L'homme la femme la bête- A. Cavalone- 1977 (public averti)

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eric draven
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L'homme la femme la bête- A. Cavalone- 1977 (public averti)

Message par eric draven »

L'Uomo la donna la bestia / Spell-Dolce mattattoio / Sweet abattoir / L'homme la femme la bête: Il viole un boeuf, elle defeque dans sa bouche!


Réalisé en 1977 par Alberto Cavallone, L'Uomo la donna la bestia est à l'instar de ses précecents films une oeuvre extremiste et marginale dont il est très difficile de parler.

Incroyable suite de tableaux plus extrêmes les uns que les autres, préface de son diarrhèique et nihiliste Blue movie, Spell est un voyage vertigineux dans un univers où se mélangent quasi obsessionnellement l'attirance pour les orifices humains et animaux, le sexe et la viande morte, la naissance et la reproduction. L'animal est d'ailleurs omni-présent sous forme de viande ou bien vivant, la tête affreuse d'un coq servant de transition à chaque tableau.

Ouevre surréaliste à part entière, chaque scène est truffée de symboles renvoyant à la religion. Cavallone oscille entre une normalité rigide de la vie campagnarde et l'anarchie engendrée par la liberation des moeurs. Spell balance donc sans cesse entre horreur et repulsion.

Le film s'ouvre de facon quasi-irréelle, à la façon d'un film de Bunuel, un fossoyeur sort d'une tombe sous l'oeil d'un poulet et rejoint ses ouvriers entrain de manger des oeufs durs, premier symbole christique évident.

La mort, un cimetierre, l'oeuf autant de references bibliques qu'on retrouve dés la séquence suivante, celle où on fait connaissance avec un artiste communiste obsédé par les vagins recouverts de vers ou putrescents, accroupi au pied d'une croix où il voit une femme uriner. Sa fille Luciana, dérangée mentale, aime boire l'eau des toilettes en mangeant des oiseaux avant de tenter de couper les seins de sa mère au ciseau.

A partir de là, Cavallone nous entraine dans un hypnotique voyage au coeur de l'incroyable.
Le petit village se prépare à la fête locale mais par delà les flons flons, tout n'est que tristesse. Chacune des têtes representatives de ce bourg vit ses frustrations, ses obsessions. On citera comme mise en bouche:

-Alfonso le boucher fait l'amour avec un morceau de viande, lèche ce boeuf dépecé avant d'atteindre l'orgasme.

-Une femme devient folle, exaspérée par les ronflements de son mari.. ce couple donnant au film une des scènes les plus oniriques, tournée dans un étouffant ralenti..
Le mari poursuit sa femme jusqu'au sommet d'une colline pour la violer . Elle trouve refuge dans les bras du prêtre et font l'amour, nus, sous un arbre où se balance un pendu leur servant de porte manteau... pendu qui n'est autre que le mari!

-Une jeune fille sert de billard humain et se fait rentrer une boule de billard dans le vagin- plan répugnant de son sexe servant de receptacle.

Spell est emminement une oeuvre érotique, le sexe y est omni-présent, sous ses formes les plus étonnantes et perverses. On y découvre de torrides scènes comme celle où Monica fait l'amour au jeune garcon.
Cavalone insiste febrilement sur les langues qui s'embrassent avant de se faire phalliques, se melangeant aux images de Luciana faisant l'amour à son propre portrait dans le miroir, véritable kaleidoscope s'enchainant dans un tourbillon de frenésie lubrique avant que les plans où tout le village danse en transe s'y interferent.

C'est dans un climat paroxysmique que se concluera ce Doux abattoir, véritable montée dans l'inimaginable et l'effroyable.

Cavallone sombre dans un délire fantasmagorqique rappelant une fois de plus Bunuel, Russel ou Bataille voire Sade dans l'hallucinante scène où alors qu'Alfonso viole une femme sur de la viande dans une chambre froide, la malheureuse arrache un globe occulaire et se le met dans le vagin. Voilà un terrible symbole trivial que cet oeil enfoncé dans son nouvel orifice, véritable oeil de Cain regardant de sa pupille torve et vide Alfonso effaré, symbole d'une sexualité feminine constamment surveillée, dictée, dirigée..

C'est dans son ultime plan que Spell trouvera le comble de l'horreur, dépassant en répulsion et ignominie tout ce que le cinéma euro-trash avait pu imaginer, laissant loin derrière le repas coprophage de Salo ou la diarrhée étouffante de Blue movie.

Un jeune homme rossé trouve refuge chez Luciana à qui il fait l'amour. Lors d'un analingus, la jeune femme déféque alors sur son visage avant de ramasser ses excrements et lui en remplir la bouche et le nez, hysterique et déchainée, sous les cris d'horreur du garcon qui finira étouffer.

Incroyablement dérangeant, d'une force que les mots ne peuvent décrire, cette seule scene tournée en gros plan et d'une terrible audace- Cavallone montre en gros plan l'anus se délivrant de ses feces ss trucage :shock: :shock: - justifie la vision du film.

Longue parabole philosophico-délirante- le mot délirant étant à prendre dans son sens le plus pathologique- Spell est un film sur l'homme et l'animal, les interdits de l'un, la liberté de l'autre, un film sur la vie et le sexe qui justement donne cette vie qu'on régira selon nos régles obsolètes et destrutrices, une vie qui finira inexorablement par la mort.

Tous ses tableaux surréalistes sont auréolés par la religion, terrible oeil de Cain... les croix sont omni-présentes comme les symboles bibliques et cette procession qui se prépare.

Qu'on aime ou non Cavallone, on ne peut nier l'intelligence de ses oeuvres même si on juge ses films amateurs, laids sans mise en scene ni esthétisme.
Cavallone n'était pas un homme de caméra, juste un visionnaire qui en une semaine mettait ses idées et sa philosophie sur pellicule.

Niveau casting, un parterre d'acteurs délicieux: Jane avril épouse d'alors de Cavallone, la Montenero qui défeque si joliment dans la bouche de son jeune amant, la Doria, Giovanni De Angelis, la Zanchi qui a les scenes de sex les plus chaudes dont celle du billard où on aura jamais autant vu les détails de son intimité. 8)

Et surtout O joie la plus glaciale des kapos de nazi movie- Holocaust nazi 8) -, la belge Macha Magall 8) 8) 8) !

Un doute subsiste: la Montenero a t'elle tournée la scène scato elle même ou s'est elle faite doublée????? :shock: :shock:

Le ciné trash transalpin comme Eric aime, extreme surrealiste, repulsif.
J'adore!!!!! 8) 8) 8)

Eric qui ne fait jamais caca dans la bouche de ses amants!! :lol:
Modifié en dernier par eric draven le dim. mai 24, 2009 8:36 pm, modifié 3 fois.
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Defest
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Re: L'homme la femme la bête- A. Cavalone- 1977 (public aver

Message par Defest »

eric draven a écrit : Eric qui ne fait jamais caca ds le bec de ses amants!!
en voila un garçon bien elevé.
eric draven
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Message par eric draven »

Il existe une VHS chez Nuovo video entre autre mais attention car le film est parfois tronqué selon les editions MAIS O joie petits trashoïdes 8) :D , Spell est sorti en DVD en Italie.. VO italienne et anglaise d'aprés mes sources transalpines, la version anglaise étant la meilleures niveau dialogue, de l'avis même des italiens.. La version anglaise etant niveau dialogue beaucoup plus percutante et explicite.

une petite affiche

Image

L'affiche ciné est tt aussi démente et carrement sordide, c celle que je possède: une tête de boeuf dépecée tenant ds sa gueule une femme.. Dispo fut un tps sur le net.. mais disparue :cry: !!

Celui qui me trouve une photo de Macha magall maintenant... je le couche sur mon testament et lui legue mes tresors a ma mort!!!!!!! :lol:
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eric draven
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Message par eric draven »

Alors MACHA MAGALL... pas de photo??? MACHAAAAAAAAAAAAAAA.. La plus belle des garces.. IL LE FOOOOOOOOOOOOO!! 8) 8)
Modifié en dernier par eric draven le mer. juin 25, 2008 10:09 pm, modifié 1 fois.
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Message par eric draven »

:oops: :oops: :oops: :oops: Honte à moi!! je vous ai dit une sottise!

Ce n'est pas macha Magall quui joue Luciana, la dérangée qui boit l'eau des toilettes et defeque sur le jeune homme mais la suave Paola Montenero, Paola vue ds L'autre enfer, novices libertines, la baie sanglante et surtout le tres sexuel et SM Mondo porno di due sorelle avec la batracienne Sherry buchanan dt je vous ferai une review bientot.


Mille excuses divine Paola de t'avoir confondue avec Macha, l'ange de glace qu'on peut voir en kapo sadique ds Holocaust nazi et SS girls mais aussi le neo nazi I ragazzi della roma violenta, son ignoble viol ds un aquarium et ses flippers humains 8) 8)

Et ce thread est dédié a notre ami Rocket qui l'attendait depuis des mois!! :wink:
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The Wall
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Message par The Wall »

Ce résumé est effarant et donne envie :oops:
Même si je suis sûr de pas pouvoir tout regarder.
Un jour peut-être.
eric draven
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Message par eric draven »

The Wall a écrit :Ce résumé est effarant et donne envie :oops:
Même si je suis sûr de pas pouvoir tout regarder.
Un jour peut-être.
Avec Zecreep en maitre, TU peux tt regarder!! :lol: :wink: ... d'autant plus que je lui descendrai certainement le dvd cet été! 8) Quel bel été fétide! :lol:
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Grenouille arrogante
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Message par Grenouille arrogante »

Ca a l'air sympa en tout cas :D
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Message par fiend471 »

les français avaient et la tendresse bordel, les italiens ont la version trash

ça commence déjà fort avec la fille dérangée qui s'alimente aux wc et le boucher frustré avec son air à la mr bean, qui tronche le boeuf en rajoutant la sauce kebab personnelle :lol:

c'est bestial, humain, dans les entrailles de nos désirs refoulés

le final d'ailleurs donne un effet biblique sentant l'holocauste ; décadence totale entre la fête et les perversions accomplies, avec la musique d'ambiance apocalyptique christique. le petit garçon de la fin se réserve t'il qq orgie de mineures ?
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Romain
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Message par Romain »

ça me branche A FOND!!! 8)
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Message par trepanator »

euh... très très mauvais ce film ! :roll: j'en ai pas dit du bien sur zonebis...
Image
eric draven
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Message par eric draven »

Fiend semble etre un fan definitif du ciné de cavalone.. 8) et de son univers surtout et sa vision des choses 8) 8)

En effet Trepanator, tu as descendu ce film en flèche. J'ai lu.. :roll: :lol: . mais comme je l'ai toujours dit, cavalone n'est pas un cinéaste, ni un pro.. c'est un visionnaire, un philosophe surtout.. qui n'avait d'autres buts que de mettre en image son univers et sa vision plutot deshumanisée et apocalyptique de la vie ss but artistique aucun.
On met donc detester, etre hermetique a forte raison à son ciné limite amateur a tout niveau.. ne lui trouver aucune qualité.. et même supra chiant.. Blue movie ou Zelda sont de cet accabit..

Reste a voir au dela de tt ca.. un monde de symboles, d'images, de tableaux tous plus forts et fous les uns que les autres..

Moi j'adore personnellement et j'accroche à ses visions de surcroit..
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Re: L'homme la femme la bête- A. Cavalone- 1977 (public averti)

Message par eric draven »

Petite remontée de cette petite perle de nacre.. Quelques jaquettes trouvées correspondant aux diverses éditions Video Italiennes..

Image Image Image

Et j'en profite pour dire deux mots sur la Montenero qui ici a les scenes les plus crades du film, déféquant en gros plan, camera quasiment sous son anus, dans la bouche de son amant avant de l'etouffer avec ses excrements.. 8) 8) 8)

Aux dires de Jane Avril lors d'une interview recente, epouse de Cavalone alors et une des protagonistes du film, la Montenero était assez spéciale... Elle avait un coté trés exhibitionniste et rien ne la choquait. Elle l'a peu vu sur le tournage mais elle se souvient que les scénes les plus hard du film dont celle ci sont tres impressionnates a l'écran- ben oui.. faut savoir filmer un beau caca qui tombe :@ :lol: .. mais sur le plateau c'était différent.. c'était beaucoup moins impressionant et ca ne faisait beaucoup moins d'effet.. Par contre la Montenero n'avait peur de rien!

La Montenero fait partie des destins tragiques.. Modéle trés jeune, devenue trés tot une sexy starlettes en Italie, elle débute en 71 dans La baie sanglante de Bava, empalée sur le lit avec son amant..
Sa beauté, son coté hippie séduit l'Italie et la Montenero est ambitieuse... Elle épouse Massimo Pirri, notre réalisateur trash adoré, l'union ne durera pas.. Et lentement elle va sombrer.. Etiquetée Sexy, elle s'enfonce dans l'erotisme de plus en hot et s'en sortir n'est pas évident. Mais son coté exhib l'aide .. Novices libertines, L'autre enfer..
Rebelle, anticonformiste mais a la fois desillusionnée, elle se rase quasiment la tête en 78 et pose nue une fois de plus pour l'équivalent italien de Play boy..
Elle defèque dans L'Homme la femme la bete, on la voit dans le trés malsain La locanda della maladolescenza où une adolescente est retenue dans un bordel pour adulte, violée, humiliée aux joies des locataires de l'auberge et sa mégère.. et elle est la glaciale tenanciere du bordel sadien dans le sublime Il mondo porno di due sorelle / Emanuelle et Johanna.
Elle sombre dans le X hardcore avec Que peut on faire d'une femme puis disparaitra definitivement, déchue.
L'italie l'apelle encore aujourd'hui L'ange déchu et pleure sa chute honteuse..

La montenero dans Que peut on faire avec une femme:

Image

Dans Emanuelle et Johanna / Il mondo porno di due sorelle

Image
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Re: L'homme la femme la bête- A. Cavalone- 1977 (public averti)

Message par eric draven »

Quel bonheur!! 8)) Devenu au fil du temps quasi invisible en VHS et l'énigmatique DVDr semblant avoir disparu de toute circulation, voici une grande nouvelle pour les fans de Cavallone: Un trés beau DVDr vient de sortir pour une somme derisoire, le même éditeur qui nous a gratifié de la versioin uncut de Violée par un nain et a sorti par la même occasion Blue movie. 8)

Ce DVD en italien sous titré anglais est d'excellente facture, en format respecté et un petit plaisir niveau image, tant au niveau de la définition que des couleurs. Un enchantement pour (re)découvrir ce chef d'oeuvre..
Eric s'est régalé jusqu'a plus soif et quel grand moment d'apprecier avec une telle qualité d'image la scène où la Montenero défeque sur son vagabond d'amant, les excrements mous coulant de son anus que nous détaille cavallone dans un luxe de détails si magnifiques avant qua merde soit enfoncée dans sa bouche et ses narines..

Le beau DVDr

Image
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igorfx
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Re: L'homme la femme la bête- A. Cavalone- 1977 (public averti)

Message par igorfx »

J'ai pour ma part grandement apprécié le film, que j'ai trouvé techniquement très supérieur à ce que j'avais déjà pu voir de Cavalone... et le DVDr dont parle Eric est très beau, avec des sous-titres anglais pour notre plus grand plaisir...

Par contre, je n'ai pas le même souvenir que Eric concernant la séance de défécation en gros plan... peut-être est-il comme toujours trop enthousiaste concernant le cinéma italien qu'il aime tant, mais j'ai le souvenir de la scène tournée avec la caméra à l'opposé du postérieur de l'actrice, elle se tenant au-dessus de son amant... on voit bien les matières tomber mais sans voir d'où elles sortent (c'est ça la magie du cinéma :-D ) : du trou à caca ou d'une poche tenue par un accessoiriste ... tout le mystère est là !
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