Top a Jean Louis Trintignant ( Cinéma-bis inside ! )

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drummonde
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Top a Jean Louis Trintignant ( Cinéma-bis inside ! )

Message par drummonde »

Et si 8)

Pour ceux qui en doutent , Trintignant a beaucoup participé au cinema dit de genre français , et meme au cinema-bis italien !

Beaucoup de bons films dans le domaine qui nous plait a son actif :D

Je previens j'en zapperait plein ( genre COMPARTIMENT TUEURS de Costa-Gavras )

1967 : UN HOMME A ABATTRE de Philippe Condroyer : assez bon film d'aventures-espionnage dans lequel Trintignant est engagé pour assassiner un tortionnaire nazi refugié dans un pays ... Iberique .

1968 :LA MORT A PONDU UN OEUF de Giulio Questi: giallo italien au titre magnifique que je n'ai helas pas vu mais qui n'est parait-il pas extraordinaire . on raconte qu'il est sorti en video en France en boitier carton chez Video Marketing mais a mon avis ce sont des foutaises .

1968 : LE GRAND SILENCE de Corbucci : western magnifique et quasi-fantastique !

1969 : SI DOUCES SI PERVERSES de Lenzi : Giallo-machination casse couilles parait-il .

1970 : LE VOYOU de Lelouche : Tiens , un bon Lelouch :lol:

1971 : SANS MOBILE APPARENT de Philippe Labro : excellent thriller , un giallo en fait , qui se passe dans les Alpes Maritimes . De toutes façons Labro est un bon .

1972 : LA COURSE DU LIEVRE A TRAVERS LES CHAMPS : Bonne reputation de film de casse mais je l'ai pas encore regardé :oops:

1972 : L'ATTENTAT de Boisset : Tres bon thriller politique du maitre .

1972 : UN HOMME EST MORT de Jacques Deray : superbe polar avec aussi Roy Scheider . Los Angeles a rarement été aussi bien utilisée ! Dispo partout pas cher .

1973 : DEFENSE DE SAVOIR de Nadine Trintignant : un bon polar de memoire , qui se deroule a un moment dans la cité de la Grande Borne de Grigny a peine construite . Dispo en VHS .

1974 : GLISSEMENTS PROGRESSIFS DU PLAISIR de Robbe-Grillet : il joue un petit role de flic mais j'ai pas vu le film , un classique de l'erotique horrifique pourtant :oops:

1974 : LE SECRET de Robert Enrico : Tres tres bon thriller-machination paranoiaque. A voir absolument !! Dispo en VHS .

1975 : L'AGGRESSION : Un des premiers polars français sur la violence urbaine et sur les tueurs psychopathes . Tres efficace. Dispo en VHS ( elle est tres dure a trouver ) .

1975 : FLIC STORY de Jacques Deray : classique du polar avec Delon dans le role du flic et Trintignant dans celui du tueur .

1977 : LES TRAQUES / THE PASSENGERS : Excellent road-movie / Survival avec Trintignant traqué par Bernard Fresson . Une grande reussite , Serge Leroy is god ! Dispo en VHS .

Les années 80 : la decadence du cinema de genre français :

1981 : UN ASSASSIN QUI PASSE de Michel Vianey: histoire de psycho-killer auteurisante et casse bonbons .

1981 : MALEVI de Christian de ChalongeL : bonne reputation mais m'avait ennuyé ce film de SF ( j'aime pas la SF aussi :lol: ) .

Viennent ensuite LA CRIME , LE BOULEVARD DES ASSSINS , LE GRAND PARDON ( que j'aime bien :twisted: ) mais bon on s'en passe aisement .


Comme vous le voyez - Manuma sera d'accord au moins :D - Trintignant a sa place au pantheon des acteurs Bis français ( et quand je dis acteurs bis ca veut pas dire uniquement Michel Vocoret :lol: ) .
Ceci est un P.38, le flingue le moins puissant du monde. Si je te touche avec, c'est même pas dit que je te fasse un troisième téton.
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Manolito
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Message par Manolito »

Immortel (ad vitam) (2004) : il fait la voix d'une personnage, ce dont je n'ai aucun souvenir. Film de SF intéressant bien qu'inabouti ; 6/10
Ceux qui m'aiment prendront le train (1998) : Bof, du cliché et de l'hystérie à la chaîne. Je ne suis pa fan de Chéreau... 5/10
Tykho Moon (1996) : Je ne me rappelais pas qu'il jouait dans ce navet honteux de Bilal... 2/10
Cité des enfants perdus, La (1995) : là encore, un travail de voix pour ce film honnête, ambitieux, qui m'avait quand même un peu déçu à sa sortie. Trop froid ? 6/10
Controverse de Valladolid, La (1992) (TV) Téléfilm de grands luxe à la distribution de très haunt niveau... 8/10

Bunker Palace Hôtel (1989) Trintignant savoureux dans cette réussite de la SF française. Il y tient un rôle d'ordure suave et sophistiqué, registre dans lequel il excelle! 8/10
Bon plaisir, Le (1984) Labro exploite de façon amusante sa ressemblance physique avec Miterrand pour donner corps aux confessions-ragots de la cancanière Françoise Giroud. Amusant, mais pas inoubliable... 6/10
Under Fire (1983) un rôle d'ordure mémorable dans cet excellent film d'aventures politiques... 8/10
Vivement dimanche! (1983) Un petit Truffaut policier qui ne m'a pas laissé de grands souvenirs... 6/10
Nuit de Varennes, La (1982) j'aime bien ce film historique, belle production européenne signée Scola (je crois !). Mais aucun suovenir de lui là-dedans... 8/10
Malevil (1981) Une réussite de la SF à la française, même si la partie le concernant n'est pas ce qu'il y a de mieux dans le film. 7/10
Conformista, Il (1970) Un des tous meilleurs bertolucci, un sommet du cinéma italien de cette époque... 9/10
Così dolce... così perversa (1969) Un thriller pas antipathique, mais assez ramollo. Trintignant y est particulièrement inexpressif... 5/10
Z (1969) Un magnifique rôle de juge pour un excellent thriller politique !9/10
Grande silenzio, Il (1968) Un bon western spaghetti, mais où Trintignant, un peu atone, n'est pas très bon. Kinski le surclasse de loin... 7/10
Morte ha fatto l'uovo, La (1968) un thriller curieux, entre giallo et Antonioni. Beau, mais bon, ça me parle moyen... 6/10
Paris brûle-t-il? (1966) Bon souvenir - loitain quand même - ce cette méga production internationale... 7/10
Merveilleuse Angélique (1965) 5/10, dans le doute, je les mélange tous...
Sorpasso, Il (1962) excellente comédie italienne signée Risi, 9/10
Atlantide, L' (1961) Du bis européen assez mou, mais pas déplaisant, 6/10
Austerlitz (1960) Bon souvenir d'enfance, mais je n'avais aucune souvenir de sa présence... 7/10
Et Dieu... créa la femme (1956) Bardot sauve à peine ce navet totalement daté... 4/10
drummonde
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Message par drummonde »

Je me trompe Manolito ou le polar c'est pas ton truc ? :shock: :D
Ceci est un P.38, le flingue le moins puissant du monde. Si je te touche avec, c'est même pas dit que je te fasse un troisième téton.
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Manolito
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Message par Manolito »

En particulier le polar français, il faut dire... :lol:
drummonde
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Message par drummonde »

Dans LES TRAQUES ca cause rital et y a meme Adolfo Celi :lol:
Ceci est un P.38, le flingue le moins puissant du monde. Si je te touche avec, c'est même pas dit que je te fasse un troisième téton.
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manuma
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Re: Top a Jean Louis Trintignant ( Cinema-bis inside ! )

Message par manuma »

drummonde a écrit :Comme vous le voyez - Manuma sera d'accord au moins :D - Trintignant a sa place au pantheon des acteurs Bis français ( et quand je dis acteurs bis ca veut pas dire uniquement Michel Vocoret :lol: ) .
Ce n'est effectivement pas encore ce soir que l'on se disputera. J'aime beaucoup Trintignant. Je trouve sa carrière vraiment épatante, fascinante même dans sa façon de naviguer entre le pur cinéma de genre, qu'il soit français ou italien, et un cinéma commercial plus classique, plus ... ambitieux (diront ceux qui ne savent pas reconnaitre les belles choses). Dommage que tout ça se soit arrêté au milieu des années 80 (enfin, d'un autre côté, je le vois mal tourner chez Lenzi dans les années 80).

Sans Mobile apparent et Un Homme est mort sont des petits bijoux du polar made in France (même si le second se passe à Los Angeles). Le Voyou est sans doute mon Lelouch préféré - le seul que j'ai vu deux fois en tout cas - Je garde un très bon souvenir de La Course du lièvre ... et du Secret. L'agression et Les traqués sont pas mal du tout. Et, histoire de ne pas toujours être d'accord avec toi, moi j'avais bien aimé Un assassin qui passe, comme d'ailleurs tous les films de Michel Vianey que j'ai vu.
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Message par igorfx »

Ne pas oublier The libertine de Campanile... un très très bon film avec quelques pointes d'érotisme ...

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Machet
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Message par Machet »

vous oubliez aussi Ma nuit chez Maud (1969) d'Eric Rohmer, entre séduction, religion, et pari Pascalien. Richesse d'écriture, mise en scène infaillible, interprétation béton (surtout pour un Rohmer au texte difficile), charme d'antan (période de noël éclairée par Néstor Almendros).

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Il y a un p'tit détail qui me chiffonne
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Message par igorfx »

Machet a écrit :vous oubliez aussi Ma nuit chez Maud (1969) d'Eric Rohmer, entre séduction, religion, et pari Pascalien. Richesse d'écriture, mise en scène infaillible, interprétation béton (surtout pour un Rohmer au texte difficile), charme d'antan (période de noël éclairée par Néstor Almendros).

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mouais, le fil est censé parler de Cinéma bis et non de cinéma d'auteur dont Rohmer est un des spécialistes :roll:
Manolito
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Message par Manolito »

C'est un thread sur la carrière de Trintignant, et devildead n'est pas un forum qui encourange es ostracismes. D'ailleurs, ce n'est pas un forum de cinéma bis... :D
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Message par igorfx »

Manolito a écrit :C'est un thread sur la carrière de Trintignant, et devildead n'est pas un forum qui encourange es ostracismes. D'ailleurs, ce n'est pas un forum de cinéma bis... :D
d'après le sujet du thread, il est censé être consacré à la carrière de Trintignant dans le cinéma bis :wink:
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Message par arioch »

igorfx a écrit :d'après le sujet du thread, il est censé être consacré à la carrière de Trintignant dans le cinéma bis :wink:
Tu as du mal lire ou mal comprendre. C'est ecrit "Bis inside" ce qui signifie que "Toi, l'ami, ne pars pas en courant, Trintignant a aussi fait des films saignants !". Mais cela veux aussi dire que le reste de ses films vont etre, eventuellement, traité !

Bon, moi, j'ai jamais été fan de cet acteur, je m'en vais...
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Message par Superwonderscope »

Trois couleurs - Rouge (1994), de Krzysztof Kieslowski. magnifique, c'est tout. XXX

L'Oeil écarlate (1992), de Dominique Roulet. Série noire un peu molle dans mon souvenir. Je m'apprete cependant à le revoir cette semiane....

Merci la vie (1991), de Bertrand Blier. Non sens historique et politquement incorrect. XXX

Bunker Palace Hotel (1989), de Enki Bilal. SF qui pense sans les moyens de ses ambitions. bof. O

La Vallée fantôme (1987), de Alain Tanner. Mystérieux et parfois trop théorique. Mais un cinéma exigeant, pas pour tous les gouts. XX

Le Moustachu (1987), de Dominique Chaussois. tentative semi-parodique de comédie d'espionnage. Raté mais avec des moments assez droles (la scène des toilettes d'autoroute avec Grace de capitani). O

L'Eté prochain (1985), de Nadine Trintignant. Quelques beaux dialogues entre Cardinale et Noiret. un portrait de groupe attendrissant. XX

Under Fire (1984), de Roger Spottiswoode.Convenu et mollasson. O

Femmes de personne (1984), de Christopher Frank. Un des meilleurs films français grand public des années 80. Constat amer et portraits brillants de femmes libres mais à la dérive.

Rendez-vous (1984), de André Téchiné. film choc à l'époque, terriblement daté aujourd'hui. techiné un peu sur les traces de Zulawski. bancal. X

Le Bon Plaisir (1983), de Francis Girod. Gros succès à l'époque. En le revoyant aujourd'hui, on se demande encore pourquoi. Mou. O

Vivement dimanche ! (1983), de François Truffaut. Excellente série noire de Truffaut. Le couple Ardant/Trintignant fait des étincelles "et tutti quanti!" XXX

Le Grand pardon (1982), de Alexandre Arcady. Bof. a très mal vieilli. O

La Nuit de Varennes (1982), de Ettore Scola. Scola en très grande forme evite le piège de la reconstitution historique plan plan. JOue la carte de l'ironie et de la comédie de moeurs subtile. XXX

Boulevard des assassins (1982), de Boramy Tioulong. Un telefilm sur grand écran. sans intéret et mou. O

Eaux profondes (1981), de Michel Deville. Perverse Isabelle. Deville tordu mais Highsmith beaucoup mieux. X

Une affaire d'hommes (1981), de Nicolas Ribowski. thriller jus de couille fianncier à la française des 80's. Chiant. O

Malevil (1981), de Christian de Chalonge. SF à la française. donc pétrie de psychologisme bavard. X

Un Assassin qui passe (1981), de Michel Vianey. Vianey, sec comme un coup de trique; mais au scénario qui ne surprend pas vraiment. X

Passion d'amour (1981), de Ettore Scola. Magnifique. valeria d'Obici est saisissante. XXX

Je vous aime (1980), de Claude Berri. Liberté féminine selon Berri. Pouah. O

La Banquière (1980), de Francis Girod. Schneider épatante mais un film médiocre. X

La Terrasse (1980), de Ettore Scola. Un petit chef d'eouvre choral tendre et mordant. XXX

L'Argent des autres (1978), de Christian de Chalonge. XX

Repérages (1977), de Michel Soutter. Très beau film , avec un trio de comédiennes (Mairesse/Massari/Seyrig) face à un réalisateur manipulateur et séducteur. XXX

L'Ordinateur des pompes funèbres (1976), de Gérard Pirès. Idée amusante, traitement peu professionnel. O

Le Desert des Tartares (1976), de Valerio Zurlini. Beau roman, mais un film d'un ennui poli, même si très elegamment tourné. X

La Femme du dimanche (1975), de Luigi Comencini. Tentative intéressante de Comencini pur le thriller domestique, focalisant plus sur es persoannges que sur l'intrigue. XX

Défense de savoir (1973), de Nadine Trintignant. Affreux. le film a terriblement mal vieilli. Lourd, pénible et qui ressemble en beaucoup moins bien aux thrillers politiques français des 70's.

Les Violons du bal (1973), de Michel Drach. Drach, toujours à fleur de peau sans sentimentalisme. XX

Le Train (1973), de Pierre Granier-Deferre. Trs émouvant. Même après plusieurs visions. XX

L'Attentat (1972), de Yves Boisset. XX

Une Journée bien remplie (1972), de Jean-Louis Trintignant XX

Le Conformiste (1971), de Bernardo Bertolucci. XX

Sans mobile apparent (1971), de Philippe Labro. tentative françasie de coller au train du suspens simili-transalpin. Et puis bon , Labro est ax mains d'une caméra qu'il oprend pour un bulldozer alors qu'il joue avec Ken & Barbie. O


Le Voyou (1970), de Claude Lelouch. je n'aime pas du tout. Tape à l'oeil et creux. O

Z (1969), de Costa-Gavras. X

Si douces, si perverses (1969), de Umberto Lenzi. je l'aime bien ce sexy-giallo. Pas à la hauteur de Paranoia, mais une certaine élégance dans la mise ens cène. les décors, les costumes...tout concourt àune certaine idée fausse de la bourgeoisie d'alors. Baker est magnifique, Erika Blanc aussi. Joli techniscope, musique entrainante. J'aime! XX
r
Metti una sera a cena (1969), de Giuseppe Patroni-Griffi. jamais vu mais je reve de le voir.

Les Biches (1968), de Claude Chabrol. Chabrol à St Tropez s'emmele les pinceaux dans un film bavard et pseudo branché. Conte moral à la mord-moi le noeud. O


Le Grand Silence (1968), de Sergio Corbucci. Un de mes westerns préférés (peut etre parce qu'il ne s'agit pas vraiment d'un?). Trintignant tout en finesse et en regard. Atmosphère lugubre et étrangement calme d'où surgissent des éclairs de violence. XXX

La Mort a pondu un oeuf (1968), de Giulio Questi. Les pre, d'une touche de culture pop et de surréalisme. XXX

Paris brûle-t-il ? (1966), de René Clément. superproduction internationale ciomme il s'en faisiat beaucoup à l'époque. celle-ci n'est pas la meilleure, mais une certaine ampleur permet d'oublier les semblants de personnages X


Compartiment tueurs (1965), de Costa-Gavras. Curieusement c'est un fikm qui ne me passionne guère...ca manque de rtythme. X

Un Château en Suède (1963), de Roger Vadim. aucun souvenir si ce n'est celui de m'etre ennuyé. vadim, pas mon truc.

Le Fanfaron (1962), de Dino Risi. Un conte très cruel avec Gassman en pleine forme et un trintignant parfait. Il FAUT voir ce film! XXX

Pleins Feux sur l'assassin (1961), de Georges Franju. excellent suspense de Franju. En deça des Yeux sans visage et Franju, mais un divertissement agréable avec le monde du spectacle comme arriere plan. XX
Les Liaisons dangereuses (1959), de Roger VadimTrintignant est Danceny dans cette adaptation élégante mais datée. X
Un été violent (1959), de Valerio Zurlini une perle de Zurlini. XX
et Dieu créa la femme (1956), de Roger Vadim soporifique. O
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
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