Top à ... Sergio Martino
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
Top à ... Sergio Martino
Sergio Martino, tout le monde connait ici. Je zappe donc les présentations pour en venir directement à mon top du bonhomme :
Mille peccati... nessuna virtù (1969) : Pas vu.
America un giorno (1970) : Pas vu.
America così nuda, così violenta (1970) : Pas vu.
Arizona si scatenò... e li fece fuori tutti – Arizona se déchaîne (1970) : Pas vu.
Lo Strano vizio della Signora Wardh – L’Etrange vice de Mme Wardh (1971) : 9/10. Giallo de haute volée. Une intrigue futée qui tient en haleine jusqu’au bout, un beau casting bis (Fenech, Hilton, Rassimov, De Mendoza) et une réalisation pleine d’idées visuelles plus que sympas.
La Coda dello scorpione – La queue du scorpion (1971) : 9/10. Encore du très bon boulot. Suspense remarquablement bien mené et mise en scène visuellement très travaillée. Un autre modèle du genre.
Tutti i colori del buio – L’Alliance invisible (1972) : 8/10. Un cran en dessous des 2 précédents opus giallesques de Martino, en raison d’un scénario un peu moins bien troussé et d’un rythme un peu plus lâche. Mais dans la forme, ça reste un spectacle très excitant.
Il Tuo vizio è una stanza chiusa e solo io ne ho la chiave (1972) : Pas vu.
Giovannona coscialunga, disonorata con onore – Mademoiselle Cuisses longues (1973) : 6/10. Farce sexuelle d’une inattendue acidité. Vulgarité assumée et misérabilisme cohabitent joyeusement.
Milano trema - la polizia vuole giustizia – Rue de la violence (1973) : 7/10. Solide poliziesco, un peu plus fin que la moyenne dans son discours sécuritaire. Le casting assure grave, tout comme le thème musical des frangins De Angelis.
I Corpi presentano tracce di violenza carnale (1973) : 9,5/10. Là on frôle le sans faute. Un suspense d’une intensité incroyable, quelques séquences visuellement splendides, une bande-son percutante, et un casting bis qui sort de l’ordinaire. Incontournable.
La Bellissima estate (1974) : Pas vu.
Cugini carnali (1974) : Pas vu.
La Polizia accusa: il servizio segreto uccide (1975) : 6/10. Poliziesco plus ouvertement politique encore que Milano trema. La réalisation est un peu terne pour un Martino première période, mais l’interprétation est solide et le mélange action bis / film à thème plutôt convaincant.
La Città gioca d'azzardo – Parfum du diable (1975) : Pas vu.
Morte sospetta di una minorenne (1975) : 7/10. Giallo tirant vers le polar traditionnel. Les quelques virages comiques de l’intrigue ne sont pas très heureux mais pour le reste c’est du très bon cinéma d’exploitation, avec un Martino en top forme à la réalisation.
Spogliamoci così senza pudor (1976) : 5/10. Sexy comédie composée de 4 sketchs inégalement sexys et drôles. Une distribution sympa (Aldo Maccione, Johnny Dorelli, Enrico Montesano, Barbara Bouchet, Ursula Andress et Nadia Cassini) même si moins emballante que celle de 40 gradi all'ombra del lenzuolo et quelques bons gros gags ici et là. Mais l’ensemble manque d’acidité et demeure globalement en deca des précédents efforts du cinéaste dans le domaine de la comédie.
40 gradi all'ombra del lenzuolo – Sexycon (1976) : 6/10. Autre Sexy-comédie à sketchs. A voir ne serait-ce que pour son éblouissant casting féminin et les prestations de Tomas Milian et Marty Feldman.
Mannaja – Mannaya, l’homme à la hache (1977) : Pas vu.
La Montagna del dio cannibale – La Montagne du dieu cannibale (1978) : 8/10. Combinaison roublarde et réussie d’aventures exotiques, de cannibale flick et d’érotisme qui m’avait enchanté gamin. Pendant longtemps mon Martino préféré …
Sabato, domenica e venerdì (1979) (sketch "Sabato") : 6/10. En deça du sketch de Festa-Campanile mais supérieur à celui de Pipolo & Castellano. Pas bien fin, un peu douteux même dans sa vision satirique du Japon et de sa culture, mais rien que pour Fenech en japonaise ça mérite le coup d’oeil.
L’Isola degli uomini pesce – Le Continent des hommes poissons (1979) : 7/10. Chouette mélange d’aventures et de fantastique façon Jules Verne, aux maquillages et effets visuels old schoold qui élèvent l’ensemble au delà de la simple petite bande d’exploitation.
Il Fiume del grande caimano – Alligator (1979) : 7/10. Troisième volet de la trilogie exotico-mondo de Martino. Le plus inégal du lot. C’est bêta, ça trainasse un peu (surtout au début) mais le final – une longue scène de carnage – conclut l’affaire de façon plus que satisfaisante. Belle distribution bis aussi.
Zucchero, miele e peperoncino (1980) : Pas vu.
La Moglie in vacanza... l'amante in città – Les Zizis baladeurs (1980) : Pas vu.
Spaghetti a mezzanotte (1981) : Pas vu.
Cornetti alla crema (1981) : Pas vu.
Assassinio al cimitero etrusco – Crime au cimetière étrusque (1982) : 3/10. Grosse grosse déception que ce giallo fin de vague confus, bavard et, à une ou deux séquences près, platement réalisé.
Ricchi, ricchissimi... praticamente in mutande (1982) : Pas vu.
Occhio, malocchio, prezzemolo e finocchio (1983) : Pas vu.
Se tutto va bene siamo rovinati (1983) : Pas vu.
Acapulco, prima spiaggia... a sinistra (1983) : Pas vu.
2019 - Dopo la caduta di New York – 2019, après la chute de New-York (1983) : 6/10. Du bis post-apocalyptique certes naïf et limite Z, mais d’une grande générosité, avec de l’action non-stop, des dialogues fendards et une belle variété de décors pseudo-futuristes en ruines. Le meilleur des ersatz italiens de Mad Max / Escape from New-York.
L’Allenatore nel pallone (1984) : Pas vu.
Mezzo destro, mezzo sinistro (1985) : Pas vu.
Doppio misto (1986) (TV) : Pas vu.
Ferragosto O.K. (1986) (TV) : Pas vu.
Vendetta dal futuro – Atomic Cyborg (1986) : 5/10. De la sueur, du muscle et un beau casting bis au programme de ce décalque italien de Terminator plutôt bien mené. Pas un classique, mais pour un film de genre italien du milieu des années 80 je trouve que ça se tient plutôt bien.
Provare per credere (1987) (TV) : Pas vu.
Un’ Australiana a Roma - Une Australienne à Rome (1987) (TV) : 1/10. Nicole Kidman dans une production Rai / Antenne 2 signée Sergio Martino, ça ne se refuse pas … mais faut en vouloir quand même car la chose en question – une comédie sentimentale pour ados – est d’une niaiserie abyssale.
Qualcuno pagherà ? (1987) : 2/10. Minable copie de Rocky. Perdus dans un océan de clichés, Borgnine et Giuliano Gemma tentent d’assurer le spectacle … sans vraiment y arriver.
La Famiglia Brandacci (1987) (TV) : Pas vu.
Casablanca Express (1989) : 6/10. Regain de forme éclair pour Martino qui signe là une solide série B exotico-guerrière punchy et agréablement naïve, comme le cinéma de genre italien ne nous en avait plus servi depuis l’incontournable diptyque lenzien La Grande Bataille / De l’enfer à la victoire.
Mal d'Africa (1990) : Pas vu.
Sulle tracce del condor (1990) : Pas vu.
American risciò – American Rickshaw (1990) : 3/10. Le dernier trip américain de Martino (filmé en Floride, comme Qualcuno pagherà ? et beaucoup de bis italiens de l’époque). Un curieux mélange de polar, de film de coups de savate et de fantastique malheureusement plutôt repoussant dans la forme. Le jeu nonchalant de Daniel Greene et Donald Pleasence apporte un brin de recul à cette aventure puérile.
Un Orso chiamato Arturo (1992) (TV) : 0/10. Embarrassante – et vaguement sexy - comédie d’espionnage. Martino touche à nouveau le fond ici.
Spiando Marina (1992) : 5/10. Sans aller jusqu’à parler de réussite, disons que c’est peut-être le film le plus correct de Martino sur la période. On sent au moins un effort d’accompli sur l’intrigue et l’atmosphère, avec notamment la ville de Buenos Aires bien mise en valeur. Martino s’avère en outre plutôt inspiré sur les nombreuses séquences érotiques du film. Bon évidemment, de leur côté quand on repense à celles de Morte sospetta di una minorenne, les rares séquences d’action font franchement pitié. Et puis l’acteur principal est totalement dépourvu de charisme. Mais dans l’ensemble ça reste un petit bis soigné plutôt regardable..
Delitti privati (1993) (TV) : Pas vu.
Graffiante desiderio – Désir meurtrier (1993) : 4/10. Martino débauche un vague sosie d’Ornella Muti et nous fait son Fatal Attraction / Basic instinct à lui. Nul, laid, mais au moins on ne s’emmerde pas trop. Et puis dans le même genre c’est pas pire qu'Elles n’oublient jamais.
La Regina degli uomini pesce (1995) (TV) : Pas vu.
Mamma per caso (1997) (TV) : Pas vu.
Padre papà (1998) (TV) : Pas vu.
Cornetti al miele (1999) (TV) : Pas vu.
Mozart è un assassino (1999) : Pas vu.
A due passi dal cielo (1999) (TV) : Pas vu.
L’Ultimo sogno (2000) (TV) : Pas vu.
L’Ultimo rigore (2002) (TV) : Pas vu.
Una Donna scomoda (2004) (TV) : Pas vu.
L’Allenatore nel pallone 2 (2008) : Pas vu.
Mille peccati... nessuna virtù (1969) : Pas vu.
America un giorno (1970) : Pas vu.
America così nuda, così violenta (1970) : Pas vu.
Arizona si scatenò... e li fece fuori tutti – Arizona se déchaîne (1970) : Pas vu.
Lo Strano vizio della Signora Wardh – L’Etrange vice de Mme Wardh (1971) : 9/10. Giallo de haute volée. Une intrigue futée qui tient en haleine jusqu’au bout, un beau casting bis (Fenech, Hilton, Rassimov, De Mendoza) et une réalisation pleine d’idées visuelles plus que sympas.
La Coda dello scorpione – La queue du scorpion (1971) : 9/10. Encore du très bon boulot. Suspense remarquablement bien mené et mise en scène visuellement très travaillée. Un autre modèle du genre.
Tutti i colori del buio – L’Alliance invisible (1972) : 8/10. Un cran en dessous des 2 précédents opus giallesques de Martino, en raison d’un scénario un peu moins bien troussé et d’un rythme un peu plus lâche. Mais dans la forme, ça reste un spectacle très excitant.
Il Tuo vizio è una stanza chiusa e solo io ne ho la chiave (1972) : Pas vu.
Giovannona coscialunga, disonorata con onore – Mademoiselle Cuisses longues (1973) : 6/10. Farce sexuelle d’une inattendue acidité. Vulgarité assumée et misérabilisme cohabitent joyeusement.
Milano trema - la polizia vuole giustizia – Rue de la violence (1973) : 7/10. Solide poliziesco, un peu plus fin que la moyenne dans son discours sécuritaire. Le casting assure grave, tout comme le thème musical des frangins De Angelis.
I Corpi presentano tracce di violenza carnale (1973) : 9,5/10. Là on frôle le sans faute. Un suspense d’une intensité incroyable, quelques séquences visuellement splendides, une bande-son percutante, et un casting bis qui sort de l’ordinaire. Incontournable.
La Bellissima estate (1974) : Pas vu.
Cugini carnali (1974) : Pas vu.
La Polizia accusa: il servizio segreto uccide (1975) : 6/10. Poliziesco plus ouvertement politique encore que Milano trema. La réalisation est un peu terne pour un Martino première période, mais l’interprétation est solide et le mélange action bis / film à thème plutôt convaincant.
La Città gioca d'azzardo – Parfum du diable (1975) : Pas vu.
Morte sospetta di una minorenne (1975) : 7/10. Giallo tirant vers le polar traditionnel. Les quelques virages comiques de l’intrigue ne sont pas très heureux mais pour le reste c’est du très bon cinéma d’exploitation, avec un Martino en top forme à la réalisation.
Spogliamoci così senza pudor (1976) : 5/10. Sexy comédie composée de 4 sketchs inégalement sexys et drôles. Une distribution sympa (Aldo Maccione, Johnny Dorelli, Enrico Montesano, Barbara Bouchet, Ursula Andress et Nadia Cassini) même si moins emballante que celle de 40 gradi all'ombra del lenzuolo et quelques bons gros gags ici et là. Mais l’ensemble manque d’acidité et demeure globalement en deca des précédents efforts du cinéaste dans le domaine de la comédie.
40 gradi all'ombra del lenzuolo – Sexycon (1976) : 6/10. Autre Sexy-comédie à sketchs. A voir ne serait-ce que pour son éblouissant casting féminin et les prestations de Tomas Milian et Marty Feldman.
Mannaja – Mannaya, l’homme à la hache (1977) : Pas vu.
La Montagna del dio cannibale – La Montagne du dieu cannibale (1978) : 8/10. Combinaison roublarde et réussie d’aventures exotiques, de cannibale flick et d’érotisme qui m’avait enchanté gamin. Pendant longtemps mon Martino préféré …
Sabato, domenica e venerdì (1979) (sketch "Sabato") : 6/10. En deça du sketch de Festa-Campanile mais supérieur à celui de Pipolo & Castellano. Pas bien fin, un peu douteux même dans sa vision satirique du Japon et de sa culture, mais rien que pour Fenech en japonaise ça mérite le coup d’oeil.
L’Isola degli uomini pesce – Le Continent des hommes poissons (1979) : 7/10. Chouette mélange d’aventures et de fantastique façon Jules Verne, aux maquillages et effets visuels old schoold qui élèvent l’ensemble au delà de la simple petite bande d’exploitation.
Il Fiume del grande caimano – Alligator (1979) : 7/10. Troisième volet de la trilogie exotico-mondo de Martino. Le plus inégal du lot. C’est bêta, ça trainasse un peu (surtout au début) mais le final – une longue scène de carnage – conclut l’affaire de façon plus que satisfaisante. Belle distribution bis aussi.
Zucchero, miele e peperoncino (1980) : Pas vu.
La Moglie in vacanza... l'amante in città – Les Zizis baladeurs (1980) : Pas vu.
Spaghetti a mezzanotte (1981) : Pas vu.
Cornetti alla crema (1981) : Pas vu.
Assassinio al cimitero etrusco – Crime au cimetière étrusque (1982) : 3/10. Grosse grosse déception que ce giallo fin de vague confus, bavard et, à une ou deux séquences près, platement réalisé.
Ricchi, ricchissimi... praticamente in mutande (1982) : Pas vu.
Occhio, malocchio, prezzemolo e finocchio (1983) : Pas vu.
Se tutto va bene siamo rovinati (1983) : Pas vu.
Acapulco, prima spiaggia... a sinistra (1983) : Pas vu.
2019 - Dopo la caduta di New York – 2019, après la chute de New-York (1983) : 6/10. Du bis post-apocalyptique certes naïf et limite Z, mais d’une grande générosité, avec de l’action non-stop, des dialogues fendards et une belle variété de décors pseudo-futuristes en ruines. Le meilleur des ersatz italiens de Mad Max / Escape from New-York.
L’Allenatore nel pallone (1984) : Pas vu.
Mezzo destro, mezzo sinistro (1985) : Pas vu.
Doppio misto (1986) (TV) : Pas vu.
Ferragosto O.K. (1986) (TV) : Pas vu.
Vendetta dal futuro – Atomic Cyborg (1986) : 5/10. De la sueur, du muscle et un beau casting bis au programme de ce décalque italien de Terminator plutôt bien mené. Pas un classique, mais pour un film de genre italien du milieu des années 80 je trouve que ça se tient plutôt bien.
Provare per credere (1987) (TV) : Pas vu.
Un’ Australiana a Roma - Une Australienne à Rome (1987) (TV) : 1/10. Nicole Kidman dans une production Rai / Antenne 2 signée Sergio Martino, ça ne se refuse pas … mais faut en vouloir quand même car la chose en question – une comédie sentimentale pour ados – est d’une niaiserie abyssale.
Qualcuno pagherà ? (1987) : 2/10. Minable copie de Rocky. Perdus dans un océan de clichés, Borgnine et Giuliano Gemma tentent d’assurer le spectacle … sans vraiment y arriver.
La Famiglia Brandacci (1987) (TV) : Pas vu.
Casablanca Express (1989) : 6/10. Regain de forme éclair pour Martino qui signe là une solide série B exotico-guerrière punchy et agréablement naïve, comme le cinéma de genre italien ne nous en avait plus servi depuis l’incontournable diptyque lenzien La Grande Bataille / De l’enfer à la victoire.
Mal d'Africa (1990) : Pas vu.
Sulle tracce del condor (1990) : Pas vu.
American risciò – American Rickshaw (1990) : 3/10. Le dernier trip américain de Martino (filmé en Floride, comme Qualcuno pagherà ? et beaucoup de bis italiens de l’époque). Un curieux mélange de polar, de film de coups de savate et de fantastique malheureusement plutôt repoussant dans la forme. Le jeu nonchalant de Daniel Greene et Donald Pleasence apporte un brin de recul à cette aventure puérile.
Un Orso chiamato Arturo (1992) (TV) : 0/10. Embarrassante – et vaguement sexy - comédie d’espionnage. Martino touche à nouveau le fond ici.
Spiando Marina (1992) : 5/10. Sans aller jusqu’à parler de réussite, disons que c’est peut-être le film le plus correct de Martino sur la période. On sent au moins un effort d’accompli sur l’intrigue et l’atmosphère, avec notamment la ville de Buenos Aires bien mise en valeur. Martino s’avère en outre plutôt inspiré sur les nombreuses séquences érotiques du film. Bon évidemment, de leur côté quand on repense à celles de Morte sospetta di una minorenne, les rares séquences d’action font franchement pitié. Et puis l’acteur principal est totalement dépourvu de charisme. Mais dans l’ensemble ça reste un petit bis soigné plutôt regardable..
Delitti privati (1993) (TV) : Pas vu.
Graffiante desiderio – Désir meurtrier (1993) : 4/10. Martino débauche un vague sosie d’Ornella Muti et nous fait son Fatal Attraction / Basic instinct à lui. Nul, laid, mais au moins on ne s’emmerde pas trop. Et puis dans le même genre c’est pas pire qu'Elles n’oublient jamais.
La Regina degli uomini pesce (1995) (TV) : Pas vu.
Mamma per caso (1997) (TV) : Pas vu.
Padre papà (1998) (TV) : Pas vu.
Cornetti al miele (1999) (TV) : Pas vu.
Mozart è un assassino (1999) : Pas vu.
A due passi dal cielo (1999) (TV) : Pas vu.
L’Ultimo sogno (2000) (TV) : Pas vu.
L’Ultimo rigore (2002) (TV) : Pas vu.
Una Donna scomoda (2004) (TV) : Pas vu.
L’Allenatore nel pallone 2 (2008) : Pas vu.
Modifié en dernier par manuma le mer. sept. 09, 2009 11:02 pm, modifié 2 fois.
Re: Top à ... Sergio Martino
[quote="manuma"]La Coda dello scorpione – La queue du scorpion (1971) : 7/10 : du giallo sans grande originalité, mais néanmoins troussé avec un très solide professionnalisme et une magnifique mise en images.
Tutti i colori del buio – L’Alliance invisible (1972) : 6/10, ambiance british intéressante entre "Rosemary's baby" et le giallo à l'italienne. Agréable !
I Corpi presentano tracce di violenza carnale (1973) : 5/10. Giallo violent et assez creux, annonçant les meurtres s'empilant sans grand sens des slashers US. Je n'aime pas trop.
La Montagna del dio cannibale – La Montagne du dieu cannibale (1978) : 4/10. Film de cannibale racoleur et ridicule, dans lequel on sent Martino mal à l'aise. Reste le professionnalisme de la mise en image. 4/10
L’Isola degli uomini pesce – Le Continent des hommes poissons (1979) : 7/10. Très charmante aventure exotique, entre "L'ile du docteur Moreau" et Jules Verne. Distribution sympathique et esprit bon enfant en font une jolie réussite du cinéma d'aventures.
Il Fiume del grande caimano – Alligator (1979) : 3/10, attention, gros Z, dans lequel Martino brade son savoir-faire au service d'une imitation fauchée et sans queue ni tête de "Piranhas" et autres "Dents de la mer"..
2019 - Dopo la caduta di New York – 2019, après la chute de New-York (1983) : 6/10. Un genre assez violent et cynique traité ici avec un regard assez bon enfant par un Martino compétent. Honnête !
Tutti i colori del buio – L’Alliance invisible (1972) : 6/10, ambiance british intéressante entre "Rosemary's baby" et le giallo à l'italienne. Agréable !
I Corpi presentano tracce di violenza carnale (1973) : 5/10. Giallo violent et assez creux, annonçant les meurtres s'empilant sans grand sens des slashers US. Je n'aime pas trop.
La Montagna del dio cannibale – La Montagne du dieu cannibale (1978) : 4/10. Film de cannibale racoleur et ridicule, dans lequel on sent Martino mal à l'aise. Reste le professionnalisme de la mise en image. 4/10
L’Isola degli uomini pesce – Le Continent des hommes poissons (1979) : 7/10. Très charmante aventure exotique, entre "L'ile du docteur Moreau" et Jules Verne. Distribution sympathique et esprit bon enfant en font une jolie réussite du cinéma d'aventures.
Il Fiume del grande caimano – Alligator (1979) : 3/10, attention, gros Z, dans lequel Martino brade son savoir-faire au service d'une imitation fauchée et sans queue ni tête de "Piranhas" et autres "Dents de la mer"..
2019 - Dopo la caduta di New York – 2019, après la chute de New-York (1983) : 6/10. Un genre assez violent et cynique traité ici avec un regard assez bon enfant par un Martino compétent. Honnête !
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Re: Top à ... Sergio Martino
Arizona si scatenò... e li fece fuori tutti – Arizona se déchaîne (1970) : 0 Je suis déjà pas très western à la base, mais là rien de neuf sous le soleil napolitain.
Lo Strano vizio della Signora Wardh – L’Etrange vice de Mme Wardh (1971) : XX
La Coda dello scorpione – La queue du scorpion (1971) : XXX gros démarquage de Psychose pour la structure scénaristique. Pompage de L'oiseau au plumage de cristal l'espace d'une scène. Mais quel flair visuel! Atmopshère gothique de 1e choix! Anita au soleil! Bruno à la Musique!
Tutti i colori del buio – L’Alliance invisible (1972) : X. j'accroche moins. Cette resucée de Rosemary's baby m'a parue singulièrmeent manquer d"originalité.
Il Tuo vizio è una stanza chiusa e solo io ne ho la chiave (1972) : XXX Woooo-ho. Croisement entre Poe et Giallo. Très très bien.
Milano trema - la polizia vuole giustizia – Rue de la violence (1973) : XX peut-etre mon poliziesco préféré. Un sens de la mesure peu tenu pour les cinéstes occupés à allonger des bobines réacs. Il manque un poil d'ambition pour en faire un grand film.
I Corpi presentano tracce di violenza carnale (1973) : X je reste surpris de l'accueil qui lui est souvent réservé. Ca reste quand même très banal dans sa mise en images et son scénario, avec un déroulement très prévisible. Par rapport à l'oeuvre de Martino, c'est un coup en retrait.
La Città gioca d'azzardo – Parfum du diable (1975) : O Dieu que c'est chiant. Son premier coup de mou qui lorgne vers le style passe-partout télévisuel dont il va être victime 10 ans après.
Morte sospetta di una minorenne (1975) : XX Mix entre poliziesco et Giallo. Joliment filmé, énergique. le croisement des genres lu iva bien.
Mannaja – Mannaya, l’homme à la hache (1977) : XX western à la limite du fantastique et du conte social. Inattendu pour Martino, avec un très joli cadre (mais un visuel moche) et un scénario plus solide qu'à l'accoutumée.
La Montagna del dio cannibale – La Montagne du dieu cannibale (1978) : X racoleur certes mais beaucoup de charme. Ursula n'y est pas étrangère. Energique et parfois excitant (si,si)
L’Isola degli uomini pesce – Le Continent des hommes poissons (1979) : XX Un des derniers vrais films italiens bis d'aventures réussi. Beaucoup de soin, des trouvailles visuelles, une certaine naïveté rafraichissante, Barbara, de jolis SFX... et un succès mérité.
Il Fiume del grande caimano – Alligator (1979) : O Comment faire un film pour toute l'équipe puisse en même temps passer de bonnes vacances? Du bis naze, regaradble, mais strictement sans aucun intéret. C'est baclé et indique de Martino.
La Moglie in vacanza... l'amante in città – Les Zizis baladeurs (1980) : X une sexy-comédie amusante, bien rythmée. Martino était quand même un cran au dessus des Nando Cicero et autres Mariano Laurenti dans le genre.
Cornetti alla crema (1981) : XX ah celui-là je l'aime bien. C'est con mais les gags fonctionnent , les acteurs se sentent concernés, le couple Fenech/Banfi fonctionne bien. Un plaisir coupable
Assassinio al cimitero etrusco – Crime au cimetière étrusque (1982) : O ohlalalalalala le début de la fin. téléfilm pérave tourné n'importe comment. La version film est un massacre.
Occhio, malocchio, prezzemolo e finocchio (1983) : X Là aussi j'ai tendance à la la tolérance avec cette sexy comédie en deux parties. Dagmar commence à vieillir et Janet Agren est toujours aussi fraiche. Banfi/Montagnani font leur numéro. Y'a Johnny Dorelli qui cabotine. On sent quand même que le genre s'effiloche/
2019 - Dopo la caduta di New York – 2019, après la chute de New-York (1983) : X un vague souvenir assez Z mais je ne l'ai pas revu depuis très longtemps. En attendant une nouvelle vision...
Vendetta dal futuro – Atomic Cyborg (1986) : X Lorque tous les autres réals bis se cassaient la figure, Martino tenait encore le choc avec ce Mano di Pierra/Vendetta del Futuro. Ca reste anecdotique mais carré et solide. Ca tient la route des années.
Casablanca Express (1989) : O Vu aussi au cinéma (au Brady, je crois?) mais c'était quand même rudement classique et vraiment terne. Le début de la fin/
American risciò – American Rickshaw (1990) : O là aussi vu au cinéma (Hollywood Boulevard, il me semble). Incompréhensible, jouant sur plusieurs tableaux et échouant partout. un look moche, un rythme poussif, des acteurs en dehors de tout. Le bis italien entre en hibernation définitive.
Martino s'est quasiment consacré à la TV italienne à partir de là et je ne m'y suis plus intéressé. Il est revenu au cinéma avec une comédie avec Lino Banfi (devenu une star du petit écran italien) et Anna Falchi (co-productrice du film) avec L’Allenatore nel pallone 2 (2008) . Pour info, Cette séquelle du film extremement populaire qu'était le 1e opus s'est avéré un des plus gros succès italien au cinéma de ce début d'année 2008. Avec une ribambelle de stars du ballon rond italien et le quart du film composé de scènes de jeu de football , ce qui ne doit pas être étranger au large succès du film.
En conclusion, la belle époque, c'est 1971-1986 (je n'ai pas vu toutes ses sexy comédies, ceci dit). mais avec un sens du récit, quelques expérimentations visuelles entre 71 et 77, le sens du spectacle populaire généreux, quelques onces de sujets politiqus & commentaires sociaux parfois intéressants. Un auteur populaire dans le bon sens du terme.
Avant de se faire happer par la vague télévisuelle qui emporta tout le cinoche populaire italien sur son passage pour le faire passer à la moulinette de la médiocrité.
Lo Strano vizio della Signora Wardh – L’Etrange vice de Mme Wardh (1971) : XX
La Coda dello scorpione – La queue du scorpion (1971) : XXX gros démarquage de Psychose pour la structure scénaristique. Pompage de L'oiseau au plumage de cristal l'espace d'une scène. Mais quel flair visuel! Atmopshère gothique de 1e choix! Anita au soleil! Bruno à la Musique!
Tutti i colori del buio – L’Alliance invisible (1972) : X. j'accroche moins. Cette resucée de Rosemary's baby m'a parue singulièrmeent manquer d"originalité.
Il Tuo vizio è una stanza chiusa e solo io ne ho la chiave (1972) : XXX Woooo-ho. Croisement entre Poe et Giallo. Très très bien.
Milano trema - la polizia vuole giustizia – Rue de la violence (1973) : XX peut-etre mon poliziesco préféré. Un sens de la mesure peu tenu pour les cinéstes occupés à allonger des bobines réacs. Il manque un poil d'ambition pour en faire un grand film.
I Corpi presentano tracce di violenza carnale (1973) : X je reste surpris de l'accueil qui lui est souvent réservé. Ca reste quand même très banal dans sa mise en images et son scénario, avec un déroulement très prévisible. Par rapport à l'oeuvre de Martino, c'est un coup en retrait.
La Città gioca d'azzardo – Parfum du diable (1975) : O Dieu que c'est chiant. Son premier coup de mou qui lorgne vers le style passe-partout télévisuel dont il va être victime 10 ans après.
Morte sospetta di una minorenne (1975) : XX Mix entre poliziesco et Giallo. Joliment filmé, énergique. le croisement des genres lu iva bien.
Mannaja – Mannaya, l’homme à la hache (1977) : XX western à la limite du fantastique et du conte social. Inattendu pour Martino, avec un très joli cadre (mais un visuel moche) et un scénario plus solide qu'à l'accoutumée.
La Montagna del dio cannibale – La Montagne du dieu cannibale (1978) : X racoleur certes mais beaucoup de charme. Ursula n'y est pas étrangère. Energique et parfois excitant (si,si)
L’Isola degli uomini pesce – Le Continent des hommes poissons (1979) : XX Un des derniers vrais films italiens bis d'aventures réussi. Beaucoup de soin, des trouvailles visuelles, une certaine naïveté rafraichissante, Barbara, de jolis SFX... et un succès mérité.
Il Fiume del grande caimano – Alligator (1979) : O Comment faire un film pour toute l'équipe puisse en même temps passer de bonnes vacances? Du bis naze, regaradble, mais strictement sans aucun intéret. C'est baclé et indique de Martino.
La Moglie in vacanza... l'amante in città – Les Zizis baladeurs (1980) : X une sexy-comédie amusante, bien rythmée. Martino était quand même un cran au dessus des Nando Cicero et autres Mariano Laurenti dans le genre.
Cornetti alla crema (1981) : XX ah celui-là je l'aime bien. C'est con mais les gags fonctionnent , les acteurs se sentent concernés, le couple Fenech/Banfi fonctionne bien. Un plaisir coupable

Assassinio al cimitero etrusco – Crime au cimetière étrusque (1982) : O ohlalalalalala le début de la fin. téléfilm pérave tourné n'importe comment. La version film est un massacre.
Occhio, malocchio, prezzemolo e finocchio (1983) : X Là aussi j'ai tendance à la la tolérance avec cette sexy comédie en deux parties. Dagmar commence à vieillir et Janet Agren est toujours aussi fraiche. Banfi/Montagnani font leur numéro. Y'a Johnny Dorelli qui cabotine. On sent quand même que le genre s'effiloche/
2019 - Dopo la caduta di New York – 2019, après la chute de New-York (1983) : X un vague souvenir assez Z mais je ne l'ai pas revu depuis très longtemps. En attendant une nouvelle vision...
Vendetta dal futuro – Atomic Cyborg (1986) : X Lorque tous les autres réals bis se cassaient la figure, Martino tenait encore le choc avec ce Mano di Pierra/Vendetta del Futuro. Ca reste anecdotique mais carré et solide. Ca tient la route des années.
Casablanca Express (1989) : O Vu aussi au cinéma (au Brady, je crois?) mais c'était quand même rudement classique et vraiment terne. Le début de la fin/
American risciò – American Rickshaw (1990) : O là aussi vu au cinéma (Hollywood Boulevard, il me semble). Incompréhensible, jouant sur plusieurs tableaux et échouant partout. un look moche, un rythme poussif, des acteurs en dehors de tout. Le bis italien entre en hibernation définitive.
Martino s'est quasiment consacré à la TV italienne à partir de là et je ne m'y suis plus intéressé. Il est revenu au cinéma avec une comédie avec Lino Banfi (devenu une star du petit écran italien) et Anna Falchi (co-productrice du film) avec L’Allenatore nel pallone 2 (2008) . Pour info, Cette séquelle du film extremement populaire qu'était le 1e opus s'est avéré un des plus gros succès italien au cinéma de ce début d'année 2008. Avec une ribambelle de stars du ballon rond italien et le quart du film composé de scènes de jeu de football , ce qui ne doit pas être étranger au large succès du film.
En conclusion, la belle époque, c'est 1971-1986 (je n'ai pas vu toutes ses sexy comédies, ceci dit). mais avec un sens du récit, quelques expérimentations visuelles entre 71 et 77, le sens du spectacle populaire généreux, quelques onces de sujets politiqus & commentaires sociaux parfois intéressants. Un auteur populaire dans le bon sens du terme.
Avant de se faire happer par la vague télévisuelle qui emporta tout le cinoche populaire italien sur son passage pour le faire passer à la moulinette de la médiocrité.
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
Re: Top à ... Sergio Martino
Merci pour ces précisions concernant son dernier long métrage. Heureux d'apprendre qu'il a eu du succès même si, à ce que je comprends, tout cela m'a l'air assez éloigné du cinéma d'exploitation sur lequel s'est bâti sa réputation.
Martino, je trouve que c'est l'image même de la grandeur et décadence du cinéma de genre italien, plus encore que Lenzi ou Margheriti qui n'ont jamais bossé pour la télé ou De Martino et Di Leo qui ont préféré arrêter les frais au milieu des années 80. Sa carrière je la vois plus ou moins en 3 temps. Une première époque, entre 70 et 75, correspondant aux grandes heures du cinéma bis italien au cours de laquelle Martino déborde d'énergie et d'idées, une seconde située entre la fin des années 70 et le milieu des années 80, où tout en conservant un indéniable savoir-faire, son cinéma se fait plus roublard et racoleur, nettement moins inventif. Et une troisième période qui le voit happé par la télé et plus du tout concerné par ce qu'il filme. Alors qu'il me semble encore bénéficier de budgets à peu près décents par rapport à ce que l'on trouve sur la même période au sein du cinéma d'exploitation transalpin (cf. les Zederies de Fulci ou Lenzi), Martino se révèle incapable de livrer des travaux convenables, même s'il faut dire à sa décharge que les sujets qu'on lui proposent ne sont pas très motivants. C'est non seulement dépourvu et rythme mais aussi souvent - de ce que j'ai vu en tout cas - d'une incommensurable laideur visuelle.
Martino, je trouve que c'est l'image même de la grandeur et décadence du cinéma de genre italien, plus encore que Lenzi ou Margheriti qui n'ont jamais bossé pour la télé ou De Martino et Di Leo qui ont préféré arrêter les frais au milieu des années 80. Sa carrière je la vois plus ou moins en 3 temps. Une première époque, entre 70 et 75, correspondant aux grandes heures du cinéma bis italien au cours de laquelle Martino déborde d'énergie et d'idées, une seconde située entre la fin des années 70 et le milieu des années 80, où tout en conservant un indéniable savoir-faire, son cinéma se fait plus roublard et racoleur, nettement moins inventif. Et une troisième période qui le voit happé par la télé et plus du tout concerné par ce qu'il filme. Alors qu'il me semble encore bénéficier de budgets à peu près décents par rapport à ce que l'on trouve sur la même période au sein du cinéma d'exploitation transalpin (cf. les Zederies de Fulci ou Lenzi), Martino se révèle incapable de livrer des travaux convenables, même s'il faut dire à sa décharge que les sujets qu'on lui proposent ne sont pas très motivants. C'est non seulement dépourvu et rythme mais aussi souvent - de ce que j'ai vu en tout cas - d'une incommensurable laideur visuelle.
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Re: Top à ... Sergio Martino
est-ce que quelqu'un pourrait me confirmer que ce plan ne figure pas dans 2019 après la chute de NY. Il semblerait qu'il ait été coupé pour éviter un classement trop sévère.
THX

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Sa place est dans un Blu-Ray !
Re: Top à ... Sergio Martino
De mémoire, ce plan (très bref) y figure bien.
En tout cas dans la version vhs que je possède chez l'éditeur belge VDS.
En tout cas dans la version vhs que je possède chez l'éditeur belge VDS.
Re: Top à ... Sergio Martino
De mon côté j'ai revu le film l'été dernier et je ne me souviens pas de ce plan. Mais bon, j'ai peut-être cligné des yeux au mauvais moment.
Re: Top à ... Sergio Martino
Ca fait déjà quelques temps déjà (un mois ? plus ?) que c'est prévu pour une sortie DVD aux Etats-Unis mais bizarrement personne n'en parle...

Le 29 juin...
A l'époque, le film était sorti dans les salles de cinéma en France.

Le 29 juin...
A l'époque, le film était sorti dans les salles de cinéma en France.
"Fuck The World", Rambo