Hurlements - 1981 - Joe Dante
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Re: Hurlements - 1981 - Joe Dante
Les deux compagnons de route étaient un peu fatigués. Le miracle n’a pas eu lieu même si ça reste toujours un plaisir d’écouter Romain et ses amis.
Il y a un p'tit détail qui me chiffonne
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Romain
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Re: Hurlements - 1981 - Joe Dante
Oh Machet! CroiX2malte t'a déçu? On va redoubler d'efforts aux prochaines. Il y avait probablement encore plein de choses à dire sur le film de Joe Dante.
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Re: Hurlements - 1981 - Joe Dante
Excellente restauration 4K. J’ai redécouvert le film grâce à ça. Joe Dante ne nous a pas habitué à un tel sérieux et à des corps sexualisés. C’est son film le plus ouvertement adulte je pense de ce point de vue.
L’histoire a peu d’enjeux, sinon celle d’un couple qui ne fait plus l’amour (d’ailleurs marrant ce sex-shop comme point d’entrée dans l’histoire fantastique). Mais l’histoire est originale, puis j’adore les comédiens et il plane une ambiance fantastique dès le début grâce à ces lumières rouge et bleu prononcés, ces blancs vaporeux, et la forêt embrumée. La musique donne une saveur italienne à l’ensemble, renforçant la singularité du film.
Aucune réserve pour ma part. Un très bon Joe Dante.
L’histoire a peu d’enjeux, sinon celle d’un couple qui ne fait plus l’amour (d’ailleurs marrant ce sex-shop comme point d’entrée dans l’histoire fantastique). Mais l’histoire est originale, puis j’adore les comédiens et il plane une ambiance fantastique dès le début grâce à ces lumières rouge et bleu prononcés, ces blancs vaporeux, et la forêt embrumée. La musique donne une saveur italienne à l’ensemble, renforçant la singularité du film.
Aucune réserve pour ma part. Un très bon Joe Dante.
Il y a un p'tit détail qui me chiffonne
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antropophagus
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- Enregistré le : lun. mai 03, 2004 2:16 pm
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Re: Hurlements - 1981 - Joe Dante
Le film m'avait traumatisé quand je l'avais vu dans ma jeunesse lors d'une diffusion sur La Cinq en 1988 (j'avais 14 ans 
). Autant dire que j'étais excité à l'idée de le revoir en 4K...
Les plus :
- Les plus beaux loups-garous de l'histoire du cinéma, avec des transformations incroyables, encore aujourd'hui. Je les place à égalité avec celle du Loup-garou de Londres.
- Un scénario intéressant mêlant le mythe classique du loup-garou avec des thèmes plus modernes comme les tueurs en série, les sectes et le sensationnalisme journalistique. L'histoire est sans finesse mais elle a le mérite d'aller droit au but, un peu comme un épisode de Creepshow ou des comics EC.
- De très bons acteurs dans l'ensemble, même si... j'aurais préféré Tom Atkins dans le rôle de Bill (oui, on dirait un sosie !).
- La première partie dans le sex-shop m'avait bien traumatisé, même si on ne voit rien, et elle continue de faire son petit effet... environ 40 ans plus tard !
- Marrant de constater des similitudes avec les slashers des années 80 comme Vendredi 13 (le titre du film qui explose, la mort de la journaliste, l'ambiance forestière, etc.)
Les moins :
- Le flou diffus de la photo m'a dérangé. Ça rappelle les films érotiques de la même période. Je ne sais plus si c'était aussi gênant à l'époque, mais la 4K n'arrange vraiment pas les choses.
- Hormis le thème principal, la musique de Pino Donaggio fait vieillotte et elle n'est pas vraiment mémorable... Un Jerry Goldsmith ou un Christopher Young aux manettes auraient pu faire largement mieux.
Objectivement, The Howling est un excellent film et une pierre angulaire du genre. Mais je ne peux pas cacher une légère déception, notamment à cause de cette image qui donne parfois l'impression que le film a été tourné à travers un voile de fumée (ou de vaseline...). Ce n'est pas suffisant pour bouder son plaisir, et ça reste un classique.
). Autant dire que j'étais excité à l'idée de le revoir en 4K...Les plus :
- Les plus beaux loups-garous de l'histoire du cinéma, avec des transformations incroyables, encore aujourd'hui. Je les place à égalité avec celle du Loup-garou de Londres.
- Un scénario intéressant mêlant le mythe classique du loup-garou avec des thèmes plus modernes comme les tueurs en série, les sectes et le sensationnalisme journalistique. L'histoire est sans finesse mais elle a le mérite d'aller droit au but, un peu comme un épisode de Creepshow ou des comics EC.
- De très bons acteurs dans l'ensemble, même si... j'aurais préféré Tom Atkins dans le rôle de Bill (oui, on dirait un sosie !).
- La première partie dans le sex-shop m'avait bien traumatisé, même si on ne voit rien, et elle continue de faire son petit effet... environ 40 ans plus tard !
- Marrant de constater des similitudes avec les slashers des années 80 comme Vendredi 13 (le titre du film qui explose, la mort de la journaliste, l'ambiance forestière, etc.)
Les moins :
- Le flou diffus de la photo m'a dérangé. Ça rappelle les films érotiques de la même période. Je ne sais plus si c'était aussi gênant à l'époque, mais la 4K n'arrange vraiment pas les choses.
- Hormis le thème principal, la musique de Pino Donaggio fait vieillotte et elle n'est pas vraiment mémorable... Un Jerry Goldsmith ou un Christopher Young aux manettes auraient pu faire largement mieux.
Objectivement, The Howling est un excellent film et une pierre angulaire du genre. Mais je ne peux pas cacher une légère déception, notamment à cause de cette image qui donne parfois l'impression que le film a été tourné à travers un voile de fumée (ou de vaseline...). Ce n'est pas suffisant pour bouder son plaisir, et ça reste un classique.
Man-eater