Si l'intrigue très rape and revenge d'Albino est assez classique, sont cadre, lui, est plutôt orginal et nous permet de découvrir des paysages africains (Plaines, montagnes) magnifiques. Le film baigne dans un climat assez étrange, à la limite du fantastique, ne serait ce que par le look franchement inquiétant de l'Albinos. Si la réalisation manque parfois un peu de rigueur (En même tant c'est tourné par un mec qui a aussi réalisé des épisodes de l'inspecteur Derrick !Dans l'afrique du sud paradisiaque des années 70, un groupe de terroristes africains sanguinaires vient troubler la tranquillité d'une des sympathiques colons du coin. Leur chef, un géant Albinos, viole la futur de Terrick, un jeune policier. Celui si se lance alors à sa poursuite, en compagnie de son fidel domestique.


Christopher Lee, ici dans un second role, est de plus comme toujours impériale.
Après, difficile de faire abstraction de l'idéologie surnoisement distillée tout au long du film, mélange de paternalisme typiquement colonial (De racisme quoi !

Le film, qui a notament été financé par l'afrique du Sud et la Rhodésie, nous montre ainsi des blancs bon tient et des noirs dociles s'unir pour venir à bout d'une bandes revolutionaires noirs évidement ici campée par des terroristes bestiaux aussi dangeureux pour les blancs que pour les noirs.
Bref, Jürgen Goslar, au cours de son film, via de petites phrases bien senties, tente régulièrement de nous faire gober la vision d'une afrique du Sud ou blancs et noirs vivraient harmonieusement (Mise à par quelques petites spécificités comme .... l'Apartheid !

Dispo chez Bach films dans une copie recadré bien moche mais néamoins supportable !
