Spoiler : :
Pompei - Paul W.S Anderson (2014)
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Re: Pompei - Paul W.S Anderson (2014)
J'étais à la Fnac tout à l'heure, arrivé au rayon dévédoches/Bluray je suis tombé pile sur la fin du film qui passait en démo sur un écran LCD. Plus prévisible que ça c'est pas possible...
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Re: Pompei - Paul W.S Anderson (2014)
A cheval ou en Ferrari il s'y serait passé de toute façon donc voilà pour l'explication, le déferlement pyroclastique qui leurs arrive dessus était inévitable.Winston Z. a écrit :J'étais à la Fnac tout à l'heure, arrivé au rayon dévédoches/Bluray je suis tombé pile sur la fin du film qui passait en démo sur un écran LCD. Plus prévisible que ça c'est pas possible...Spoiler : :
Reste que le Paulou nous fait en effet un truc ultra ronflant dans ces dernières images, même s'il ont comprend bien pour ceux qui ont vu le film en entier que ces derniers clichais font écho au tous début du film dans son générique, et que bien sûr aussi tous le monde est bien au courant qu'il n'y a pas eux de survivants historiquement parlant je veux dire. Clairement derrière toute cette énorme catastrophe naturel, le coté Péplum semble avoir complétement prix le dessus

Certaine image de corps prix dans la lave on du l'inspiré pour cette fin plus romantique. Cette affiche serais presque un hommage appuyer à une séquence au Watchmen de Zack Snyder deviné laquelle ?


Toi t'est un flic..? Non j'uis un con.
Snake Plisken Escape from NY

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Re: Pompei - Paul W.S Anderson (2014)
Si c'est bien ce à quoi je pense, je trouve pas la parenté évidente. Surtout que sur l'affiche ils s'embrassent, ils sont pas les quatre fers en l'air. Du coup l'éjaculation volcanique me saute pas aux mirettes.Cette affiche serais presque un hommage appuyer à une séquence au Watchmen de Zack Snyder deviné laquelle ?![]()

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Re: Pompei - Paul W.S Anderson (2014)
Suffit que tu penche l'affiche sur la droite et sa devrais le faireWinston Z. a écrit :Si c'est bien ce à quoi je pense, je trouve pas la parenté évidente. Surtout que sur l'affiche ils s'embrassent, ils sont pas les quatre fers en l'air. Du coup l'éjaculation volcanique me saute pas aux mirettes.Cette affiche serais presque un hommage appuyer à une séquence au Watchmen de Zack Snyder deviné laquelle ?![]()

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Re: Pompei - Paul W.S Anderson (2014)
Sorti deconfi de ma (tentative avortee de) visioner 10,000 B.C. d'Emmerich
, je tente Pompei toujours offert par TV Tokyo.
Resultat des courses: PWSA rulez!
On commence par un massacre de terroristes celtes par un Kiefer Sutherland en mode "24"
, suivi par de l'ultimate fighting de gladiateurs dans la future capitale du Brexit
pour ensuite transporter le tout vers...'Ben, Pompei, eh banane!
On retrouve tout un pan de cinoche populo-peplumesque et ce, sans les atermoiements de Sir Ridley pour entrer a donf dans le vif: volcan sous tension, gladiateurs sur le fil du rasoir, intrigue politico-militaro-financieres (bien vu a mon sens vu que generalement on se limite aux "jeux de pouvoirs", mais semble en oublier que tout tourne autour de l'argent) en attendant que tout ne p.te!
Bref, PWSA embrasse a fond ce qui est le fond de commerce du genre, chose que Roland semble quant a lui avoir oublie avec son 10KB.C., en montrer a son public, quitte a etre bourrin (si necessaire) et le bougre ne s'en prive pas!
Les CGs tiennent la route et visiblement les softwares de Gladiator on ete amortis. Le volcan est menacant, les gladiateurs semblent s'etre tous entraines a Venice Beach et si la lave ne fait pas couler Pompei, la fange de Rome le fera tout aussi bien.
Bon, on peut chipotter sur des details comme un intrigue-bateau, mais ca reste dans les canons du cinema bis transalpin de l'epoque ou encore l'absence de charisme du lead quand on le voit de face qui se fait royalement voler la vedette par tant Adewale Akinnuoye-Agbaje que Sutherland.
PWSA nous case une course de chariots dans le dernier tournant
et passe en mode bourrinage XXL
, mais l'amateur de films de gladiateurs que je suis
ne peux que deplorer l'absence de chretiens transformes en patee pour (gros) chats qui se fait cruellement sentir, mais chipotage que tout cela au final.
Bref, sur le creneau historico-blockbuster, Roland est KO et, a vrai dire, et meme si bibi reconnait les qualites techniques, artistiques et le niveau de l'interpretation, bibi a pris plus de plaisir avec le present Pompei que Gladiator (pas la tete!). Un probleme avec Russel Crowe peut-etre?
Rajoutons un final d'un romantisme echevele qu'on ne voyait pas venir dans un tel deferlement de bourrinage
et qui fera monter la note d'encore un cran!
Quoi qu'il en soit, Cinecitta et les fabricants de sandales italiens peuvent dormir sur leurs deux oreilles, leur heritage est bel et bien viviant en ce XXIeme siecle.
Pompei: 4.25 / 5 (apres un The Three Musketeers en mode steam-punk ou perruque-punk, je sais pas et qui voyait une Milady en mode Alice/Resident Evil
qui volait la vedette aux trois--enfin, quatre gugusses
, un PWSA qui remonte bien la pente et vaut son pesant de sesterces!)
P.S. Un truc qui m'a vachement fait tiquer lorsqu'on voit la carte du monde romain en debut de film, la peninsule italienne est appelle "Italia"? Euh, "Italia" ca existait deja a l'epoque du monde romain? Quelqu'un sait?
P.P.S. En voyant les presentateurs masques du cirque, quelqu'un d'autre n'a pu s'empecher de penser a 

Resultat des courses: PWSA rulez!

On commence par un massacre de terroristes celtes par un Kiefer Sutherland en mode "24"



On retrouve tout un pan de cinoche populo-peplumesque et ce, sans les atermoiements de Sir Ridley pour entrer a donf dans le vif: volcan sous tension, gladiateurs sur le fil du rasoir, intrigue politico-militaro-financieres (bien vu a mon sens vu que generalement on se limite aux "jeux de pouvoirs", mais semble en oublier que tout tourne autour de l'argent) en attendant que tout ne p.te!
Bref, PWSA embrasse a fond ce qui est le fond de commerce du genre, chose que Roland semble quant a lui avoir oublie avec son 10KB.C., en montrer a son public, quitte a etre bourrin (si necessaire) et le bougre ne s'en prive pas!

Les CGs tiennent la route et visiblement les softwares de Gladiator on ete amortis. Le volcan est menacant, les gladiateurs semblent s'etre tous entraines a Venice Beach et si la lave ne fait pas couler Pompei, la fange de Rome le fera tout aussi bien.
Bon, on peut chipotter sur des details comme un intrigue-bateau, mais ca reste dans les canons du cinema bis transalpin de l'epoque ou encore l'absence de charisme du lead quand on le voit de face
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PWSA nous case une course de chariots dans le dernier tournant



Bref, sur le creneau historico-blockbuster, Roland est KO et, a vrai dire, et meme si bibi reconnait les qualites techniques, artistiques et le niveau de l'interpretation, bibi a pris plus de plaisir avec le present Pompei que Gladiator (pas la tete!). Un probleme avec Russel Crowe peut-etre?
Rajoutons un final d'un romantisme echevele qu'on ne voyait pas venir dans un tel deferlement de bourrinage


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Pompei: 4.25 / 5 (apres un The Three Musketeers en mode steam-punk ou perruque-punk, je sais pas et qui voyait une Milady en mode Alice/Resident Evil


P.S. Un truc qui m'a vachement fait tiquer lorsqu'on voit la carte du monde romain en debut de film, la peninsule italienne est appelle "Italia"? Euh, "Italia" ca existait deja a l'epoque du monde romain? Quelqu'un sait?

P.P.S. En voyant les presentateurs masques du cirque, quelqu'un d'autre n'a pu s'empecher de penser a
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En direct du Japon. Bonsoir. A vous, Cognac-Jay.
Re: Pompei - Paul W.S Anderson (2014)
J'avais trouvé ce "Pompéi" exécrable, mené par un Kit Harington translucide et prenant une grosse voix mâle ridicule, accompagné d'un Kiefer Sutherland cabotin, et surtout noyé sous des couches et des couches d'images numériques pénibles, moche, d'un mauvais goût affligeant... Bien inférieur à la version hollywoodienne des réalisateurs de "King Kong" ou à la version cinecitta avec Steve Reeves, qui, elles, sont des vrais divertissements populaires, pas géniaux mais bien moins lourdingues que ce ratage de Paul Anderson!