L'exception qui confirme la régle !

[Dragonball]

Certains réalisateurs, comme certains acteurs, réservent parfois au cours de leur carrière d'étranges surprises, bonnes ou mauvaises.
Ainis, le vilain petit canard se fait parfois, l'espace d'un unique film, cygne magnifique, tout comme celui ci, un jour peu insipré, se mue un jour en volatile ridicule, avant de retrouver heureusement bientôt tout son talent.

Il doit y avoir de nombreux exemples, mais ..... je n'en ai aucun en tête pour l'instant !

[The Regulator]

comme ça à brûle-pourpoint je dirais L'échelle de Jacob d'Adrian Lyne.

[Shinji]

L.A. Confidential de Curtis Hanson

C'est très bien de faire de la pub pour Noise ! (Versus power)

[CHIEN_FOU]

Christophe Lambert dans Nirvana.

Lâchez-vous les gars

[Jean Seby]

Je vais me faire tuer par le Schlock en chef mais bon: Bob Clark.

Trois films influentiels: Children shouldn't play with dead things, Le mort-vivant et Black christmas.

On peut encore discuter avec Porky's mais bon ses Baby Geniuses ou Karate dog, aaaaaaargh!!!

[Dragonball]

Dans le genre, je citerai Coluche, excellent acteur comique, mais aussi admirable dans un role dramatique (Tchao Pantin), qui lui donna d'ailleurs un César !), Coluche qui renouvelera l'expérience dans "Le fou de guerre", par ailleurs avec brio, mais dans un role cette fois ci assez secondaire.

[Fatalis rex]

Ben Affleck dans [tapez ici votre film préféré avec Ben Affleck]

[Jarlow]

Russell Mulcahy avec Razorback ( meme si Highlander etait un reve de videoclub quand j'etais gosse, mais franchement, c'est tres tres naze à la revoyure, le recit est plat comme c'est pas permis, les personnages plus vides que dans la plus bateau des bds d'heroic fantasy au rabais, et la mise en scene est juste correcte ).
Robert Harmon avec Hitcher (j'ai pas vu Highwaymen mais des machins comme Cavale sans Issue ou Le peuple des tenebres ne meritent pas vraiment l'appelation de film, c'est vide comme c'est pas permis).
C'est les deux premiers qui me viennent à l'esprit, mais il doit vraiment y en avoir des dizaines d'autres tout aussi evidents.[/b]

[trepanator]

Guy Ritchie avec Snatch, son unique bon film ! Danny Boyle avec Trainspotting, le seul qui met (presque) tout le monde d'accord pour dire que c'est un putain de chef d'oeuvre, le reste de sa filmo divise et ne met jamais personne d'accord. dans un registre plus modeste, on peut citer Lamberto Bava qui n'a fait que deux bons films : Demons 1 & 2 !

[Jarlow]

Sinon pour moi il y a Brian Yuzna avec Society, qui est tres nettement au dessus du reste de sa filmographie, au mieux agreable, toujours plutot simplette, tandis que Society est un putain de chef d'oeuvre de paranoia adolescente, de sexe grotesque, de chair et de sitcom distordue.

[speedball]

Tarantino avec Reservoir dogs & Pulp Fiction... après ça il aurait du arreter de faire des films....

[manuma]

Pas évident de trouver de parfaits exemples de mauvais réalisateurs ayant été subitement touché par la grâce parce que ça reste une question de goûts et de couleurs. Et puis il y a beaucoup de réalisateurs qui vivent dans l'ombre d'1 film d'exception, comme effectivement Robert Harmon, Adrian Lyne ou Bob Clark, mais sans pour autant avoir à côté une carrière complêtement à chier. C'est par exemple le cas de Jack Sholder (The Hidden), Roger Spottiswoode (Under Fire), Philip Noyce (Dead calm, The Quiet american) ou encore James Foley (Comme un chien enragé).

Pour les exemples contraires, et même si cela reste aussi fortement subjectif, je citerai bien Cimino et son Sicilien, Coppola avec Jack ou encore Altman et Prêt-à-porter.

[tomfincher]

Joël Schumacher et Tigerland (voire Phone Game).

[Superfly]

Kubrick avec Orange mécanique et Shining...

[Jérôme]

Ivan Reitman avec Dave / président d'un jour, son seul film à l'humour subtil