.. Prudence donc... 
Eric vous avait promis un beau cadeau de Noel.. Le voici, le cinéma tel qu'Eric le concoit!
Dans les 70s le X s'est souvent marié à d'autres genres notamment le fantastique ou l'horreur.
Il en va ainsi d'un des plus fameux porn-horror d'alors trainant derrière lui également une des plus sulfureuses réputations: Water power.
Bien des maniac a vu défiler le cinéma, de Norman Bates à Joseph Zito entre autres et c'est de ce dernier que Burt, le héros, se rapproche le plus.
Water power cest une descente aux Enfers dans un New York glauque et ses bas fonds qui rapelle celui de Maniac. Même crasse urbaine, même ambiance étouffante de misère délabrée et de sexe facile, même petite chambre-taudit où Burt passe son temps à observer sa voisine au periscope. Il la veut, elle se refuse.
Ce sont ses sex shops sordides et ses peeping Tom de l'impossible dans lesquels il traine jusqu'au jour où lors d'une representation il assiste à un stupéfiant lavement.
C'est alors le déclic infernal, l'obsession, laver, nettoyer, purifier toutes ces femmes indignes. Il se transforme alors en justicier bourreau violeur et laveur, redempteur intestinal, armé de sa panoplie.
La femme n'est qu'une souillon, un corps sale et abject, une putain à punir et purifier
, à commencer par ses entrailles foyer de tous les vices.Le rituel peut alors commencer et à la manière de Zito, il arpente la nuit les rues de New York, accumulant les victimes, toujours selon le même procédé.
Ce sera d'abord sa voisine puis deux soeurs incestueuses, une fliquette en mission..
Il viole, humilie et lave la pecheresse. Damiano n'y va pas de main morte, n'éludant aucun détail même les plus immondes et répugnants soient ils, battant des records dans l'abjecte.
En ce sens les scénes de lavement laisseront pantois si elles ne font pas tout bonnement quitter la salle aux plus sensibles, au bord de la nausée.
Les tuyaux s'enfoncent en gros plan dans les anus lubrifiés que filme dans leur plus anatomique détail la caméra
, les poires pénetrent les orifices dans leurs plus chirurgicaux détails avant que l'eau purificatrice ne s'écoule par flots, se melant au sperme de Burt, prenant son plaisir, avant que les intestins ne rejettent tout leur contenu, stupefiante ejection dont Burt se delecte... ... jusqu'à cette hallucinante séquence, s'inscrivant dans la lignée des plus nauséeuses jamais tournées:
les deux soeurs incestueuses sous l'effet du lavement ejectent une immonde diarrhée, expulsée tel un jet sous pression de leur anus
OUIIIIIIIII, les aspergeant respectivement, la baignoire dans laquelle elles sont retenues prisonnières s'emplissant de leurs excrements dans lesquelles elles pataugent, hurlantes, suppliantes alors que Burt se masturbe face à cet excrementiel spectacle. HALLUCINANT! Toutes les scénes de lavement ayant été tournées sans trucage aucun, le spectacle prend alors une toute autre dimension.
A ses scénes s'ajoute toute une atmosphère morbide, sorte de folie palpable, véritable tourbillon de l'impensable accentué par la voix off de Burt contant ses exploits, psalmodiant ses obsessions le tout renforcé par une BO tout aussi obsédante et synthétique.
C'est la brutalité des assauts également, les viols
précedant chaque lavement sous des flots d'insultes, la femme est une bête et en bête elle sera prise dans les positions les plus humiliantes le plus souvent dans un WC, symbole du déchet qu'elle est, une petite fessée pour la dompter .. Ce sont les cris et les supplications, la honte du lavement et de ses dejections maculant les chairs.On n'oublie pas qu'on est dans un X et l'amateur aura son lot de fellations et de penetrations ainsi que d'ejaculations, le plus souvent fessières afin que la semence se mele à la merde.
Desespéré, glauque, nihiliste, Water power se terminera de façon tout aussi amorale
, rien n'arrête le mal, encore moins la purification pas même la police.. et le maniaque au clystère continuera ses exploits, son visage se fixant sur l'image tel un démon rougeoyant tandis que les journaux n'en finissent plus d'étaler le nombre de ses victimes.Film mythique tiré d'une histoire vraie nous dit on
, Water power est bien plus qu'un simple film X horrifique, c'est avant tout une étude trés clinique dont l'Amerique est si friande. Qu'il s'apelle Zito, Bates.. ce nouveau maniac à la poire n'est jamais qu'un de ses nombreux prédicateurs fous déchirés entre le puritanisme et la permissivité et l'opulence d'une Amérique nocturne dans lesquels errent le long des rues sordides gourous, precheurs et autres justiciers du Bronx.
Water power ne triche pas tout comme Damiano ne triche ni avec ses acteurs ni avec son public. Il décrit avec minutie cette descente dans les enfers interdits et abjects des plaisirs les plus pervers et noirs
où tous les détails de ces lavements-exorcismes nous sont assénés sans ménagement aucun alors que l'eau coule en rivière, que ce soit des robinets, des tuyaux ou des anus dilatés. Inoubliable en inquietant Satan dans Through the looking glass où l'heroine finissait par se noyer dans une mer de sperme, de merde et de boue
lors d'un final dantesque, le pornophile Jamie Gillis et son inoubliable sexe, magnifique, bandé, violacé de désir, phallus turgescent et conquerant qui fera le régal de tous les polissons, prete son inquietante stature au personnage de ce psychopathe adepte de la poire, frenetique, résigné, sale et transpirant, récitant de manière obsedante: la femme est sale, la femme est une bête, une truie, elle doit être purifiée, purifiée, purifiée... En ce sens, mieux vaut voir la VO que la ridicule version française, on s'en doute!
Autour du sombre Jamie qui enchantera comme Eric les hommes qui aiment les hommes
, tout un pannel de putains joyeuses et incandescentes, d'une vulgarité nauséeuse telles qu'on les adore, toutes plus débauchées les unes que les autres, étalant sans honte leur anus, vidant leurs intestins devant la caméra sous l'effet de l'eau exorciste. Années 70 obligeant, femmes à poils de rigueur.. d'où ce cunnilingus fort velu entre les deux soeurs incestueuses! Eric vous dit tout demain sur ces catins diarrheiques, le beau Jamie, la sortie salle et comment voir ce chef d'oeuvre..
Des litres d'excrements liquefiés et de dejections intestinales, du sperme, de magnifiques viols et de superbes sexes, ideal pour un reveillon de Noel entre le chapon farci et la buche.. Un régal tel qu'eric les idolatre!
Joyeux Noel.. et Dans sa besace, Eric a encore pire.. Ce sera pour prochainement!
Le corbeau qui adore laver les fesses de ses amants!
