Quatre personnes pensant participer à une étude sur l’homme et son environnement sont en fait les cobayes d’expériences illégales visant à mettre au point une machine capable de lire dans les esprits. Ce projet, commandité par le complexe militaro-industriel et soutenu par un sénateur, est supervisé par « le général » qui n’hésite par à prendre le contrôle des expériences sans en avertir les scientifiques. Bientôt, les sujets sont soumis à des stimuli qui vont faire ressurgir des blessures du passé et les conduirent à la folie...
Autant l’avouer tout de suite, je ne suis pas sûr à 100% de l’exactitude du résumé. Je crois que je n’ai pas tout compris au film et pas seulement parce que je l’ai vu en VO. Et je doute que les scénaristes en sachent plus que moi tant l’intrigue est confuse. Ce qui est sûr par contre c’est que je me suis ennuyé ferme à tel point que j’ai usé de l’avance rapide, procédé que je n’avais même pas utilisé pour « Mars needs women » pourtant assez pénible. « The brain machine » connu sous divers titres (entre autres « Mind warp », « the E-box ») est un film lent et bavard, apparemment désireux de faire passer un message. La question est de savoir lequel. Le film, fauché, alterne les même plans tout le long de sa durée : un immeuble, les cobayes humain, une villa avec piscine, des techniciens derrière des pupitres, une mystérieuse personne parlant au téléphone et tente de faire passer une chaise longue pour un appareillage ultrasophistiqué. Ça sent le film vite tourné, improvisé et dont il a bien fallu tirer quelque chose sur la table de montage. Le résultat est fastidieux.
Une affiche complétement mensongére :
