C'est ce que je disais plus haut. Combien de séances à 150 sauvages qui font tout sauter? On ne retient que les plus bordéliques pour occulter les autres qui se passent bien. (ce qui me rappelle récemment qu'une bande de jeunes cons (une trentaines d'ados, je crois) avaient dévasté une salle d'un cinéma de Perpignan via les réseaux sociaux pour se rassembler pour Paranormal Activty 5 - ça, d'ailleurs, c'est un phénomène typiquement français depuis Saw III- et que les flics étaient intervenus. Sans pour autant vouloir voir le filmbluesoul a écrit :@ SWS, lorsque 150 sauvages envahissent la salle, a part depecher des cars de CRS ne vois pas...
Maintenant, ce type d'infos fait la une des manchettes... ça jette l'opprobe sur les autres cinémas et les autres séances, c'est dommage.Attention, je ne minimise pas le désagrément extrême que cela cause, la perte de confiance, le degout mentionné par Xav. C'est tout à fait compréhensible.
Je dis juste qu'il faut relativiser. Et ne pas prendre 1% de séances qui se passent mal pour les 99% autres.
ET pour rebondir sur ce que dit Bluesoul à propos des séances à l'étranger. Pour ce que j'ai pratiqué, on retrouve pus ou moins les mêmes comportements. En focntion des pays et de la culture locale. Je pense que Xav peut parler de séances en Inde qui feraient frémir les français sur le côté "participatif".
L'Italie est pas mal, aussi. ma séance d'Evil Dead (le remake) et je me cite dans e texte
"Vu par contre avec tout le charme d'une projection en Italie un samedi soir à 22h30
Ca hurle, ça applaudit, on connait le programme de l'après-projo pour les teenagers se trouvant dans la salle (le film est interdit aux moins de 14 ans là-bas), on apprend le menu du diner d'avant la projo, on connait par cœur le menu des sonneries du galaxy S 12569 et l'équipe de la salle s'y est également mise pour tester leurs appareils et écouter une chanson pendant l'intermission (car oui, il y a encore des salles italiennes qui font du "primo tempo" et "secondo tempo" avec 5 mn pour aller cloper ou pisser un coup. sauf que là, c'es coupé n'importe comment lors d'une projo numérique (une projection 2K pas trop mal ceci dit pour une salle au fin fond de la Campanie).L'HORREUR ETAIT DONC PLUTOT DANS LA SALLE
"En Grèce, c'est à peu près la même chose. J'ai vécu la projection de Marci X à Harlem, et comment dire...
Il FAUT être dans la salle et savoir à quoi on va assister. Idem pour Skinwalkers à NYC. a partir du moment où ça paye, certains multiplexes laissent rentrer tout et n'impote quoi. il y avait donc une jeune mère avec son landau et le bébé (oui, le bébé) qui hurlait.
En UK, ça a toujours été relativement calme, de Police Academy 2 -vu en salles là-bas
), Star trek VI, La main sur le berceau à leicester Square (salle blindée mais un calme assez religieux...) à Imitation Game. Les gens sont assez "civilisés" avec portables éteints, etc, des plus jeunes aux plus vieux. A Brighton, il n'y a aucun vigile de sécurité, par exemple, alors que pour les séances de blockbuster, il y a du lascar. J'ai vu Law Abiding Citizen avec des hordes de jeunes lascars, j'ai eu assez peur du résultat... eben non. Malgré evidemment quelques remarques à haute voix, c'était calme.A noter qu'en UK, il y a des cartes Illimitées (chez Odeon, Vue et Cineworld). Cineworld Bradford est assez autre, une population très jeune, pauvre et bigarrée. Ben de voir Cabin in The Woods ou des Hammer récents, je n'ai jamais eu de problème non plus.
En Norvège, ben... à un degré moindre, mais idem : White House Down, et je me cite "Vu cette merdasse au cinéma Klingenberg d'Oslo dans une salle 1 mi-pleine mais avec des applaudissements à la fin de la part d'une bande de jeunes gars passablement éméchés."
Ca n'a pas valeur de règle, mais un rendu de simple vécu...
De tout cela me fait dire qu'il s'agit plutôt d'un phénomène propre à notre pays. Je n'ai jamais entendu parler ailleurs de cinéma dévasté, de personnel agressé suite aux projections de films d'horreur, par exemple.
, je vous ferais mon compte-rendu. 
s'est un autre débat