cinemotions.com a écrit :Flic intègre, John Dark empêche la vermine de s'installer dans sa ville. Il commence à soupçonner son ami et mentor, Mortimer Shade, d'une série de meurtres surnaturels visant la pègre. Même si Shade élimine uniquement les crapules, Dark devra choisir entre le dénoncer ou rester silencieux... Rien ni personne n'est au dessus de la loi.
Thriller horrifique du réalisateur débutant Andrew Goth (excellent nom) sorti en 2005. Le DVD est dispo chez nous pour 14,99euros...
Je crois que Mad en dit du bien mais je me méfis un poil.
Quelqu'un a vu ? Alors Glop ou Pas Glop ??
La jaquette :
Dessin et sketching liés au cinéma, au voyage, etc. :
mouais, très joli mais un peu chiant.
Les CGI sont bel et bien foireux, contrairement à ce qu'en dit Mad.
On attend son 2e film, espérons plus maîtrisé niveau rythme et scénar.
Un grand moment de n'importe quoi, à tous les niveaux. Le scenario est d'une idiotie à toute epreuve, n'a meme pas les couilles d'etre reactionnaire de bout en bout ( concernant le boulot de flic et la peine de mort pour schematiser un gribouillis ) et se tape un backflip-retammage aux trois quarts. La mise en scene est tapageuse et tres voyante, mal concue, une sorte de melange entre Saw 3 et un episode de Derrick. Le pire est du coté de la direction d'acteurs, l'acteur jouant le heros calque son jeu sur celui de Cassel dans Ocean's Twelve ( sans la capoera, dommage c'etait encore plus ridicule que les mimiques de gros dur à cuire )et de la caracterisation des personnages, aucune psychologie et des looks pas croyables qui achevent de flinguer un film deja mal engagé ( entre l'espece de goth pédé et le bouddhiste fan de Doris Day, ça va loin dans le n'importe quoi ). Une gestion de la voix-off non-sensique et catastrophique. Un score musical sous forte influence Bontempi. L'ensemble, ça donne une des plus grosses deceptions de l'année.
Un concept de base pas forcément inintéressant.
Mais un scénar incroyablement bordellique appuyé par une mise en scène confuse. Tout cela n'a pas vraiment de sens et c'est dommage car il y a bien 2-3 idées qui méritent d'être retenues, mais paumées au milieu de ce gloubiboulga stylisé (l'utilisation du scope n'est d'ailleurs pas tout é fait maîtrisée) elles sont bien vaines car dynamitées de l'intérieur à peine introduites. Goth a peut-être du potentiel, mais encore faut-il qu'il apprenne à raconter une histoire.