Fruits Basket - Akitaro Daichi - 2001 - Anime (série TV)

[tawhek]

Fruits Basket, ou le bonheur d'être niais.

Tôru est orpheline, elle vit dans le souvenir de sa mère, elle compte quelques amies dans son lycée, travaille pour financer ses études, vit dans une tente qui se trouve sur un petit versant verdoyant proche d'une propriété modeste du clan Soma. Jusqu'au jour où...

Par un heureux hasard, elle va se retrouver accueillie par une partie du clan Sôma, celle qui forme une famille assez spéciale touchée par une malédiction ancestrale qui fait que 12 personnes sont maudites, et se transforment en un animal du zodiaque japonais dès qu'ils rentrent en contact physique avec une personne de l'autre sexe...

L'anime est un pur bonheur de réalisation, les épisodes sont tous extrêment bien réalisés. C'est franchement beau, l'original sound track est magnifique, c'est plein de bons sentiments de bout en bout.

La mangaka qui l'écrit encore au moment où je vous parle, est en train de réaliser sûrement l'oeuvre de sa vie.

Fin, poétique, très drôle, extrêment dépaysant, cet anime a tout pour plaire, si ce n'est le petit coté moralisateur de Torû qui peut choquer le vil occidental qui sommeille en chacun de nous. La fin, très stressante, est finalement un peu décevante (queue de poisson effect). Mais ça n'est pas grave, comparé au bonheur de regarder encore et encore certains épisodes qui vous font passer du rire aux larmes en moins d'une seconde avec une idée de mise en scène par plan au minimum.

Si on aime bien les dessins animés, il faut avoir vu Fruits Basket (une goutte de malédiction, une graine de romance, une larme de tragédie).

[Abalam]

Le principal problème de cette série à mes yeux est d'avoir été réaliser trop tôt alors que le manga n'en était qu'à son 10ème tome. Du coup, je crois me souvenir qu'on ne voit pas les 12 (il reste quelques signes qui resteront inconnu) et j'ai trouvé le final bien baclé(surtout la confronation avec Akito).
Sinon, à part ce point noir j'ai trouvé çà très sympathique avec le côté naïf de l'héroïne bien cruche entourée des 12 tous plus taré les uns que les autres. Mon préféré reste quand même Hatsuharu, le schizo.