
Certains films viennent parfois douloureusement rappeler aux nostaligque comme moi que les 80's, ce n'était malheureusement pas que des films fun, flashy, aux géniale BO et remplit d'acteurs aux coupes de cheuveux improbables.Jason et sa famille, habitant Los angeles, s'installent à Seattle afin de fuir la pègre russe. Jason a du mal à se faire à ce nouvel environement et, après s'être fait sérieusement humilié lors d'une démonstration de karaté puis lors d'une fête entre amis, demande de l'aide à son idole de toujours : Bruce Lee !![]()
Non, les 80's, c'était aussi des films super perrave, avec des acteurs de merde et souvent dotés de scénari dépassant de loin les limites de la débilité !
Bon, pour ce consoler, on peut toujours ce dire que c'était aussi le cas des 90's et que les années 2000 ont dors et déjà prouvé qu'elles n'échapperais pas à cette triste règle. Mais bon, tout de même, voir ou revoir un film comme "Karaté Tiger" est une expérience assez douloureuse.
Pompant allègrement "Karaté Kid", déjà pas bien fameux (et encore, je suis gentil parce que je sais que certains ici en sont fans !

On nous ressert donc l'eternel ado mal dans sa peau qui, à force de courage et de travail, va réussir à gagner le respect de sa famille et de ses amis (qui la minute d'avant lui crachaient dessus !).
Orginalité du film, Jason, le héros du film, est schizophrene !

Celui si souffe en effet visblement de graves hallucinations. Celà nous vaut donc des scènes hilarantes ou Jason subit un rude entrainement sous l'égide de son idole de toujours, Bruce Lee, ou plutôt son fantôme, revenu tout spécialement du paradis pour l'entrainner (Hey ben, il devait bien s'emmerder là haut !).
Détail qui a son importance, l'acteur jouant Bruce Lee est completement foireux. Non seulement il ne lui ressemble pas du tout, mais en plus il surjoue comme un malade quelques pauvres miniques piqué à son model. Hilarant !

Ls quelques combats parsemant le film sont tous minables, filmé n'importe comment et donnat bizarrement l'impréssion d'avoir été accéléré (d'ailleurs, ça doit être le cas !).
Reste les 15 dernières minutes avec l'arrivée de Van damme (il apparait aussi furtivement au début), dont c'est ici le premier vrai role à l'écran et qui ratrappe à lui seul le film.
Enfin, si les combats deviennent alors nettement plus punchy qu'avant, difficle de faire abstraction de l'accent russe ridicule dont on a affublé ici Van Damme et des miniques groteques qu'il prend quand il veut jouer les méchants.
Bref, voilà un sacré nanar, nanar à ranger de préférence à coté de "Black Eagle", autre bouse 80's sauvée elle aussi in extremiste de la catastrophe totale par les quelques minutes de présence de notre JCVD adoré !
