L'homme sans mémoire - 1974 - Duccio Tessari
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L'homme sans mémoire - 1974 - Duccio Tessari
Ce Giallo rare de Duccio Tessari est chroniqué sur le site, dans sa nouvelle édition Néo !!!
http://www.devildead.com/indexfilm.php3?FilmID=1231
A cette occasion, vous pouvez même gagner le dvd de ce titre dédicacé par Luc Merenda !!: Oui, vous ne rêvez pas : la star de Chateauvallon apposera sur le disque que vous allez gagner sa signature, laquelle le transformera en un collector à la valeur inestimable !! Merci Qui ? Merci DeVilDead !
http://www.devildead.com/concours/giall ... cours0.htm
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Re: L'homme sans mémoire - 1974 - Duccio Tessari
Juste un mot pour signaler que Diaboliquement Votre passe dimanche 9 avril sur Direct 8 (TNT).Manolito a écrit :Ce Giallo rare de Duccio Tessari est chroniqué sur le site, dans sa nouvelle édition Néo !!!
[...]Six ans avant L’HOMME SANS MEMOIRE, Julien Duvivier traitait d’un même sujet dans DIABOLIQUEMENT VOTRE où Alain Delon donnait la réplique à Senta Berger. [...]
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mouais. Placer le dvd dans une colelction "giallo""est quzand même un peu à la limite du foutage de gueule. D'autant plus qu'il existe des titres largement plus dans le genre que celui-ci.
on se trouve plus dans une intrigue à dominante hitchcockienne qu'autre chose, sur la mode de l'homme se retrouvant mlagré lui dans une situation dangeureuse et mystérieuse.
bien que Tessari tente de faiblement rattacher son film à un filon alors en vogue (et sur la vague du déclin) en Italie.
Si le film est réalisé de manière correcte, la réalsiation est terriblement statique et monotone, (voir les scènes dans Portofino, toujours les mêmes). Et Meranda/Berger ne semblent pas plus concernés que ça. Ca reste planplan et avec un dénouement sanguinolent totalement inutile.
Bofbofbof.
on se trouve plus dans une intrigue à dominante hitchcockienne qu'autre chose, sur la mode de l'homme se retrouvant mlagré lui dans une situation dangeureuse et mystérieuse.
bien que Tessari tente de faiblement rattacher son film à un filon alors en vogue (et sur la vague du déclin) en Italie.
Si le film est réalisé de manière correcte, la réalsiation est terriblement statique et monotone, (voir les scènes dans Portofino, toujours les mêmes). Et Meranda/Berger ne semblent pas plus concernés que ça. Ca reste planplan et avec un dénouement sanguinolent totalement inutile.
Bofbofbof.
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
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tout pareil, j'ai été très surpris aussi que le film soit sortit dans la catégorie giallo, et je me disait que ma déception, à l'époque, était peut-être dû à la mauvaise qualité de la cassette.
Il fait partit de ces films dont le "pitch" me plaisait bien et qui m'ont déçu (comme Diaboliquement Vôtre, effectivement, que Delon avait supprimé de sa filmo).
Il fait partit de ces films dont le "pitch" me plaisait bien et qui m'ont déçu (comme Diaboliquement Vôtre, effectivement, que Delon avait supprimé de sa filmo).
J'ai bien aimé
Le film de Tessari n'est pas un giallo pur et dur mais plutôt un thriller qui reprend certains ingrédients du giallo (récit à énigmes, effets de style, ...). Les meurtres se font plutôt rares jusqu'au déchaînement de violence final. L'intrigue est prenante, la réalisation de Tessari, irréprochable et l'interprétation d'un bon niveau. Du solide donc pour un film qui se suit avec bp de plaisir.

Le film de Tessari n'est pas un giallo pur et dur mais plutôt un thriller qui reprend certains ingrédients du giallo (récit à énigmes, effets de style, ...). Les meurtres se font plutôt rares jusqu'au déchaînement de violence final. L'intrigue est prenante, la réalisation de Tessari, irréprochable et l'interprétation d'un bon niveau. Du solide donc pour un film qui se suit avec bp de plaisir.
Je rejoins tous les avis précédants, ce n'est pas terrible. La faute au réalisateur, Ducio Tessari, qui évite de donner de l'envergure à sa réalisation. Sans être ennuyeux, le récit n'est guère palpitant. Et on aurait bien aimé voir apparaître un tueur psychopathe sadique pour justifier l'estampille Giallo de la jaquette...
L'interview de Luc Mérenda en bonus est hallucinante. Le type est complètement imbu de sa personne!
X
Ma critique complète:
http://www.avoir-alire.com/article.php3?id_article=8322
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A noter que la musique de Gianni Ferrio, qui avait déjà effectué la très belle musique de Une farafalla con le ali insanguinate, sort pour la première fois en CD en Italie (chez digitmovies et à moins de 15€).
[img)http://www.intermezzomedia.com/images/i ... e/4949.JPG[/img]
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Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
Ben moi je l'ai trouvé bien sympathique cet Uomo senza memoria. Certes Tessari et Castaldi prennent un peu leur temps pour nous conter leur histoire, qui n'est d'ailleurs pas follement originale avec son mystérieux bad guy dont on devine assez facilement l'identité (d'autant que celui qui l'interprète est un abonné aux rôles de traitres). Du côté de la réalisation, on est en effet loin de Martino, Argento ou Fulci. C'est très classique, très sage. Mais comme souvent chez ce réalisateur, ça reste aussi très soigné, et dans la forme et dans le contenu, avec des personnages plus travaillés, moins clichés que ceux que l'on rencontre habituellement dans les giallos. Et puis le film se termine en beauté, dans un déchainement de violence que j'ai trouvé remarquablement bien ochestré et prenant.
La musique de Gianni Ferrio est pas mal du tout, avec là encore, après La Morte risale a ieri sera et Tony Arzenta, deux des précédentes collaborations entre le cinéaste et le musicien, une très belle chanson offerte au générique de début. Pas un grand giallo, pas un grand Tessari, juste un bon petit film.
La musique de Gianni Ferrio est pas mal du tout, avec là encore, après La Morte risale a ieri sera et Tony Arzenta, deux des précédentes collaborations entre le cinéaste et le musicien, une très belle chanson offerte au générique de début. Pas un grand giallo, pas un grand Tessari, juste un bon petit film.
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LA TRANCHEUSE INFERNALE
Deux remarques concernant cet intéressant Tessari:
1) il fut exploité en France sous le titre alternatif de LA TRANCHEUSE INFERNALE, nettement plus excitant que le pâlot L'HOMME SANS MEMOIRE qui traduit littéralement le titre original italien.
2) Je me demande si la copie 1.77 ou 1.85 mastérisée sur le DVD Néo Publishing est au format car dans mon souvenir, vu au Brady, le film était en Scope 2.35, et plastiquement doté de couleurs plus vives pour cette raison que le master Néo Publishing, pourtant déjà mignon.
1 remarque additionnelle : bravo au lecteur qui a illustré par une double-capture la similitude du plan de l'avant-bras + main coupés de Senta Berger et de Angie Dickinson ! C'est une preuve de plus de la cinéphilie de Brian de Palma, s'il en était besoin... et de son sens discret de l'emprunt puisque DRESSED TO KILL [Pulsion] est, comme vous le savez tous, postérieur à LA TRANCHEUSE INFERNALE.
1) il fut exploité en France sous le titre alternatif de LA TRANCHEUSE INFERNALE, nettement plus excitant que le pâlot L'HOMME SANS MEMOIRE qui traduit littéralement le titre original italien.
2) Je me demande si la copie 1.77 ou 1.85 mastérisée sur le DVD Néo Publishing est au format car dans mon souvenir, vu au Brady, le film était en Scope 2.35, et plastiquement doté de couleurs plus vives pour cette raison que le master Néo Publishing, pourtant déjà mignon.
1 remarque additionnelle : bravo au lecteur qui a illustré par une double-capture la similitude du plan de l'avant-bras + main coupés de Senta Berger et de Angie Dickinson ! C'est une preuve de plus de la cinéphilie de Brian de Palma, s'il en était besoin... et de son sens discret de l'emprunt puisque DRESSED TO KILL [Pulsion] est, comme vous le savez tous, postérieur à LA TRANCHEUSE INFERNALE.
"Felix qui potuit rerum causas cognoscere"
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Re: LA TRANCHEUSE INFERNALE
Alors en Scope ou pas en Scope cet "Homme sans mémoire"?francis moury a écrit :2) Je me demande si la copie 1.77 ou 1.85 mastérisée sur le DVD Néo Publishing est au format car dans mon souvenir, vu au Brady, le film était en Scope 2.35, et plastiquement doté de couleurs plus vives pour cette raison que le master Néo Publishing, pourtant déjà mignon.