Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
Ce que tu ne sembles pas comprendre, Arioch, c'est que tout ce "petit monde" y sera également en juillet... Pas moyen d'y échapper alors autant tenter de l'apprécier.arioch a écrit :J'attends que les hommes aux sandwich, les messies et les quidam a la poudre de riz soient déjà passés pour y retourner. De toutes facons, tous les films passent deux fois. En juillet, je serais plus tranquille !
Ils utilisent les copies de film qu'ils trouvent. Pour une telle retrospective, ils ont du piocher dans les catalogues des Cinematheques europeennes ce qui explique par exemple la presentation d'une copie espagnole (avec sous-titrage incrusté dans cette langue). Mais, bien evidemment, il n'est pas possible de retirer des copies et d'y apposer de jolis sous-titrages francais. Donc, cette technique s'avere une solution pour offrir une traduction a ceux qui ne comprennent pas l'anglais. Neanmoins, ces sous-titrages ont souvent des soucis (manque de phrase, retard ou avance...). Au prix de la place, c'est un moindre mal pour decouvrir des films invisible sur un ecran de cinema voire meme invisible du tout, pour certains, en vidéo (de surcroit en francais).Yza a écrit : C'est films ne sont pas STF, tout comme tous ceux que j'ai vu à cette rétrospective, mais en traduction simultanée, sur un bandeau électronique sous l'écran, peu génant, mais hier, ça cafouillait un peu!
... que dire ? De Fischer je ne connaissais auparavant que "Terror of Dracula", et là je me suis trouvé en présence d'un -comment dire ?- truc qui rappelle vaguement l'épopée de Robin des bois : "le serment de Robin des Bois". Chansonnettes au début, au milieu et à la fin, acteurs qui surjouent un maximum, quitte à en devenir caricaturaux, mélanges pas très réussis de séquences d'extérieur et de séquences en studio qui se voulaient d'extérieur aussi, etc etc... mais, pour sauver ces 80 minutes, Peter Cushing cabotin à souhait dans le rôle du méchant shérif de Nottingham, qui tue vicieusement les hors-la-loi en leur donnant un léger coup d'épée en carton dans le bide, pas trop fort sinon l'accessoire casse. 
) "meurtre sans empreinte" (the stranger came home), un honnête polar en noir et blanc qui commence très bien, avec la réapparition soudaine du riche mari, disparu et présumé mort depuis 4 bonnes années, qui reste énigmatique quant-à son passé, mais qui cherche à savoir lequel de ses associés (ou sa femme) a tenté de l'assassiner. Ca tourne rapidement au conventionnel crime passionnel, mais bon, ça se regarde.Qu'en sais-tu ??? On a pas tous des pancartes avec notre pseudo et Devildead écrit en gros hein !Duncan Idaho a écrit :Celà dit, je suis très colère du fait que je n'ai vu aucun dévildeadien aux deux séances !!
