai film de complot de l'image, mais sans celle-ci (du moins au début) juste a base de son. On y retrouve les thème d'une époque passé (l'assassina de JFK, le scandale du Watergate) en même temps que l'ont se trouve à l’orée d'une période plus proche, plus actuelle. Ou tous sera méthodiquement enregistré, filmé, ou l'ont ne se pose même plus la question de qui est ce personnage qu’interprète John Lithgow ?!? Il est juste le représentant de cette nouvelle autorité manipulatrice, un simple exécutant parfois trop zélé.
A travers ces médias, ou sa police qui ne semble pas du tous concerné par se qui se passe réellement à l'écran. L'information est complétement contrôler de toute façon plus personne ne la regarde...
Un pur thriller donc, mais teinté d'un romantisme absolue et si Nancy Allen dans l'interview quel donne sur le BR éditer par Carlotta à quelques doutes sur cette love story entre son personnage et celui de John Travoltta. Ce n'est pas la musique de Pino Donaggio dont l'importance majeur ici prend tout sa dimension absolue dans le cinéma de Brian de Palma.
D'ailleurs l'un des meilleurs bonus contenu sur le BR Carlotta, est bien cette interview que donne Pino Donaggio pour nous raconter la chance qu'il a eu par deux fois, l'une de rencontrer les producteurs de Don't Look Now qui l'ont recruté car il était du coin (natif de Venise). Et la deuxième d'être présenter à Brian De Palma qui après la mort de Hermann cherchais justement un compositeur avec un style bien différent de ceux qui côtoyais le Hollywood de l'époque. Passionnant de bout en bout, celui-ci reviens sur le fait qu'il est plus proche de Hermann qu'il ni parait au premier abord lorsqu’on écoute sa musique. Bref je vais pas gâcher la surprise pour ceux qui aurait ce disque et voudrais en savoir un peut plus.
J'en reviens au film dont la fin, me laisse encore une fois sans souffle, bouchebé devatn ce final grandiose avec un Travolta qui avait eu du flaire en se tournant vers un scénario qui ne lui était pas destiné.
Un des plus gros flop critique et public de son auteur, qui aurait pu le mettre définitivement à terre et pourtant, près de 40 ans après, reste un film qui marque non seulement son époque mais aussi son auteur

