Pas exactement une scène censurée, mais bien deux versions différentes de cette scène, détaillées sur movie censorship, qui compare les deux versions :
R-Rated (cinéma) et Unrated :
https://www.movie-censorship.com/report.php?ID=1900
Candyman - Bernard Rose (1992)
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Re: Candyman - Bernard Rose (1992)
Les plus :
- Je n'ai pas lu la nouvelle The Forbidden de Barker, mais le scénario est très bien écrit : il introduit les enjeux sans chichi et permet aux événements de s’enchaîner rapidement.
- Rarement une musique a été aussi importante dans la réussite d'un film : mélancolique et complètement envoûtante.
- Tony Todd dans son meilleur rôle évidemment, et Virginia Madsen, très impliquée, délivre une performance intense.
- C'est pas très gore mais quelques images marquent les esprits, grâce à une mise en scène sobre mais efficace. Même les jump scares sont réussis, c'est dire...
- Le film bénéficie d'une vraie identité visuelle : les décors délabrés, la photographie brumeuse et la mise en scène élégante créent une ambiance unique.
- Candyman évite de tomber dans le moralisme ou le manichéisme (contrairement à son immonde remake) : sa "star" est à la fois victime et monstre, sans jamais renier ce statut.
Les moins :
- Pas grand-chose à redire, peut-être quelques personnages secondaires (comme le professeur et la collègue de Virginia Madsen) qui ne sont pas vraiment approfondis, mais je chipotte.
Candyman, le boogeyman des HLM ! Un concept puissant et une très belle mise en scène permettent au film de dépasser le simple statut de slasher. À la revoyure, le film a très bien traversé les années et reste aussi envoûtant qu’à sa sortie . À l’époque, Clive Barker était un vrai gage de qualité, et Candyman en reste une des plus belles preuves.
Revu sur le 4K de Arrow en version Rated R.
- Je n'ai pas lu la nouvelle The Forbidden de Barker, mais le scénario est très bien écrit : il introduit les enjeux sans chichi et permet aux événements de s’enchaîner rapidement.
- Rarement une musique a été aussi importante dans la réussite d'un film : mélancolique et complètement envoûtante.
- Tony Todd dans son meilleur rôle évidemment, et Virginia Madsen, très impliquée, délivre une performance intense.
- C'est pas très gore mais quelques images marquent les esprits, grâce à une mise en scène sobre mais efficace. Même les jump scares sont réussis, c'est dire...
- Le film bénéficie d'une vraie identité visuelle : les décors délabrés, la photographie brumeuse et la mise en scène élégante créent une ambiance unique.
- Candyman évite de tomber dans le moralisme ou le manichéisme (contrairement à son immonde remake) : sa "star" est à la fois victime et monstre, sans jamais renier ce statut.
Les moins :
- Pas grand-chose à redire, peut-être quelques personnages secondaires (comme le professeur et la collègue de Virginia Madsen) qui ne sont pas vraiment approfondis, mais je chipotte.
Candyman, le boogeyman des HLM ! Un concept puissant et une très belle mise en scène permettent au film de dépasser le simple statut de slasher. À la revoyure, le film a très bien traversé les années et reste aussi envoûtant qu’à sa sortie . À l’époque, Clive Barker était un vrai gage de qualité, et Candyman en reste une des plus belles preuves.
Revu sur le 4K de Arrow en version Rated R.
Man-eater