R.I.P : Joseph Pevney

Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team

Répondre
Superwonderscope
DeVilDead Team
Messages : 21500
Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 9:09 am
Localisation : Pyun City

R.I.P : Joseph Pevney

Message par Superwonderscope »

Décès le 18 mai dernier de ce réalisateur assez peu connu du grand public.

Cantonné dans les séries B et vers la fin de sa carrière, comme beaucoup de sa génération, à des réal TV, il possède àson actif quelques films intéressants :

L'homme aux Mille visages qui resort donc en DVD Z1 chez Universal

The Crowded Sky (1960), ancêtre 60's de 747 En peril avec Dana Andrews ou un jet et un avion de ligne sont au bord de se percuter en plein ciel (et un final avec une jolie maquettepour l'atterrissage en catastrophe)

Twilight of Gods (1958) un drame avec Rock Hudson et Cyd Charisse, film cuieusement tombé dans l'oubli.

Foxfire (1955) un excellent western avec Jane Russell et jeff Chandler dans le role d'un metisse apache.

Je n'ai jamais vu son destination Space, dont il realisa le pilote pour la TV américaine. la série ne se fit finalement pas.

Après un biopic d'un gangster dont le nom m'échappe ( Portrat of A mobster en 1961 avec Vic Morrow), il ne réalisa qu'un seul film cinéma, Night of The grizzly en 1966 avec Clint Walker et Martha Hyer, pour ne faire que de la télé jusqu'en 1985.

So long, Joseph :wink:
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
manuma
Messages : 3001
Enregistré le : dim. mai 08, 2005 9:44 am
Contact :

Re: R.I.P : Joseph Pevney

Message par manuma »

Je n'ai vu qu'un seul film du bonhomme : Cash McCall avec James Garner et Natalie Wood. Une histoire d'homme d'affaires aux dents longues qui réapprend les vraies valeurs de la vie, à la Regarding Henry. Petit film à l'indéniable charme rétro.

... et puis j'étais tombé un soir assez tard sur son Congo crossing à la télé. Je n'avais vu que quelques minutes du film, mais ça m'avait eu l'air rudement sympa, avec un Peter Lorre bien marrant dedans.
Répondre