Ce film d'aventures fantastiques thailandais sort directement en dvd chez opening le 21 mai 2008 dans nos contrées. Plus d'infos chez dvdfr :
http://www.dvdfr.com/dvd/f36731_legend_ ... akorn.html
Legend of Sudsakorn - 2006 - Kaisorn Buranasing
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
-
savoy1
- Messages : 1071
- Enregistré le : mar. mai 31, 2005 4:57 pm
- Localisation : pas à Paris, mais pas loin
Re: Legend of Sudsakorn - 2006 - Kaisorn Buranasing
Un bestiaire fantastique assez foisonnant : sirène, cheval-dragon, ectoplasmes squelettiques agressifs, femmes-papillons aux dents acérées ... Des personnages pittoresques dont un ermite noueux chauve et barbu particulièrement retors et un méchant ricanant à la moindre occasion. Des héros en veux-tu en voilà, on peut d'ailleurs penser qu'ils doivent être bien connus par chez eux, certains étant présentés de façon abrupte dans des poses iconiques. Tout est donc assuré pour un spectacle exotique et dépaysant.
Les très nombreux CGI, parfois naïfs, procurent quelques fois une allure saccadée aux créatures, nous ramenant paradoxalement au bon vieux temps de Ray Harryhausen. Ces aventures parsemées de nombreuses étapes nous amènent donc des réminiscences des voyages de Sinbad ou Jason. Le genre de film qui ne peut que donner goût au fantastique à un jeune public encore vierge de tout à-priori.
Reste qu'une fois les 85 minutes écoulées, on ne peut que s'exclamer "quoi ? c'est déjà fini ?", tant tout ça passe très vite sans vraiment d'approfondissement. Mais n'était-ce pas, là aussi, le propre d'un certain cinoche de dépaysement des 50's ? Comme quoi, d'une époque à l'autre, d'un continent à un autre, certaines figures perdurent pour le plaisir simple de l'amateur de fantasy.
Les très nombreux CGI, parfois naïfs, procurent quelques fois une allure saccadée aux créatures, nous ramenant paradoxalement au bon vieux temps de Ray Harryhausen. Ces aventures parsemées de nombreuses étapes nous amènent donc des réminiscences des voyages de Sinbad ou Jason. Le genre de film qui ne peut que donner goût au fantastique à un jeune public encore vierge de tout à-priori.
Reste qu'une fois les 85 minutes écoulées, on ne peut que s'exclamer "quoi ? c'est déjà fini ?", tant tout ça passe très vite sans vraiment d'approfondissement. Mais n'était-ce pas, là aussi, le propre d'un certain cinoche de dépaysement des 50's ? Comme quoi, d'une époque à l'autre, d'un continent à un autre, certaines figures perdurent pour le plaisir simple de l'amateur de fantasy.