Humbert, brillant professeur de lettres françaises dans une petite ville de la Nouvelle-Angleterre, loue une chambre chez une veuve esseulée, Charlotte, qui tombe amoureuse de lui. Provinçiale écervelée et bavarde, elle incarne ce qu'Humbert déteste le plus au monde, mais elle possède un atout inestimable: sa fille Dolores, dite Lolita, une espiègle et ensorcelante nymphette qui rappelle irrésistiblement au professeur le tragique amour de jeunesse dont il ne s'est jamais remis.
Source : Allociné
Ben, puique je suis lancé !
Allez, surpennez moi, il est mieux que celui de Kubrick, hein ?
Tous les gens comme il faut se retournent sur moi
Principalement les femmes, je ne sais pas pourquoi
Elles reluquent mes chaussures, mes chaussettes et ma jupe
Je les entends murmurer de drôles de mots comme pute
Lolita
Lolita go home !
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
Dragonball a écrit :
Allez, surpennez moi, il est mieux que celui de Kubrick, hein ?
Oui. Enfin l'approche est différente, moins distante, et reste du même coup beaucoup plus fidèle au bouquin de Nabokov.
Jeremy Irons est, comme souvent, très bon.
Je préfère largement cette version, le Lolita de Kubrick étant selon moi un monument d'ennui, frileux, alourdit par les prestations fatiguantes de Peter Sellers.
je deteste le Kubrick, ça me revulse,je sais pas pourquoi, et le rôle de la mere (sublimement defendu par notre regrettée Shelly Winters) est le personnage le plus repugnant que je connaisse.
Tout ceci etant hautement subjectif bien entendu.
...M'enfin, voilà qui ne m'a pas incité a revoir ma copie sur le Lyne
Je fais aussi parti de ceux qui n'aiment guère le film de Kubrick. malgré, les acteurs formidables, la mise en scène, tout ce qu'on veut, c'est trop froid, trop réservé, ça ne passe pas... par contre, j'ai un bon souvenir du film Lyne. Il y a quelques lourdeurs (les cauchemars de jeremy Irons, etc.), mais le personnage de Lolita est beaucoup plus réussi, beaucoup plus cohérent que dans le Kubrick. Et Jeremy Irons n'a pas à rougir de la comparaison avec James Mason...