The House on the Edge of the Park, Deodato 1980
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
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The House on the Edge of the Park, Deodato 1980
Pitch : Deux psychopates s'invitent chez de jeunes yuppies et les terrorisent.
Vu aujourd'hui. Très bonne surprise pour moi, c'est en quelque sorte un remake (ou une suite) de "Last House on the Left" (Wes Craven 1972) mais en mieux. Nombreux point commun: Titre similaire, l'acteur excellent David Hess, l'intrigue (punk psychopate vs haute société), les personnages (le psychopate leader, le suiveur, les victimes qui deviennent boureau...) les thèmes (viols, tortures, séduction victime-boureau)...).
Alors que le Wes Craven était esthétiquement à chier (image 16 mm dégueu, musique dégueu, look hippies nul, déco sordide, image amateur, etc... sans que cela ajoute un plus à l'histoire, ceci dit je ne suis pas fan de Wes Craven) cette version est au contraire très léchée. Une musique originale fabuleuse (Disco+comptine angoissante), le cadre est une maison bourgeoise moderne 1980, avec peinture et mobilier moderne-chic etc. Très look-déco 80's, de bon gout. Image plutot classe.
Les acteurs sont géniaux. Ils jouent tous exellement. Très belles nanas, les voyoux sont parfaits, les deux mecs snobs sont aussi parfait dans le genre arrogant-couille-molle et victime.
Ce qui m'a beaucoup plus, c'est la montée en puissance progressive. C'est vraiment l'histoire de deux mecs qui s'incrustent dans une soirée bourge entre ami et qui deviennent de plus en plus agressifs et dingues avec eux, et ça va assez loin. En parallèle, les mecs qui jouent les jeunes riches sont assez passifs, et les nanas très ambigues.
Bien sûr, pas mal de scene erotiques, l'idée du viol est omniprésente, le tout est assez violent (comparable à orange mécanique niveau degrès de violence) .
Pour ceux qui aiment le coté intello, moi j'ai un peu cogité sur le coté "lutte des classes" pendant le film et aussi sur la psychologie féminine. Enfin bon, c'est un détail...
Bon, là je suis ditirambique, c'est pas non plus Citizen Kane, le rebondissement final par exemple n'est pas terrible, plus deux trois trucs pas top, mais vraiment j'ai bien aimé.
http://www.imdb.com/title/tt0080503/
Vu aujourd'hui. Très bonne surprise pour moi, c'est en quelque sorte un remake (ou une suite) de "Last House on the Left" (Wes Craven 1972) mais en mieux. Nombreux point commun: Titre similaire, l'acteur excellent David Hess, l'intrigue (punk psychopate vs haute société), les personnages (le psychopate leader, le suiveur, les victimes qui deviennent boureau...) les thèmes (viols, tortures, séduction victime-boureau)...).
Alors que le Wes Craven était esthétiquement à chier (image 16 mm dégueu, musique dégueu, look hippies nul, déco sordide, image amateur, etc... sans que cela ajoute un plus à l'histoire, ceci dit je ne suis pas fan de Wes Craven) cette version est au contraire très léchée. Une musique originale fabuleuse (Disco+comptine angoissante), le cadre est une maison bourgeoise moderne 1980, avec peinture et mobilier moderne-chic etc. Très look-déco 80's, de bon gout. Image plutot classe.
Les acteurs sont géniaux. Ils jouent tous exellement. Très belles nanas, les voyoux sont parfaits, les deux mecs snobs sont aussi parfait dans le genre arrogant-couille-molle et victime.
Ce qui m'a beaucoup plus, c'est la montée en puissance progressive. C'est vraiment l'histoire de deux mecs qui s'incrustent dans une soirée bourge entre ami et qui deviennent de plus en plus agressifs et dingues avec eux, et ça va assez loin. En parallèle, les mecs qui jouent les jeunes riches sont assez passifs, et les nanas très ambigues.
Bien sûr, pas mal de scene erotiques, l'idée du viol est omniprésente, le tout est assez violent (comparable à orange mécanique niveau degrès de violence) .
Pour ceux qui aiment le coté intello, moi j'ai un peu cogité sur le coté "lutte des classes" pendant le film et aussi sur la psychologie féminine. Enfin bon, c'est un détail...
Bon, là je suis ditirambique, c'est pas non plus Citizen Kane, le rebondissement final par exemple n'est pas terrible, plus deux trois trucs pas top, mais vraiment j'ai bien aimé.
http://www.imdb.com/title/tt0080503/
Le scénario a beau être bateau, le fond du film plutôt dégueulasse, c'est vrai que c'est un film qui passe tout de même la barre parceque, quoi qu'on en dise, Deodato était vraiment un réalisateur extrêmement doué et talentueux, avec un vrai sens de l'image forte et de la manipulation. Je trouve même ça dommage qu'il n'ait pas réussi à un moment à émigrer aux states pour vraiment y travailler. Il a réellement percé trop tard, c'est dommage... Et David Hess, géant, terrible !
Le test d'un zone 2 sur le site :
http://www.devildead.com/indexfilm.php3 ... FilmID=720
Le test d'un zone 2 sur le site :
http://www.devildead.com/indexfilm.php3 ... FilmID=720
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pur film d'exploitation, suite non-officiel de Last House On The Left... La Maison Au fond Du Parc et cependant très plaisant et réussi techniquement. la photo est plutot belle ainsi que la BO, certaines scènes très crues font leur petit effet et on retrouve avec plaisirs des gueules de bisseux comme Annie Belle, Lorraine De Selle, Giovanni Lombardo Radice, Cristian Borroméo et surtout David Hess, le violeur decerébré de Last House...
un bon bis rital quoi ! bien mieux que le Rape & Revenge beaucoup trop surestimé de Craven.
un bon bis rital quoi ! bien mieux que le Rape & Revenge beaucoup trop surestimé de Craven.

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Superbe arrachage de culotte de Lorraine de Selle sur canapé!
J'aime beaucoup, ambiance vénéneuse, personnages tous plus pourris les uns que les autres....on se laisse manipuler par Deodato pour en venir à à éprouver de la sympathie pour David Hess (qui incarne pourtant un violeur psychopathe) et de la compassion pour Giovani Lombardo Radice (qui ne vaut pas mieux même si il n'incarne qu'un simplet influençable) alors que les supposées victimes, petits bourgeois hautains qui jouent à humilier leurs hôtes se révèlent vite ultra détestables.
Film porté par David Hess qui excelle dans ce genre de rôle (Hitch Hike
) ce mec a vraiment un physique et un charisme qui ne donnent pas envie de s'y frotter de trop près.
Superbe musique Disco aussi

J'aime beaucoup, ambiance vénéneuse, personnages tous plus pourris les uns que les autres....on se laisse manipuler par Deodato pour en venir à à éprouver de la sympathie pour David Hess (qui incarne pourtant un violeur psychopathe) et de la compassion pour Giovani Lombardo Radice (qui ne vaut pas mieux même si il n'incarne qu'un simplet influençable) alors que les supposées victimes, petits bourgeois hautains qui jouent à humilier leurs hôtes se révèlent vite ultra détestables.
Film porté par David Hess qui excelle dans ce genre de rôle (Hitch Hike

Superbe musique Disco aussi

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- Localisation : Dans la beauté du sale, la beauté du mal, sous les croix en feu, violant, déféquant...
Réalisé en 1979, le film de Deodato reprend la trame du film de Craven et surpasse son modèle même si cela n'est guère difficile.
Voilà une oeuvre nauséabonde batie autour de la vengeance d'une jeune femme contre les deux hommes qui violèrent et étranglèrent sa soeur lors de la séquence pré-générique.
La casa .. est un long huis-clos entre cinq personnages qui une nuit durant vont subir les humiliations des deux violeurs invités à une party donnée par la jeune femme.
Si le film souffre surtout de ses incohérences scénaristiques et de son manque de crédibilité, on en retiendra essentiellement son coté pervers et le sadisme vers lequel il glisse, lente montée dans la tension et la violence jusqu'au final particulièrement brutal.
Le plus interessant ici restent outre cette lutte des classes sociales en constante filigrane les relations qu'entretiennent les victimes avec leurs bourreaux, notamment celle qui unit Lisa, personnage central du film et Alex.
Dans un astucieux jeu de séduction, celui de l'attirance/répulsion, elle va tenter de l'amadouer afin de mieux l'attirer dans son machiavélique piège sans hésiter à s'offrir à lui lors de sulfureuses scénes érotiques.
Cinéma d'exploitation oblige, l'érotisme y tient donc une trés grande place, un érotisme qui lentement tourne au sadisme, les jeux devenant de plus en sadiques au fur et à mesure que la tension monte et que les esprits s'échauffent atteignant leur paroxysme lors de la défloration au rasoir d'une jeune invitée. OUIIIIIIIIII!
O joie ejaculatoire!
Interessant également la complexité du personnage de Ricky. A l'opposé de la cruauté et la folie aveugle de son complice, sa vulnérabilité et sa faiblesse faciliteront la vengeance de Lisa.
Totalement sous l'influence d'Alex, Ricky agit par la peur mais également par respect voire cette fascination pour son ami que certains pourraient traduire comme une relation homo-érotique- il est incapable de violer la fille qu'Alex lui désigne.
Il obéit souvent contre son gré, en permanence en conflit avec lui même, faille qui n'échappera pas à Gloria qui en profitera pour le séduire afin de le rallier à leur cause, un semblant d'attirance finissant par naitre entre eux.
Ricky en devient donc par moment pitoyable, réalisant trop tard l'horreur d'une situation désormais irreversible. La machine est en route, rien ne l'arrêtera. Les victimes se transforment en bourreaux, dévoilant leur vrai visage, leur détermination n'ayant d'égal que la haine accumulée.
C'est dans l'ultime plan et la lente et implacable agonie d'Alex que l'explication à toute cette violence sera dévoilée, explications quelque peu grossières qui pourront surprendre ou décevoir par leur illogisme qui affaiblit soudainement cette Maison déjà construite sur l'incohérence.
Tourné en 19 jours, ce rape and revenge malgré ses faiblesses scénaristiques et sa moralité réprehensible
, récurrente à tout rape and revenge relevant de l'euro-trash surtout, n'en demeure pas moins un classique du genre, un film particulièrement malsain et trouble même si peut être en deçà de la réputation qu'il s'est forgé au fil du temps, aidé en cela par les foudres de la censure qui jadis s'abattirent dessus.
Malgré quelques longueurs- la longue séquence disco notamment- La casa.. comblera les amateurs d'érotisme sulfureux et de violence brute, fans d'un certain cinéma d'exploitation, le seul but du film étant à partir d'un minuscule point de départ de justifier un étalage de scénes d'humiliation, de dégradation et d'érotisme graveleux et d'otages terrorisés par les deux voyous.
Ce dérangeant huis-clos qu'accompagne la musique totalement décalée de Riz Ortolani dont l'indispensable slow final So sweetly reste un des meilleurs ersatzs du film de Craven.
Il réunit autour d'un David Hess égal à lui même et dont on voit cette fois le kiki
, l'incandescente et incendaire Annie Belle dans un rôle trouble à souhait, étalant génèreusement sa plus intime nudité, la hautaine mais toujours aussi statique Lorraine De Selle avec arrachage de slip, la vierge idéale du Bis italien Brigitte Petronio déflorée au rasoir
, le toujours aussi jeune et blond Cristian Borromeo et sa frange folle
et enfin le névrotique Giovanni Lombardo-Radice toujours aussi excellent et ambigu.
Jarlow, il te le faut donc!!
Voilà une oeuvre nauséabonde batie autour de la vengeance d'une jeune femme contre les deux hommes qui violèrent et étranglèrent sa soeur lors de la séquence pré-générique.
La casa .. est un long huis-clos entre cinq personnages qui une nuit durant vont subir les humiliations des deux violeurs invités à une party donnée par la jeune femme.
Si le film souffre surtout de ses incohérences scénaristiques et de son manque de crédibilité, on en retiendra essentiellement son coté pervers et le sadisme vers lequel il glisse, lente montée dans la tension et la violence jusqu'au final particulièrement brutal.
Le plus interessant ici restent outre cette lutte des classes sociales en constante filigrane les relations qu'entretiennent les victimes avec leurs bourreaux, notamment celle qui unit Lisa, personnage central du film et Alex.
Dans un astucieux jeu de séduction, celui de l'attirance/répulsion, elle va tenter de l'amadouer afin de mieux l'attirer dans son machiavélique piège sans hésiter à s'offrir à lui lors de sulfureuses scénes érotiques.
Cinéma d'exploitation oblige, l'érotisme y tient donc une trés grande place, un érotisme qui lentement tourne au sadisme, les jeux devenant de plus en sadiques au fur et à mesure que la tension monte et que les esprits s'échauffent atteignant leur paroxysme lors de la défloration au rasoir d'une jeune invitée. OUIIIIIIIIII!


Interessant également la complexité du personnage de Ricky. A l'opposé de la cruauté et la folie aveugle de son complice, sa vulnérabilité et sa faiblesse faciliteront la vengeance de Lisa.
Totalement sous l'influence d'Alex, Ricky agit par la peur mais également par respect voire cette fascination pour son ami que certains pourraient traduire comme une relation homo-érotique- il est incapable de violer la fille qu'Alex lui désigne.
Il obéit souvent contre son gré, en permanence en conflit avec lui même, faille qui n'échappera pas à Gloria qui en profitera pour le séduire afin de le rallier à leur cause, un semblant d'attirance finissant par naitre entre eux.
Ricky en devient donc par moment pitoyable, réalisant trop tard l'horreur d'une situation désormais irreversible. La machine est en route, rien ne l'arrêtera. Les victimes se transforment en bourreaux, dévoilant leur vrai visage, leur détermination n'ayant d'égal que la haine accumulée.
C'est dans l'ultime plan et la lente et implacable agonie d'Alex que l'explication à toute cette violence sera dévoilée, explications quelque peu grossières qui pourront surprendre ou décevoir par leur illogisme qui affaiblit soudainement cette Maison déjà construite sur l'incohérence.
Tourné en 19 jours, ce rape and revenge malgré ses faiblesses scénaristiques et sa moralité réprehensible


Malgré quelques longueurs- la longue séquence disco notamment- La casa.. comblera les amateurs d'érotisme sulfureux et de violence brute, fans d'un certain cinéma d'exploitation, le seul but du film étant à partir d'un minuscule point de départ de justifier un étalage de scénes d'humiliation, de dégradation et d'érotisme graveleux et d'otages terrorisés par les deux voyous.
Ce dérangeant huis-clos qu'accompagne la musique totalement décalée de Riz Ortolani dont l'indispensable slow final So sweetly reste un des meilleurs ersatzs du film de Craven.
Il réunit autour d'un David Hess égal à lui même et dont on voit cette fois le kiki







Jarlow, il te le faut donc!!

Modifié en dernier par eric draven le jeu. avr. 30, 2009 11:13 pm, modifié 1 fois.
Je pourrais vous tuer mille fois jusqu'aux limites de l'éternité si l'éternité possédait des limites.
MES FILMS: http://sd-1.archive-host.com/membres/up ... lms_56.rtf
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Ouh la la la !
Je n'attendais pas grand chose de ce film, un petit décalque de "La dernièrre maison sur la gauche" avec quelques pointes d'originalité ou de trash m'aurait suffit.
Malheureusement, j'ai trouvé ce film vraiment très mauvais !
Tout d'abord, le twist est d'une rare débilité, et fait plonger le film, déjà cocasse vu le comportement totalement incohérent des différrents protagonistes durant tout le film, dans les abimes du ridicule,
Ensuite, les acteurs sont assez mauvais, en particulier David Hess qui cabotine comme un malade en faisant des grimaces même pas digne d'un chimpanzé !
Difficile dans ces conditions de s'intérésser à l'action ou au sort des protagonistes, les sévices leurs étant infligé étant de plus d'une banalité ....... affligeante !
Seule la scène ou une fille se fait lascérée au razoir m'a quelque peu mis mal à l'aise. Le reste du temps, j'avoue m'être pas mal ennuyé !
Reste quelques moments marrants comme celui ou un des 2 crétins du film danse comme un mongolien sur du disco et surtout la magnifique chanson thème du film, composé par Ritz Ortolani, est qui donne un peu d'épaisseur à des scènes qui, sans elle, seraient bien fade.
Un tout petit Deodato, à la réputation totalement injustifiée.
Je n'attendais pas grand chose de ce film, un petit décalque de "La dernièrre maison sur la gauche" avec quelques pointes d'originalité ou de trash m'aurait suffit.
Malheureusement, j'ai trouvé ce film vraiment très mauvais !

Tout d'abord, le twist est d'une rare débilité, et fait plonger le film, déjà cocasse vu le comportement totalement incohérent des différrents protagonistes durant tout le film, dans les abimes du ridicule,
Ensuite, les acteurs sont assez mauvais, en particulier David Hess qui cabotine comme un malade en faisant des grimaces même pas digne d'un chimpanzé !

Difficile dans ces conditions de s'intérésser à l'action ou au sort des protagonistes, les sévices leurs étant infligé étant de plus d'une banalité ....... affligeante !

Seule la scène ou une fille se fait lascérée au razoir m'a quelque peu mis mal à l'aise. Le reste du temps, j'avoue m'être pas mal ennuyé !

Reste quelques moments marrants comme celui ou un des 2 crétins du film danse comme un mongolien sur du disco et surtout la magnifique chanson thème du film, composé par Ritz Ortolani, est qui donne un peu d'épaisseur à des scènes qui, sans elle, seraient bien fade.
Un tout petit Deodato, à la réputation totalement injustifiée.
D'accord avec Dragonball (pour une fois).
J'ai toujours trouvé ce film médiocre, emmerdant et aussi sulfureux que les chansons de Cali, le guignol abonné chez Drucker.
Le gros probleme de ce film, c'est qu'on y pratique la roue libre de bout en bout, rien ne se tient (comportements débiles de tous les personnages) et Deodato, visiblement pas inspiré, se contente de nous refaire La dernière maison sur la gauche en beaucoup moins choc.
Hess porte le film sur ses épaules et même à ce niveau, ça déconne sévère parce que reprendre quasi à l'identique son rôle de Krug une fois, ça passe (La proie de l'auto-stop) mais là, ça devient ridicule, aussi bien pour lui que pour le spectateur.
J'ai toujours trouvé ce film médiocre, emmerdant et aussi sulfureux que les chansons de Cali, le guignol abonné chez Drucker.
Le gros probleme de ce film, c'est qu'on y pratique la roue libre de bout en bout, rien ne se tient (comportements débiles de tous les personnages) et Deodato, visiblement pas inspiré, se contente de nous refaire La dernière maison sur la gauche en beaucoup moins choc.
Hess porte le film sur ses épaules et même à ce niveau, ça déconne sévère parce que reprendre quasi à l'identique son rôle de Krug une fois, ça passe (La proie de l'auto-stop) mais là, ça devient ridicule, aussi bien pour lui que pour le spectateur.
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- Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 10:04 am
- Localisation : Derrière les cemetery gates
J'ai vu la version Neo ce week-end et j'ai trouvé le film ENORMISSIME !!!! Cela faisait longtemps que je n'avais pas autant kiffé sur un film italien.... David Hess est génial dans son rôle de gros ouff et la scène où il lacère la blonde avec ses grimaces est d'anthologie... l'explication de la fin est par contre foireuse mais autrement tout le reste est très bon...
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- Enregistré le : dim. mai 02, 2004 12:46 pm
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En ligne depuis quelques jours : mon comparatif Shriek Show vs Neo Publishing.
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- DeVilDead Team
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- Enregistré le : jeu. juin 24, 2004 5:34 pm
- Localisation : Last House on Dead End Street.
Mais...
C'est quoi, ce truc ?
Dire que je rêvais de le voir 
Je n'ai pas trouvé ça crédible une seule seconde. Trop classieux pour être cru et les acteurs unanimement à côté de la plaque, même Hess. Le film ne sait pas s'il doit mettre l'érotisme ou le sadisme en avant et s'échoue lamentablement comme une grosse baleine.
Avis plus détaillé à suivre, si tout va bien



Je n'ai pas trouvé ça crédible une seule seconde. Trop classieux pour être cru et les acteurs unanimement à côté de la plaque, même Hess. Le film ne sait pas s'il doit mettre l'érotisme ou le sadisme en avant et s'échoue lamentablement comme une grosse baleine.
Avis plus détaillé à suivre, si tout va bien

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- Enregistré le : lun. juin 28, 2004 12:55 pm
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Je ne peut que souscrire à un tel avis ayant découvert pour la 1ère fois ce film il y a 2 joursZombiGirl a écrit :
Je n'ai pas trouvé ça crédible une seule seconde. Trop classieux pour être cru et les acteurs unanimement à côté de la plaque, même Hess.


Plus proche d'un ersatz d' "Emmanuelle" que du rape and revenge digne de ce nom. Trop propret tout simplement.
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- DeVilDead Team
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- Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 9:09 am
- Localisation : Pyun City
je rejoins zombigirl sur le coup. C'est assez médiocre, on sent le genre en fin de vie. peu d'idées de mise en scène dgne de ce nom. Hess, mouais, la carure, tout ça, blablabla... je le préfère largement dans Autostop Rosso sangue où il y est beaucoup plus inquiétant. Question de Direction d'acteurs, sans doute; mais ça n'a jamais été le fort de Deodato. Entre érotisme élephanteqque et violence inaboutie, le film se balance et ne va pratiquement nulle part. Largement surestimé.
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
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- Enregistré le : sam. nov. 11, 2006 7:40 pm
- Localisation : Nancy