Jim Profit works for a multinational company, and isn't above using any means necessary to get ahead, and that includes bribery, blackmail, intimidation, extortion, and even murder. Now everyone at the company, including the president, Charles Gracen are oblivious to his dark side, as a matter of fact, Gracen thinks of him as a golden boy. But Joanne Meltzer, the company's security chief looks into his eyes, she sees something sinister. And when her boss, Jack Walters is looking into some irregularities at the company, he asks Joanne to look into and initially, the person she cornered said it was Profit who was behind it, but when Profit learned of this, he convinced this person to change the story she told Joanne. But Joanne knows that Profit is evil and so she tries to get the goods on him, at the same time, Profit tries to find a way to neutralize her and anyone else who might believe her.
Une série dont j'ai souvent entendu beaucoup de bien. Peut être trop corsée pour l'époque, celle ci n'a malheureuseument durée qu'une seule saison (8 épisodes)
Je suis en train de la regarder en ce moment...Je n'en suis qu'au 3ème épisode (bon, d'accord, il n' y en a que 8 ).
Effectivement, c'est assez corsé pour une série TV, Profit étant une ordure peu commune et qui ne recule devant rien pour atteindre ses buts.
Bémol: le look fait assez daté (notamment avec ces visuels "virtuels" issus de l'ordinateur de Profit) et quelques facilités scénaristiques sont parfois à déplorer pour régler certaines situations.
Mais ça reste vraiment une série unique de par sa méchanceté et vraiment à découvrir.
"Je dis aux jeunes : la fête, c'est la vie. La vie, c'est ton visage !" (Hommage à un disparu: Jean Pierre Raffarin)
Je l'ai visionné en entier, mais j'ai franchement eu du mal. Le vrai bon point du film, c'est James Spadar qui est vraiment formidable. Les autres acteurs sont beaucoup plus moyens (Jeffrey Sikes, la belle-mère de Jim). C'est une série purement 90s, avec la remise en cause des yuppies des 80s qui s'imposait alors (cf. American Psycho, Fight Club). Une bonne idée est d'utiliser certains mécanismes de la vie d'entreprise (OPA, procès...) au centere de l'action, même si cala avit déjà été fait avant... Mais j'ai vraiment trouvé qu'il y avait beaucoup de facilités. Des facilités, il faut dire, génante car nous ne saurons jamais le fin de mot de l'histoire. La source de presque tous les rebondissements qui sauvent in extremis Profit, c'est qu'il arrose tout le monde avec sa fortune - fortune sortie hélas d'on ne sait où. Et que tout le monde est corruptible bien sur. Un univers qui ne me parle pas, une noirceur trop systématique pour convaincre... Je n'ai vraiment pas été emballé. Vu sur le coffret français qui est tès bien fait...